Aëlle soupira, elle avait fini son livre, en faisant plus ou moins abstraction du bavardage incessant de Brigid. Elle s’était enfermée dans son dortoir pour finir son bouquin, et elle payait le prix de n'avoir parlé à personne. La colère de la déesse.
Elle remis donc ses lunettes, prit un manteau leger, long et noir pour compenser la fraîcheur de la nuit après la chaleur des couvertures et se dirigea vers la salle commune doucement, évitant les lattes de parquets grinçantes. Elle était en pyjama, elle pouvait donc prétexter une insomnie... Il y avait toujours deux où trois personne dans la salle commune...
Ce n'était pas un endroit qu'elle aimait... C'était bruyant, grouillant, percé de longue fenêtres laissant entrer des flots de lumière, réchauffant le parquet le jour, découpant des rectangle de lumière froide et lunaire la nuit, mais elle y allait une heure par jour, pour maintenir son masque de normalité pour éviter les ennuis, mais aussi pour contenter Brigid. Il n'y avait que deux autres personnes pour l'heure. La déesse avait arrêté de l’embêter en déversant des tonnes de parole et se contentait d’émettre de la satisfaction et du bien être, diffusant une douce chaleur en Aëlle.
Elle se dirigea vers un fauteuil, s'enfonçant trop profondément dans le coussin. Elle grommela quelque chose de pas très flatteur à propos de ces pauvres fauteuil et de leurs concepteurs avant de s’asseoir en tailleurs.
« Allons petit chat... Soit poli... »
« Je ne me souci pas trop de la politesse, et tu es dans ma tête, donc tu vas devoir subir mes pensées... »
« Hum, en effet, pauvre de moi ! » Elle prit un accent d’héroïne dramatique.
« Brigid » Elle avait imaginé une voix lasse mais la déesse sentait qu'elle était amusé.
« Petit chat... Petit chat... Chaton... »
« Brigid ? Tu vas bien ? »
« Là regarde ! Il s'approche ! »
Le petit chat se blotti sur Aëlle en ronronnant. Il était brun avec des rayures noires et un pelage miteux.
« C'est un chaton ? »
« Non, il est adulte, juste pas très grand, je ne t'ai jamais entendu autant hésiter, qu'y a-t-il ? »
« J'ai toujours voulu un chat... J'ai fini par en nourrir un en cachette, mais... Il était sauvage et ne me touchait pas... Madame Gavege l'a... Éliminé. » Empoissonné.
Brigid se figea. Choquée, un peu en colère aussi. Elle n'insista pas, connaissant Aëlle, elle se fermerai totalement.
"C'était qui ?"
"Une gouvernante" « C'est la première fois que j'en tiens un. J'ai peur de lui faire mal. D'où l'hésitation. »
« Ah... Petit chat ? Des gens viennent vers Noir »
« Il n'est pas à moi, et puis ca me fera faire tes saintes interactions sociales. C'est comme si je voulais entendre les tisanes calmant les femmes enceintes à longueur de journée »
Mary cliqua plusieurs fois sur le touch pad de son ordinateur, martyrisant la touche. La connexion wi-fi n'arrêtait pas de buguer, alors elle se déconnectait, puis se reconnectait et ainsi de suite.
"La connexion est vraiment nulle ici, pourquoi je ne peux pas me connecter!" " Laisse ces choses où elles sont, Mary-Malaria. Va faire autre choses, tu réessayeras plus tard, lui dit son Dieu" " Ouais, t'as sûrement raison, répondit-elle à Asclèpios en fermant son ordinateur." Elle le posa sur la table à côté du fauteuil qu'elle occupait, et ramena ses jambes vers elle, les genoux sous le menton. Elle n'avait pas de montre, mais elle voyait par les fenêtres que la nuit était d'un noir profond. " Tu crois qu'on a le droit d'être là, à cette heure ? Demanda-t-elle au médecin divin." " Je ne le sais point, ma chère, cela devait être dans le règlement." " Tu sais très bien que je ne l'ai pas lu !. Soupira-t-elle." Le Dieu lui répéta la phrases qu'il aimait le plus, comme quoi les livres étaient le savoir et de ce fait bien plus utiles que ces futilités auxquelles elle accordait tellement d'importance, à savoir son ordinateur et tout ce qui avait trait avec la nouvelle technologie.
- Chut, chuchota-elle à l'adresse de son Dieu, si bas que les deux autres personnes présente dans la salle ne s'en rendirent pas compte.
Elle jeta quand même des regards anxieux aux deux adolescente dans la salle, une petite brune à lunettes et une autre fille, tout aussi petite, aux beaux cheveux châtains foncé et aux déconcertants yeux rougeoyants. La brune à lunettes tenait contre elle un petit chat au pelage brun rayé de noir. " On a le droit d'avoir des animaux! s'écria intérieurement Mary. Elle adorait tout ce qui était mignon, et ce chat l'était. Sans se préoccuper de la réponse d' Asclépios - Tu le saurais si tu avais lu le règlement, Mary-Malaria!- elle s'avança vers l'adolescente.
-Il est à toi, ce chat ? Il est trop mignon ! Je m'appelles Mary-Malaria, au faite
Yuuki regardais la télévision ce soir il passais un nouvelle épisode de Sword Art Online elle ne voulais pas le manqué malheureusement pour elle la télévision ne marchais pas très bien.
Ha il faut que la télévision bug ce soir et a cette heure sa m'énerve !
Pourquoi tu t'énerve toujours autant contre une boite qui passe des images.
Elle eteigna la télévision et se dirigea vers la fenêtre qui donnais sur la cour, le paysage était merveilleux la lune était pleine, les étoiles brillais fort dans le ciel et de la ou se trouvais Yuuki on entendais le bruit du vent sur les des feuilles des arbre sa avais un effet apaisant.
Tu sais Yuuki il parais que les jour de lunes pleines un fantôme rode autour du pensionnat et s'attaque aux élèves qui rodent
Sé...sé...sérieusement ?
Oui bien sur ont dis que c'est le fantôme d'un élève de la classe M son dieu l'avais complètement posséder et tu connais la suite !
