Sujet: Titre du su... Hem, question sur les moyen + et fort et d'autres si j'en trouve... Dim 31 Aoû - 20:17
Yohohow à vous, bandes de possédés.
J'ai dans l'idée de m'inscrire sur votre magnifique et merveilleux forum digne d'un... D'une création de Dieux ! (étape 1: passer de la pommade → OK)
J'ai zieuté les Dieux et j'en ai deux qui me plaisent et les deux ont un niveau différent, du coup je voulais savoir la correspondance des niveaux de rp pour savoir lequel prendre. :)
Moyen + ça correspond à quoi ? 5 lignes + 1 ? Et fort ça fait 10 lignes et en plus on doit être musclé ?
Heu... sinon je poserais pas d'autres questions parce que je n'ai pas fait tout le tour, donc si je pose une question alors que la réponse est en gros, gras et heuu bleu foncé à pois vert dans le prochain sujet que je vais lire ben ça le fera moyen... xD
Bonne soirée les gens ! (et on répond dans la seconde sinon je vous transforme en souris !)
Nom d'utilisateur (8D)
Invité
Sujet: Re: Titre du su... Hem, question sur les moyen + et fort et d'autres si j'en trouve... Dim 31 Aoû - 20:20
J'ai oublié ! C. Alec Rosier, je te connais pas mais je te boude en fait... Je voulais faire prof' de mythologie pensant que c'était libre (parce que le sujet que j'ai regardé dit que ça l'est en fait), mais non... T'es prof' de Mythologie !Tu casses tout mes rêves. ;_;
*s'en va bouder à la recherche d'une autre matière*
Encore Nom d'utiilsateur
Invité
Sujet: Re: Titre du su... Hem, question sur les moyen + et fort et d'autres si j'en trouve... Dim 31 Aoû - 20:58
HELLO ! *rougit* Uhuh, c'est bien, continue comme ça et t'auras des cookies gratuits. Et le droit de fumer la pipe de Jaime. Euuuh, pour te donner une idée, je vais poster sous spoilers les rps de gens ayant pris des dieux "forts"... C'est un peu plus que dix lignes... Genre... Beaucoup plus ? Désoléééée ! (xD Héhéhé. On a encore des trucs à mettre à jour. Mais c'est la faute à Jaime d'abord ! Elle met même pas à jour ses DC. Pffff, je travaille avec quoi moi é.è )
Spoiler:
Aëlle Sand a écrit:
Entre les mains des dieux...
Eli' et Félidé hémoglobineux
Comme d'habitude assise en tailleur sur un banc, Aëlle lisait, regrettant vaguement son fauteuil isolé et confortable ou elle pouvait se lover, ou plutôt se recroqueviller en paix, seule. Brigid la faisait de plus en plus sortir dehors, ce qui était agacant, mais la petite brune était parvenu à exiger de la déesse bavarde un silence absolue quand elles étaient dans le parc ou la serre, entourée de végétaux, trouvant ainsi un compromis pour rendre vivable cette situation dont ni Aëlle ni la déesse n'avait désiré, bien qu'Aëlle ne soit pas vraiment sure de cela, la déesse demeurant muette sur ce sujet. Les feuilles d'un hêtre cachait la jeune fille d'un soleil faible, baigné de nuage immaculés. C'était là que Brigid se sentait le mieux, avec le sol sous ses pieds -les pieds de son humaine- le vent sur sa peau et une odeur d'herbe grasse et abondante autour d'elle. La déesse avait le vertige, et le simple fait d'être sur un étage et pas le rez de chausser suffisait à l'angoisser, mais personne n'en savait rien, pas même son petit chat, elle était tout de même une déesse que diable, il fallait garder une réputation à peu prés correcte, même si les dieux savait déjà qu'il lui suffisait de ne pas savoir guérir un être vivant pour ravager la moindre parcelle de son esprit. Autant dire qu'ici et dans la tête d'Aëlle, elle avait les nerf à vif. Elle soupira intérieurement et se pencha sur l'esprit de la jeune fille, plongeant son visage dans l'étang inhabituellement agité de ses émotions, emportée au loin par le livre comme une frêle brindille sur un torrent de montagne. Quelqu'un avait coupé l'herbe et le parfum était plus fort que jamais. La déesse le savoura à travers la respiration régulière d'Aëlle. La déesse se glissa jusqu'à la taille dans l'eau colorée souvenir et de pensées et cligna des yeux, s'emparant des perceptions de l'humaine. Elle voyait les humains, imparfaits, heurtés, malades, mais étrangement beau au yeux de la déesse. Ils étaient ses enfants d'une certaine manière... Ou elle voulait les voir ainsi... L'une attira son regard. L’aimanta même. Son mal était profond, ancien, ancré dans sa jeune et fragile peau, viscéral. Comme son humaine. Et comme son humaine, celle-ci faisait naître le Besoin, irrépressible et implacable. Elle songea qu'elle était bien peu de chose ici, dans cette tête mortelle et éphémère, dans ce corps fragile, à la merci comme un humain de ses propres pulsions.