Yuuki retenais son souffle elle ne savais pas si elle devais y croire ou pas soudain elle entendis des bruits de pas se dirigeant par ici une grosse angoisse commença a lui parcourir le corps les bruits de pas se faisais de plus en insistant puis l'instant d'après elle n'entendit plus rien, elle pris son courage a deux mains et elle se retourna c'est quelle vus ce n'est n'y une entité ou un fantôme mais une petite fille a lunettes. Quand elle l'aperçus tout la pression qu'elle avais accumulé retomba
J'ai eu la peur de ma vie
Elle espérais de personne ne l'avais entendu
Yuuki regarde la!
Quoi ?
Un chat ! les animaux sont interdit dans les bâtiment non ?
Sa doit être le chat du surveillant qui fais sa ronde lorsque le couvre feu tombe.
C'était un beau chat au pelage brun avec des rayure noir. Il alla se blottir dans les bras d'une des deux adolescentes, tandis que l'autre pris la parole.
Il est à toi, ce chat ? Il est trop mignon ! Je m'appelles Mary-Malaria, au faite
Aller toi aussi tu devrais te présenter tu a une occasion de te faire des amies aller fonce
Ma..mais et mes yeux je suis sur quelle vont ce moquer si je me rapproche d'elles
Va y sinon je te colle une migraine digne des enfer en te récitant se qui arrive a un corps qui maintien un température aussi élève de les lacs de laves !
Bon ok j'y vais
j'avançais doucement vers les deux adolescentes
Bo..bon...bonsoir je..je elle marqua un temps d'arrêt
Tu va arrêter de faire ta timide
Bonsoir je m'appelles Yuuki Satsuki et j'adore les chat
Aëlle leva les yeux sur les autres êtres humains. Deux jeunes fille, sans doute un peu plus vielles qu'elle, toutes brunes.
"Vous vous ressemblez assez physiquement."
"Ah"
"J'aime bien celle châtain et pas timide, elle a un collègue comme dieux, je sais pas de quel panthéon"
"Un... Collégue ? Y en a d'autres comme toi ?" Elle avait pris un ton faussement désespéré, comme débordant de compassion pour ses pauvres éventuels semblable possédés
"Non, je suis absolument unique"
"Et modeste"
"Ca va toi, quand on est une déesse de centaine d'année réduite à partagée la tête d'une enfant beaucoup trop curieuse pour son propre bien, associable et têtue comme une mule, on a bien le droit de revendiquer son pouvoir"
"Je suis ca selon toi ?"
"Mais non petit chat, tu sais bien que..."
"Il faut que je leurs parle hein ?" Coupa Aëlle.
-Il est à toi, ce chat ? Il est trop mignon ! Je m'appelles Mary-Malaria, au faite
Débit de voix rapide, bavarde, assurée, mais un peu sifflante. Problèmes respiratoires, ou malade.
-Bonsoir je m'appelles Yuuki Satsuki et j'adore les chats
Voix faible, un peu chancelante. Timide ou épuisé, mais plutôt timide, aucun signe de fatigue sous les yeux rouges. Des yeux rouges ? Intéressant. Sans doute poussé par un dieu pour faire l'effort de venir.
"Tu ne peux pas t'empecher de faire ca ? On dirait un chasseur qui se demande comment il va manger sa proie !"
"Un cuisinier"
"Quoi ? Roh, ca va toi, de toute facon j'ai toujours été végétarienne. C'est ca qui va pas avec toi ! Tu analyse..."
"Je t'assure que je vais très bien Brigid" La déesse décida de changer de sujet.
"Ascleipios ! Il possède la toute malingre ! Ce farceur... Il est pas sérieux dans son boulot, et un poil trop curieux, mais il connait bien son sujet"
"Grec ?" La jeune enfant envisagea de réduire sa consommation de viande maintenant qu'elle savait pourquoi Brigid refusait de lui parler quand elle mangeait.
"Ouaip, dieu des médecins, c'est plus un scientifique qu'un guérisseur mais je l'aimait bien. Et l'autre aussi a un grec"
"Et on aime toutes les chats ! Voici une bande d'amies toutes trouvée nan ?"
"Ne soit pas si sarcastique, j'y suis pour rien"
"..." Elle envoya une pensée de lit confortable et de livre, auquel la déesse contra une vague de chaleur et d'amusement.
"Arrête de jouer avec nos émotions. Et tu y es pour quelque chose"
"Pour pas grand chose" Ce sont tes émotions chatons, je ne fais que les réveiller. Mais elle ne dit pas ca. Ça ne ferai que braquer Aëlle. Par tous ses semblables, que cette gamine était têtue !
"Aëlle" Sourire calqué au millimètre sur un sourire gracieux et normal. Il est normal. Il n'est pas sincère, mais ca, il faut connaitre Aëlle pour le savoir. Comme sa mère. Ou être dans sa tête. "Non, il n'est pas à moi, il y a beaucoup de chance qu'il vienne du parc vu son pelage miteux et sa maigreur." Sourire désolé pour ce pauvre petit chaton. Mais un peu sincère, elle était vraiment attendrie par le ronronnement régulier du chat endormi.
Brigid sourit,penchée sur la vasque des souvenirs sourit. Il y a une chance, si elle rencontre des gens plus ouverts, moins obstinément normaux et parfait en tous point. Et le directeur seul savait à quel point les gens d'ici était atypiques... Elle sourit.
- Aëlle , fit la jeune fille en souriant. Non, il n'est pas à moi, il y a beaucoup de chance qu'il vienne du parc vu son pelage miteux et sa maigreur.
Elle sourit encore, comme si elle était triste pour ce petit chaton. La jeune fille qui tenait le chat était petite, tout comme l'autre fille qui s'appelait Yuuki. Elles étaient sûrement moins âgée que Mary.
" J'aime bien la petite à lunette. Celle qui a le chat. Elle dégage un parfum de baume réparateur, de guérison et de menthe. Elle est possédé par un Dieu guérisseur." "Oh, franchement ! Il y en a combien comme toi encore ! " " Un pour chaque Panthéon je pense, ma chère. " "Oh, j'ai vraiment du soucis à me faire alors..." Mary avait vraiment envie de caresser le chat, mais il était encore dans les bras de la jeune fille. Alors elle continua sa conversation intérieur avec son Dieu. " Tu sais quel Dieu s'est ? " " Laisse-moi réfléchir encore un peu, Mary-Malaria. Je l'ai sur le bout de la langue. " " Et je fais quoi en attendant, moi ? Mes devoirs peut-être ? " " Grand moi, non ! Je veux juste que tu transmettre un message, à la petite à lunette, et aussi à l'autre, je l'ai démasqué ce vieux fripon ! " " Et si je ne le fais pas ? Demanda Mary juste pour la forme, car elle connaissait pertinemment la réponse. " " Je ferais en sorte que tu soit proche de la mort, puis je te guérirais pour te le refaire subir, et ceci indéfiniment. " " T'es pire que mon père, niveau punition. Bref, tu veux que je leur dise quoi ? " Mary écouta d'une oreille attentive le message que voulait faire transmettre Asclèpios. Elle se sentait légèrement débile en se les répétant, et elle se sentirait encore plus quand elle les dirait à voix haute. Elle se tourna d'abord vers la petite fille aux yeux rouges braise. Elle ouvrit la bouche en regardant droit dans les yeux l'adolescente, et répéta les mots d' Asclèpios qui résonnaient dans son esprit.
- Salut à toi, Héphaïstos. Je t'ai reconnue dans ce corps, qui doit te sembler bien étroit à vrai dire. Si tu es partant pour une bière, en souvenir du bon vieux temps, ce serait avec grand plaisir.
Puis Mary se tourna vers la fille tenant le chat, Aëlle.
- Salut à vous, estimée collègue. Je vois que vous avez finalement trouvé un corps, très chère. Vos enseignements m'ont été bien utile. Et je vous invite à découvrir cette nouvelle forme de magie nommé « technologie», Bridgid . C'est vraiment des plus intéressant.
- Aëlle. - Non, il n'est pas à moi, il y a beaucoup de chance qu'il vienne du parc vu son pelage miteux et sa maigreur
C'etait donc le chat du parc il y a toujours une gamelle la bas je me demande bien qui pense a le nourrir sans doute peu ! pensa t'elle Aëlle tient donc cela me rappelle quelqu'un que j'ai connu il y a fort longtemps
Ah ouai ?
Oui c'était une humaine elle avais été trainée devant Zeus pour y être jugée
Une humaine ? Qu'avais t'elle fais !
Disons qu'elle avais eu un enfant avec un dieu et quand elle a découvert c'est origine elle a tenté de l'assassiner ! Mais bon tu pense bien qu'on ne tue pas un dieu aussi facilement !
Mon dieu... !
Oui ?
Tu te crois drôle ?
Oui un peu !
La fille qui s'etait presentée sous le nom de Mary-Malaria pris la parole.
- Salut à toi, Héphaïstos. Je t'ai reconnue dans ce corps, qui doit te sembler bien étroit à vrai dire. Si tu es partant pour une bière, en souvenir du bon vieux temps, ce serait avec grand plaisir.
Yuuki réfléchis un moment, cette phrase l'avais un peu troublée. Comment elle pouvais savoir que Heph' m'avais possédé ? Est l'œuvre du pouvoir de son dieu ? je n'avais pas compris, j'en parla avec Heph' pour essayer d'obtenir quelque information. Nous en sommes venu a la conclusion que le dieu qui habitais l'adolescente n'était d'autre que Asclépios ! Quand qu'a l'autre adolescente son dieu était la douce Bridgid.
Yuuki ferme les yeux !
elle eu 2 a 3 seconde de réflexions puis s'exécuta.
La chaleur monta dans la salle puis Héphaïstos pris la parole.
"Salut vieux farceur comment va tu ? question corps nous sommes dans la même galère mais elle vont se développé et tu sais très bien que je suis toujours partant pour une bière mais j'ai bien peur que nos hôtes sois un peu trop jeune pour boire !"
il s'adressa ensuite a l'hôte de Bridgid.
Bien le bonjours Bridgid je n'ai pas eu l'honneur de vous parlez souvent mais aux vus de la situation entendons nous bien !
A c'est mot Héphaïstos se tut.
Qu...qu..qu'est que c'était que sa ?
Nous pouvons parlez a travers notre hôte avec sont autorisation peu le savent
Yuuki resta figée sans dire un mot et observa les deux adolescentes.
- Salut à toi, Héphaïstos. Je t'ai reconnue dans ce corps, qui doit te sembler bien étroit à vrai dire. Si tu es partant pour une bière, en souvenir du bon vieux temps, ce serait avec grand plaisir.
Elle se tourna vers Aëlle, qui sentait le bonheur de Brigid résonner dans sa tête et dans ses mains. Elle avait appris que Brigid était très tactile, touchant sans cesse ses plantes, ses remèdes, ou même ses patients. Son pouvoir s’accumulait lui aussi dans les mains, chauffant la paume et picotant le bout des doigts.
La brune au yeux rougeoyants, Yuuki, se souvint Aëlle parla avec un ton étrange, contraignant ses cordes vocales, donnant une voix bien plus grave et profonde que dans ses précédentes paroles. C'est son dieux qui parle songeaAëlle.
"Salut vieux farceur comment va tu ? question corps nous sommes dans la même galère mais elle vont se développer et tu sais très bien que je suis toujours partant pour une bière mais j'ai bien peur que nos hôtes sois un peu trop jeune pour boire !"
"Aëlle, je peut parler à travers toi ?"
"Tu pourras te contrôler ? Je suis désolé Brigid, mais j'ai l'impression que tu vas leurs sauter dessus si je te laisse la moindre parcelle de mon corps. Et tu vas surement étouffer leurs possédées à force de câlins. Je suppose qu'ils te manque mais..."
"Je... Oui, tu as sans doute raison..." La déesse essaya de contenir cette amertume, cette frustration d'être emprisonnée, mais son cœur transpercé se serra un peu plus encore. Aëlle en ressentit un peu, leurs esprit toujours trop étroitement lié, l'humaine et la déesse fonctionnant ensemble, l'une incapable de résisté à la tentation de prendre ce corps, et l'autre de vraiment l'interdire à la déesse. Les sentiments de Brigid était trop grand, exacerbés par cette compassion immense et des millénaires d'existences, et puis une solitude immense. Aëlle faisait parfois des cauchemars ou elle errait dans le noir, sachant ses amis près d'elle, ressentant leur douleur, mais sans pouvoir les guérir ou même leurs parler. Ca l'avait brisée cette longue errance, pourtant, elle ne voulait posséder personne. Elle en était presque sure en tout cas.
"Dis moi."
"Hein ? Quoi ?" L'injonction avait eu le mérite de sortir la déesse de ses sinistres pensées. Aëlle roula mentalement des yeux.
"Dis moi ce que tu veux leurs dire, et avec quelle intonation, je suis parfaitement capable de reproduire des intonations" Puisque je le fais tout le temps.
"Moi je vous connait un peu plus, ma mère m'avait emmenée à un banquet du mont Olympes... Enfin une orgie, et vu mon age, j'était enfermée dans une salle non loin de là, avec votre mère Hera, qui fulminait à cause de Zeus qui lui avait interdit le... Banquet, soit disant à cause de sa grossesse. Vous étiez un fœtus très gentil, et impatient de découvrir le monde, avec un grand niveau de conscience. Et on a du se recroiser une ou deux fois quand je venais récupérer Ascleipios quand il se trompait de remède après s'être ammené à la limite de la mort... Nous étions bien jeunes... Et vous m'aviez offert une boucle d'oreille aussi, durant un solstice d'été..."
"Brigid... Arrête toi, tu déverse trop de souvenirs dans mon esprit."
"Oh excuse moi petit chat ! Ca va aller, j'en ai pas mis tant que ca, tu vas voir... Je vais commencer par chasser cette migraine et tout ira bien..."
"Tu le feras après avoir parlé avec Ascleipios..."
- Salut à vous, estimée collègue. Je vois que vous avez finalement trouvé un corps, très chère. Vos enseignements m'ont été bien utile. Et je vous invite à découvrir cette nouvelle forme de magie nommé « technologie», Bridgid . C'est vraiment des plus intéressant.
"Il n'a pas changé depuis la dernière fois que je l'ai vu... Toujours aussi curieux, inventif..."
"Si tu le dis... Mais vu l'état de sa possédé, je ne suis pas sur qu'il soit si génial"
"Tais toi, elle est surement volontaire."
Aëlle écarquilla les yeux, vaguement surprise, elle n'avait jamais entendu Brigid lui parler aussi sèchement. Ca lui fit un pincement au cœur, mais elle eu l'impression d'avoir trouvé une corde sensible. Ca pouvait servir. Mais cette impression de mépris et d'agacement se répandant dans ses veines, ca faisait mal quand même...
" Contente de te ré apercevoir Asclepios... On va dire que je n'ai pas vraiment eu le choix, tu me connait... J'ai toujours été très fière de pouvoir t'enseigner quelque chose. Tu es toujours aussi curieux ? Ne malmène tout de même pas trop ton humaine, tu sais ce que je pense de certaine de tes méthodes... Mais il faut admettre que c'est efficace... Ne me parle pas de magie à propos de la technologie, mon petit chat s'est fait un plaisir de me prouver que rien n’était magique en m'expliquant le fonctionnement de toutes ses nouvelles choses dans les moindres détails... Elle est un peu comme toi, trop curieuse pour respecter la magie... Tss... Elle comprend trop vite en plus, non seulement elle enlève la magie mais elle n'a pas la patience pour m'expliquer la science... Faudra que tu me parle de tes nouvelle découvertes ! Je sais que tu n'aime pas trop les simples mais les croisements font des chose merveilleuse en ces temps ! Et toute les possibilités offertes par la génétique ! "
"Arrete toi ! C'est trop là ! Je ne sais pas comment tu peux mettre autant d'émotions simplement en parlant de plantes..."
"Je n'avais pas conscience que c'était si fort... Je ne vais pas pouvoir guérir ta migraine, je vais devenir incotrolable si je touche à mon pouvoir... Déjà qu'il se manifeste sur toi. Je suis vraiment navrée petit chat... Ca va s'atténuer"
"Ah bon ? Je ne sens rien. A part la migraine bien sur..."
"Justement... Regarde tes mains petit chat..." La déesse ignora le commentaire sarcastique sur la migraine.
Aëlle baissa son regard sur ses mains et constata qu'elles luisaient faiblement d'une pale lueur verte, relativement discrète, mais présente.
"Pourquoi la lumière n'est pas bleue ? Quand je t'aide à guérir des gens, elle est toujours bleue..."
"Parce que le bleu est la couleur qu'a pris ton pouvoir. Le miens est vert, en faite c'est juste qu'aucune de nos murailles ne peuvent contrer ca... Mais la chose la plus grave que ca risque de faire, c'est de fausser l'expérience d'As'... "
"Ta manie de donner des surnoms est détestable."
"Qu'est ce que j'ai fait ? Ca ne vas pas ?"
"J'ai juste mal à la tête... Ca ira" Répondit Aëlle, faisant preuve d'une parfaite mauvaise foi, en réalité, elle se rendait compte que sa déesse, celle qui s'était imposée à son corps avait eu une vie, des gens qu'elle aimait. Et elle n'était pas sur que ca lui plaise... Et puis, elle avait l’impression de perdre la seule personne se préoccupant d'elle. Je suis vraiment navrée petit chat... Ca va s'atténuer. Elle ne l'aurais pas laissée souffrir normalement...
Les deux jeunes filles parlèrent, la petite visiblement de cuites communes avec Asclèpios, et l'autre, celle qui tenait le chat, tint un long discours que Mary n'écouta pas. C'était adressé au Dieu, et non à elle, pourquoi écouterait-elle ? Mais elle attrapa quand même quelques mots au vol, sans y prêter attention sur le moment. Elle s'en rappela que quand la fille, Aëlle, arrêta de parler.
"Comment as-tu reconnu les Dieux ?" " Quand tu te prends des cuites avec quelqu'un pendant des centaines d'années, tu peux le reconnaître n'importe où."
C'était faux. Asclèpios avait juste supposé que Yuuki était possédée par Héphaïstos car elle avait les yeux rouges, comme le Dieu quand il avait encore une enveloppe charnelle. Et pour la Déesse, Mary avait sa petite idée quand a leur relations passée.
"Tu étais son élève ? » demanda-t-elle à Asclèpios. " " Oui, et en bien des matières. Brigid est une excellente maîtresse, fit-il d'une voix rêveuse." " Bien sûr, répondit la jeune fille en souriant. Pas la peine d'en rajouter Doc, je ne veux pas en savoir plus." "Doc ? Depuis quand tu m'appelles Doc ?"
- Brigid, c'est ça ? Fit Mary en regardant Aëlle. Asclèpios est très heureux de te revoir et vous revoit ses souvenirs de vos leçons , et il est toujours aussi curieux. Et ne vous inquiétez pas, il ne me surmène pas.
Mary entendait le Dieu protester dans son esprit, mais elle n'y prêta guère attention. Elle savait au fond d'elle-même qu'elle faisait exactement ce que le Dieu voulait, même si son orgueil surdimensionné l'empêchait de l'avouer.
- Héphaïstos, je ne suis pas trop jeune pour boire, du moins je ne le crois pas. J'ai seize ans. J'ai était ravi de faire votre connaissance, et Asclèpios est aussi très heureux de vous revoir.
" Tu aurais pu demander ma permission avant de parler en mon nom, Mary-Malaria, fit le Dieu d'un ton boudeur." " Oh, arrête, dit-elle en levant les yeux au plafond. Tu ne m'aurais pas laissé le faire si tu n'avais pas voulu. Tu es un Dieu, quand même, arrêter une gamine de seize ans doit être dans tes cordes, nan ?" "Si je ne connaissais pas aussi bien..." " Tu m'aurais foudroyer sur place pour manque de respect, je sais. Tu me le répètes tout les deux jours, et ce depuis deux ans. Je le sais. Maintenant, écoute ce que dise les autres."
Mary sentit que Asclèpios était d'accord avec elle, mais bien sûr, un Dieu n'avoue jamais ses torts, et surtout pas à son réceptacle. Leurs discussions internes les avaient tellement obnubilés qu'ils avaient été pendant quelque instants comme déconnecté du monde réel, et ni l'un, ni l'autre ne vit l'étrange et inquiétante lueur verte que projetaient les mains d' Aëlle.
Les 3 adolescentes était en pleine conversation surtout leur dieux ! Franchement j'était un peu perdu dans la conversation il parlais de relation, de leurs temps qu'il on passé ensemble et attend Asclépios a bien mentionné "Si tu es partant pour une bière, en souvenir du bon vieux temps," j'espère que Heph ne voudra pas que je boive a sa place de toute manière j'ai pas l'Age et on me donnerais encore un surnom dégradant qui me vont bien. La clocharde, l'alcoolique ect... Heph' qui avais soudainement rompu son contrôle sur mes cordes vocale pris la parole dans mon esprit.
Merci Yuuki de ton aide grâce a toi j'ai pu revoir un deux vieux ami bien que Bridgid je ne la connaissais pas beaucoup en tout cas n'est crainte je ne te demanderais jamais de faire quelque chose qui peux te contrariée !
Apparemment mes pensée l'avais atteins ! Se fessai t'il du soucis pour moi ? pour ma vie social ? non se n'est pas son genre.
Je lui répondis donc !
De rien Heph' sa ma fais plaisir d'avoir pu t'aider.
Alors que pense tu de ces deux jeunes filles ?
Franchement elle ont l'air sympa mais comme tout le monde elle ont leurs défauts.
Roh faut toujours que tu vois le coté négatifs des chose si tu regardais le coté positif je suis sur que tu sourirais plus souvent.
Pour qui de tout facon a part a toi je parle a quasiment personne ou alors on me repousse a cause de tu sais quoi !
Moi j'aime te voir sourire illuminé ce si beau visage qui est le tien !
Ha excuse moi il me semblais que j'avais Héphaïstos dans la tête et non Cupidon
Tu m'agace fais comme tu veux !
Le silence s'installa entre les deux elle espérais ne pas l'avoir vexé et que les deux adolescentes n'avais pas remarqué sa petit absence sa serais assez embarrassant. Elle pris la parole maintenant qu'elle avais repris la possession de ces cordes vocales.
Ce fut un plaisir de tous vous rencontrer et Heph' était ravis de vous revoir mais pour ce qui est d'aller boire un coup pour faire plaisir a nos dieux je n'y vois pas d'inconvenant tant qui n'y a pas d'alcool et tout façon je ne pense pas qu'on y est accès
Sa voix était bien plus fluide qu'au début il n'y avais plus une pointe de timidité dans ses paroles !
Heph' tu en pense quoi des deux la ?
Moi ? ha tu a besoin de mon avis maintenant ? Ce que j'en pense elle on l'air gentille aux première abords celle avec le chat a l'air assez réservée tant que l'autre a l'air un brin trop franche et tête brulée mais aux moins elle cherche la conversation c'est pas comme quelqu'un avec qui se partage sa tête
- Brigid, c'est ça ? Asclèpios est très heureux de te revoir et vous revoit ses souvenirs de vos leçons , et il est toujours aussi curieux. Et ne vous inquiétez pas, il ne me surmène pas.
Brigid déglutit violemment, qu'avait vu Mary exactement ? Ses leçons de médecines ou..? Brigid sentit ses joues brûler, d'embarras pour Mary et Aëlle qui subissait les souvenirs des dieux mais aussi de frustration. Il était si proche... Elle pouvait le voir quand Aëlle fermait les yeux, elle voyait les volutes de fumées qui évoluait dans le corps de la jeune fille, cet esprit en constante évolution. Elle voyait le squelette fin et délicat, lumineux, ce squelette qu'elle connaissait si bien.
Il ne surmenait pas son "cobaye", c'était bien, il ne devait surtout, surtout pas oublier. Comme à Aëlle, elle avait jadis failli lui montrer son fardeau, le jour ou il avait échoué à ramener à la vie un mortel. Elle avait voulu lui montrer pourquoi il fallait qu'ils les sauvent, qu'il les sauvent tous. Finalement, elle s'était aperçue de ce qu'elle s’apprêtait à faire et elle s'était enfuie.
Il devait avoir chercher à comprendre, mais c'était un secret très bien gardé... Surement connu d'elle seule et de sa prédécesseure, une antique déesse de la terre, sorte de jumelle celte de Gaia. En fait, malgré leurs éternité, les dieux était faillibles, et surtout elles. Cette émotion, cette douleur les amenant sans cesse au bord du gouffre... Elle ne voulait surtout pas y sombrer, pas tout de suite.
Quoi qu'il en soit, il s'était contenter de retrouver la grotte ou elle s'était cachée, et n'avait pas insisté. Il l'avait même consolée. Elle sourit à ce souvenir avant de se souvenir qu'elle ne pouvait pas le toucher, vérifier régulièrement qu'il allait bien, qu'il ne faisait rien de plus inconsidéré qu'à son habitude, ni même lu parler. Elle étouffa un sanglot. Il ne fallait pas qu'elle mêle ses sentiment à Aëlle plus que de raison. Le tremblement agitant ses membres, se répercutant sur la surface plus si lisse que ca de l'esprit de son petit chat étaient déjà plus que suffisant. Mais elle le sentait presque ! Juste au bout de ses doigts ! Mais c'était les doigts d'Aëlle...
- Héphaïstos, je ne suis pas trop jeune pour boire, du moins je ne le crois pas. J'ai seize ans. J'ai était ravi de faire votre connaissance, et Asclèpios est aussi très heureux de vous revoir.
Ces paroles ne résonnèrent pas pour elles, ne leurs étant pas destinées, mais elle sentit Aëlle tâtonner pour la trouver à travers le chaos de leurs esprits.
"Brigid... Arrête de penser"
"Je suis désolé chaton, c'est la première fois que je les revois depuis... Ils sont juste là ! A porter de main !"
"J'ai bien compris." Elle ne se soucie plus du tout de moi. Je suis juste, juste un hôte, un véhicule commode, un frigo à âme !
"Tu es fâchée ?"
"C'est plutôt gênant tu sais..." Aëlle n'était pas tout à fait de mauvaise foi et se concentra vraiment pour s’empêcher de rougir. Elle ne percevait que des brides de souvenirs, mais elle devenait sure que c'était à elle que c'était arrivé. Perturbant.
L'humaine et la déesse était comme ca. A travers leurs esprit entrelacés, si l'une souffrait à force d’allégresse, l'autre la faisait rire tout en se questionnant. C'était une dynamique, elles travaillaient ensemble, dans un seul corps. Et Aëlle se demandait à qui il était vraiment, Brigid en prenait infiniment plus soin qu'elle, elles rêvaient ensemble, et leurs âmes était inséparables. C'était juste par respect, immense presque démesuré, et par une volonté et une bienveillance véritablement divine qu'elle ne prenait pas ce corps. Elle se dit que plier ferait peut être moins mal, mais c'était abandonner ce contrôle, l’œuvre de toute une vie. Une oeuvre que ses proches, sa mère avait dédaigné méprisé pour ne laisser qu'une carapace vide et inutile derrière laquelle elle n'avait pu que se retrancher, une fois vidée de ses derniers espoirs.
"Ce fut un plaisir de tous vous rencontrer et Heph' était ravis de vous revoir mais pour ce qui est d'aller boire un coup pour faire plaisir a nos dieux je n'y vois pas d'inconvenant tant qui n'y a pas d'alcool et tout façon je ne pense pas qu'on y est accès"
"Ne pense même pas à te servir de Heph' pour tester l'alcool. Tu seras curieuse plus tard, tu es bien trop jeune"
"Tu es agaçante Brigid... De toute façon Yuuki n'a pas l'air d'en vouloir"
"Yuuki ?"
"L'hôte d’Héphaïstos. Arrête de rêver au prince charmant deux secondes et suit un peu"
"Ne dis pas hôte, nous ne sommes pas juste de sale bestioles de tes livres de sciences fiction."
"...Tu ignoredélibérément le reste du message ?"
"On va dire qu'on est à égalité... Ca va la tête ?"
"Tu n'as rien d'autre à transmettre ?"
"Oh que si mais..."
"Garde ca pour toi veux tu ?" La coupa Aëlle.
Brigid rougit encore. Elle admirait sincèrement le contrôle de son humaine pour une fois, cette chose qu'elle voulait tant détruire lui était cette fois bien utile.
Aëlle sourit. Elle avait pris sa décision, elle allait attendre encore un peu, puis elle plierait. Elle regarda ses mains entourées d'un halo vert un peu plus fort qu'avant, contrastant sur la fourrure sombre du chat. Il était magnifique maintenant, plus malingre ni terne, il avait un pelage soyeux et sa respiration était plus régulière. Finalement, Brigid guérissait vraiment un "petit chat".
Mary regarda la nuit noire, presque sans étoiles ni lune, par la fenêtre de la salle commune. Un frisson lui parcourra le dos. Elle n'aimait pas trop être plongé dans l'obscurité totale, que ce soit littéralement ou non. Mais ce sentiment, sans le savoir, n'était pas le sien, mais celui d' Asclèpios. Mais elle ne s'en rendait pas compte, ni le dieu d'ailleurs.
- Je ne voudrais pas paraître rabat-joie, loin de moi cette idée, mais je vais me voir contrainte d'interrompre vos petites retrouvailles, si émouvantes soient-elles, pour poser une question. Est-ce que quelqu'un sait si on a le droit de rester dans la salle commune après le couvre-feu ? Car ça fait longtemps qu'il est passé, et sans vouloir vous alarmer si vous êtes nouvelles ici les filles, mais certains pions adorent mettre des heures de colles.
" Mary-Malaria, tu mens honteusement ma chère, la réprimanda Asclèpios, amusé. Les pions n'adorent pas mettre des heures de colle : tu les provoquent en faisant toutes les choses interdites par le règlement, et je te rappelle que tu es ici depuis deux ans, ce qui te laisse deux années pour lire ce minuscule manuel qui te serait pourtant si utile ! "
" Ce n'est pas intéressant comme lecture, grommela en pensée la jeune fille. En plus, on nous a forcé à le lire le premier jour, alors ça suffit.
« Lire ne suffit pas ma chère, il faut aussi s'en souvenir."
Mais Mary ne l'écoutait déjà plus, son regard fixait l'horloge puis la porte, dans un incessant va-et-vient. Elle n'était pas une grande stressée, ce n'était pas dans sa nature, loin de là ! Mais prendre une heure de colle signifiait aussi que le directeur enverrait un courrier à son père, lui causant encore plus de soucis qu'il en avait déjà, et le pire du pire, elle donnerait un mauvais exemple à sa petite sœur. Et de ça, il n'en était pas question. Elle battit la mesure sur ses cuisses, sans se rendre compte de ce qu'elle faisait. Ce mouvement trahissait son impatience, ainsi que la lèvre qu'elle mordait en attendant la réponse des deux jeunes filles en face d'elle.
Il se fessait déjà tard, la lune était haute dans le ciel, elle brillait magnifiquement. je jeta un coup d'œil a l'horloge de la salle elle affichait minuit il commence a se faire tard. Je devrais peut être retourner dans ma chambre, bien qu'elle n'en n'avait pas la moindre envie Heph' pris la parole ce qui sortit la jeune fille de ses pensée !
Nous devrions rentré au dortoir tu va encore t'attirer des ennuis !
Mais non ne t'inquiète pas personne ne va venir a cette heure !
J'en suis pas convaincu personnellement.
En plus c'est la première fois que je parle avec des personnes de ma génération surtout qu'on est colocataire avec Mary sa serrait mieux de bien s'entendre, tu ne pense pas ? Surtout que tu aura quelqu'un avec qui parlez je suis sur que tu a des tonnes de chose a dire a Asclépios !
Je suppose que tu a raison...
Mary prit soudain la parole !
- Je ne voudrais pas paraître rabat-joie, loin de moi cette idée, mais je vais me voir contrainte d'interrompre vos petites retrouvailles, si émouvantes soient-elles, pour poser une question. Est-ce que quelqu'un sait si on a le droit de rester dans la salle commune après le couvre-feu ? Car ça fait longtemps qu'il est passé, et sans vouloir vous alarmer si vous êtes nouvelles ici les filles, mais certains pions adorent mettre des heures de colles.
Elle devrait le savoir les profs n'arrête pas de nous le répéter surtout que c'est écrit dans le manuel donné en début d'année.
C'est surement une tête en l'air comme quelqu'un que je connais bien je suis sur que vous allez bien vous entendre.
Yuuki ignora ce qu'a dit Heph' et poursuivit !
D'ailleurs qu'est que j'ai fais du mien ?
Tu la très certainement perdu comme la plupart de tes affaires.
Elle l'ignora a nouveau, puis répondit a Mary après cette brève conversation avec son dieu !
Non après le couvre feu nous devons rester dans notre chambre et pour ma part je ne suis pas nouvelle et je pense savoir de quel pion tu parle...
- Je ne voudrais pas paraître rabat-joie, loin de moi cette idée, mais je vais me voir contrainte d'interrompre vos petites retrouvailles, si émouvantes soient-elles, pour poser une question. Est-ce que quelqu'un sait si on a le droit de rester dans la salle commune après le couvre-feu ? Car ça fait longtemps qu'il est passé, et sans vouloir vous alarmer si vous êtes nouvelles ici les filles, mais certains pions adorent mettre des heures de colles.
-Non après le couvre feu nous devons rester dans notre chambre et pour ma part je ne suis pas nouvelle et je pense savoir de quel pion tu parle...
Aëlle garda le silence. Rien de particulier à ajouter, et puis... des heures de colles ? Il n'y avait vraiment rien d'insurmontable... A vrai dire, elles n'en n'avait jamais eu, ca pouvait donc être intéressant. Et elle ne risquait pas de s'ennuyer avec Brigid. Déesse qui pesait d'ailleurs très fort sur la barrière protégeant son corps, probablement inconsciemment. Aëlle passa la main dans la fourrure douce de Noir. C'était agréable, chaud et souple. Elle sourit et se demanda si c'était vraiment comme ce petit animal inoffensif que la déesse la percevait. Et comment elle allait percevoir Brigid.
Brigid avait la sensation de tourner en rond, autour de la petite vasque lisse des souvenirs d'Aëlle, le chat sur ses talons. Elle était entouré d'un halo de lumière verte puissante qu'elle tentait tant bien que mal de retenir, mais qui, trop puissant inondait les alentours. Aëlle l'écoulait tant bien que mal en guérissant le Noir. Cette petite avait décidément un excellent contrôle, elle palliait admirablement ses faiblesses. Elle sentit un contact, hésitant.
"Brigid"
"Oui petit chat ?"
"Je... Tu peux arrêter de faire... Ça ?"
"Non"
"C'est moi que tu accuse d'être trop franche ?" La déesse ne répondit pas, comme toujours, la petite s'était engouffré dans la moindre faille.
"Enfin... En faite, tu es trop forte, je vais bientôt lâcher, et alors, je n'aurai absolument aucun moyen de revenir... " La déesse écarquilla les yeux, horrifiée. Elle coupa Aëlle dans son explication.
"Je suis désolé petit chat, vraiment, vraiment désolé, c'est juste que j'était dans le noir depuis si longtemps... Je ne savais pas... Je ne pouvait pas.... Je suis vraiment désolé, mais ça fait tellement longtemps ! Je ne suis pas comme toi ! Je n'ai aucun contrôle ! Je sus si heureuse de les voir en vie, en bonne santé, avec des humains gentil ! Ca atténue notre triste sort... Je suis vraiment désolé, j'essaie tu sais..."
Aëlle l'avait laissée s'épancher, sachant que c'était le moyen le plus simple pour la déesse de se calmer et qu'elle s’arrêtait relativement vite, mais ca commençait à durer.
"Brigid" La déesse inspira profondément, essayant de se calmer. Ce ton, l'intonation qu'avait prise Aëlle, s'était celle qu'elle employait pour calmer les crises de paniques.
"Si je te donne le controle... Seras tu capable de me le rendre ?"
"Oui... J'en suis presque certaine... Mais tu risque gros... Si un surveillant nous prend à faire ca, il ne vas pas te tuer en pensant que je te contrôle totalement ?"
"Tu seras capable de me le rendre. Ne serai ce que par instinct de survie... Et puis, tout ce que j'ai patiemment bâti va s'effondrer si je ne te laisse pas notre corps. Alors que si je te laisse passer, elles seront intactes." L’œuvre de toute une vie de contrôle acharné pensa Aëlle. Je ne suis pas sure que les garder soit une bonne chose songea Brigid Et puis, il n'y a pas grand chose que je ne possède moins que l'instinct de survie... Mais je veux tellement son corps ! Elles gardèrent le silence quelques instants.
"Tu es sure de toi ?"
"Je ne pense pas avoir vraiment le choix. Et, dans tout les cas, je suis sure."
"Je suppose que je devrais te remercier..."
"C'est notre corps. Et puis tu me remercieras après"
Aëlle ferma les yeux, les pauières lourdes. A la limite de s'endormir, elle laissa choir une à une son controle. C'était quelques chose de nouveau. Terrifiant, mais étrangement agréable. L'espace d'un instant, elle vu une étendue d'eau et un chat, à travers les yeux de Brigid. Puis tout s'accélera, elle eue la sensation d'une chute infin dans le noir, sans rien savoir, sans rien sentir. Puis Une voix retentit, et avec elle se dévoila un livre. Sobrement intitulé "Brigid". Elle pouvait voir chaucun de ses souvenirs sur les feuilles couvertes de petit lettres tracées à l'encre verte. Puis, elle baissa les yeux sur ses mains. Elle avait des pattes douce et élastiques. Elle était un chat ? Elle ne fut pas très surprise, les surnoms de Brigid ne partait jamais de nul part.
"Aëlle ? Ca va ?"
"Oui, ne t'inquiète pas... Je te raconterai plus tard... Profite !"
Brigid vu son univers disparaître, se condenser pour laisser place à un gros livre vert, l'espace d'un instant, avant de se retrouver dans un corps chaud, fragile, palpitant. Tout une mécanique, une alchimie qu'elle connaissait par cœur, pour l'avoir mainte fois réparée. Elle ouvrit les yeux qui ne demandaient que ca et se redressa brusquement, portant le Noir contre son cœur. Ce corps était si petit sans Aëlle... Étrange. Elle inspira, testant la capacité des poumons. Faible. Ce corps était emplie de faiblesses et de fragilité. Elle se trouvait presque malingre. Ses cheveux étaient bruns et lisse. Des détails qu'elles connaissait, mais qui n'avait jamais attirés sont attention, parce qu'Aëlle ne s'en souciait absolument pas. Elle sentait l'écharpe, soulevée par son souffle. Le pyjama, large. Le manteau, lourd et chaud. L'aura verte avait maintenant gagnée la tête et la poitrine de Brigid, et quand elle croisa le regard d'Ascleipios, elle gagna son corps tout entier. Bien sur, ce regard noisette n'était que celui de son humaine, pas l'éclat vert qu'elle connaissait, mais sous la peau et la chair, elle pouvait voir ses traits se dessiner en volutes de fumée lumineuse. Elle s'arracha à cette contemplation pour regarder les yeux de feu de l'humaine d'Hephaistos. Il était semblable à lui même, elle pouvait presque l'entendre bougonner de sa puissante voix grave. Enfin, elle balaya du regard la salle sombre. Rien à signaler. Elle s’avança lentement vers As', tout doucement, elle pointa son humaine du doigt.
"-As' ! Ne me dit pas que tu laisses traîner trop longtemps de maladies sur elle ! Elle est toute malingre et fatigué ! Je lui fait un câlin et je lui brise les côtes !"
"Avec mon corps tu peux y aller je pense..."
"Ah ?" Elle ne prit pas la peine de penser ca, et le dit à haute voix. Cette petite ne parlait pas assez, il lui fallait remedier à ca. Enfin, il y avait plus urgent... Puisqu'elle ne pouvait pas causer de dégat... Elle s'approcha d'Asclepios et le serra dans ses bras. Le plus fort possible. Maintenant qu'elle le tenait, elle ne le lacherait pas.
Aëlle soupira, et souhaita mentalement bonne chance à Mary-Malaria. Mais elle ne fit rien, heureuse du bonheur de Brigid. Et puis parce que s'était amusant aussi.
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Sujet: Re: Chat ! [Mary-Malaria, Yuuki, Félidé hémoglobineux] [TERMINE] Mer 1 Oct - 15:30
- As' ! Ne me dit pas que tu laisse traîner trop longtemps de maladies sur elle ! Elle est toute malingre et fatigué ! Je lui fait un câlin et je lui brise les côtes.
À peine cette phrase prononcé, Aëlle serra si fort Mary dans ses bras que celle-ci crût étouffer. Elle ne savait que faire. Rester stoïque ? Lui rendre la pareille ? La repousser de toute ses forces ?Autant d'ordres contradictoires que lui envoyaient son cerveau et qu'elle ne pouvait exécuter. Alors elle restait là, les bras le long du corps, de marbre face à cette étreinte. Et puis, tout doucement, elle prit sa décision. Elle repoussa la jeune fille, mais pas méchamment.
- Je suis désolée, sincèrement désolée. Mais ça ne va pas être possible. Pas avec moi en tout cas. Enfin...je veux dire que...ah ! Je m'embrouille trop ! Bref, retiens juste que je suis désolée.
" Il t'a fallu du temps pour la sortir, n'est-ce pas ? " lui demanda Asclèpios. " Oui. Et...je suis aussi désolée pour toi, Asclèpios. Je ne peux pas. " Asclèpios ne dit rien. Il savourait ce moment, ce moment où Mary lui avait enfin présenté des excuses. Enfin ! Depuis deux ans qu'il attendait ça ! " Oh, ce n'est pas grave. Je peux encore attendre, tu sais ! " " Mais, ça me rend...triste... " " Ne te tracasse pas, Mary-Malaria. C'est ton corps, c'est ta vie, tu en fais ce que tu veux. De plus, je ne veux pas vivre une relation amoureuse par procuration." Les larmes aux yeux, Mary s'approcha d' Aëlle, et déposa un baiser sur sa joue.
- Encore une fois, je suis sincèrement désolée. J’espère que vous pourrez comprendre.
- As' ! Ne me dit pas que tu laisse traîner trop longtemps de maladies sur elle ! Elle est toute malingre et fatigué ! Je lui fait un câlin et je lui brise les côtes.
La pauvre, avoir Asclépios dans sa tête ne devais pas être de tous repos avec toute ces maladies, au moins il y a un coté positif, elle pouvais avoir une bonne excuse pour sécher les math.
Tu sais Yuuki tout le monde n'est pas comme toi et connaissant Asclépios il ne dois pas lui rendre la vie trop dur.
Je me demande, enfin j'espère qu'il ne la laisse pas aux portes de la mort juste avant de la soignée.
Oui sa serais assez possible nous parlons d'Asclépios en même temps...
Yuuki poussa un long soupir et releva les yeux sur les deux jeune filles. D'un seul coup Aëlle se jeta sur Mary et la serra dans c'est bras. Je ne compris pas tout de suite ce qui se passa, ensuite Heph' m'expliqua qu'Aëlle avais sans doute laissé le contrôle de son corps a Bridgid et par un excès de sentiment cette dernière se jeta sur l'hôte D'Asclépios.
Je ne savais plus trop quoi faire ou quoi dire l'une était demi possédez par son dieu et surtout que si un surveillant passais par la on s'en tirais surement pas avec quelque heures de colles et l'autre avais les larmes aux yeux surement par sentiment envers les deux dieux, mais quand des bruit de pas résonnais dans le couloir l'ambiance de la pièce redevient normal
Qui est ? un surveillant ? je fis signe aux filles que nous devrions partir.
Et ainsi nous retournions toute les trois dans nos chambres respective avant de nous faire attraper !
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