« Petit chat... Va voir cette personne » « Brigid... Je lis » « Fais le ou je te récite les simples et les symptômes de la coliques su nourrisson en boucle » « Brigid... Je n'ai aucune raison d'aller la voir dans le monde réel » « La colique du nourrisson se caractérise par... » « J'y vais, c'est bon... Tu est agaçante Brigid »
La déesse sortit de l'eau et s'accroupit au bord, posant ses deux paumes à plat sur l'onde à peine troublée d'un frémissement d'agacement.
Aëlle posa son livre dans son sac, remis derrière son oreille une mèche envoyée devant ses yeux par le vent, se leva à contrecœur du banc, faisait craquer les articulations restées immobiles trop longtemps. Elle chassa de son visage le sourire qui avait éclos sous les mots, retrouvant son air parfaitement neutre et se dirigea vers une jeune fille brune, un peu plus âgée qu'elle. Elle se demanda ce que la déesse voulait, trop bavarde ou muette, il fallait choisir avec elle et engagea la conversation de façon normale.
« Bonjour » Sourire froid et calculé « Je m'appelle Aëlle et toi ? » Mine interrogative.
Elle avait parfaitement joué son rôle.
(c)LOKIA
Spoiler:
Nathanaël J. Pryam a écrit:
❝ Laisse-moi être ton héros ! ❞
C'était une journée normale parmi tant d'autres. C'est bien pour ça que je m''étais réveillé en sursaut, suite à un perturbant cauchemar. Andjéty. Il avait le don d'envahir mes rêves, de me montrer des images de son temps... Cela me terrifiait. Mais une pensée m'avait vite apaisé. Celle de ce garçon, qui avait su m'apporter une part de paix, une lueur d'espoir. Je m'étais plus tard souvenue que Jaime était au club de botanique, lui aussi. Je n'y avais jamais vraiment fait attention. Comme à tout ce qui pouvait bien m'entourer. Me levant, je trouvais mon Maître bien silencieux, et cela m'étonnait. Depuis le début de la semaine, il avait été particulièrement silencieux,et ne s'était pas vraiment amusé à me rabaisser. Bien sur, il continuait de resserrer son emprise sur moi, mais... C'était... Différent. Et cela m'inquiétait.
J'aurais pu croire que j'avais passé une bonne matinée. Les gens s'était calmés autour de moi, comme s'ils s'étaient lassés de m'embêter. Le visage fatigué, j'avais essayé d'écouter en cours, Andjéty n'étant pas là pour me rabaisser. Malgré tout, mon niveau ne remontait pas, je le sentais... Mais tout était beaucoup trop calme. Et ce sentiment de malaise ne partait pas. Mais j'étais surement trop naif pour comprendre que ma journée ne finirait pas aussi bien... Alors que la faim me tenaillait, je me dirigeais en direction du réfectoire, pressé, la capuche recouvrant mes cheveux. Je prenais un plateau, choisissais ma nourriture. Le choix m'ouvrait l'appétit, et je ne pus m'empêcher de fermer les yeux en sentant l'odeur de mon plat. Je me décidais alors à chercher une table. Je ne vis pas la main qui se dirigeait vers mon plateau. Lorsque je vis ce dernier voler en éclat, je relevais la tête.
??? • Tiens tiens, mais c'est notre petit morveux...
Le second coup fut porté au ventre, et je tombais à terre, retenant un cri de douleur. Je voyais les élèves s'attrouper autour de moi, et mon angoisse grandissait. Je tremblais, et j'essayais par tout les moyens de me relever, mais je ne réussis qu'à retomber mollement sur mes bras, qui dérapèrent sur les morceaux de verre brisés. Je me mordis la lèvre, alors que je sentais mon coude se déchirer sous ces derniers. J'avais mal, j'avais peur... Je criais intérieurement à l'aide.
Sire Orchidoclaste' • *Maitre, je t'en supplie... A l'aide !*
Mon coeur rata un battement, et la seconde suivante, je sentis les ténèbres m'enavhir. J'avais été faible.
...
Andjéty • Je ... suis... LIBRE !
...
Où suis-je? Quel est cet endroit? Je... J'ai froid... Et... Je... Je ne vois rien. Je cherche un endroit où aller, et j'aperçois une lumière au loin... Mes jambes s'y dirigent d'elles-même, je ne peux les contrôler... Essouflé, j'atteinds enfin la lumière. J'entends un bruit derrière moi, un rire sinistre. Je murmure un vague "Maître?" Alors que je veux me retourner, je sens quelque chose m'agripper. Dans la lumière, ce que je vois me terrifie. Une ombre immense me tient dans sa main. Son sourire est empreint de sadisme, ses yeux semblent contenir le malin... Je crie, je hurle, mais malgré tout, rien n'y fait. Ce dernier ouvre la bouche, comme pour me dévorer. Je me débats. Soudainement, je vois quelque chose. C'est le réfectoire... Mon agresseur est par terre, et la pression de mon pied sur sa cage thoracique le fait suffoquer. Je... Je ne me reconnais pas... Mon visage est teinté de la même expression que cette ombre. Tout ce que je sais... C'est que ce n'est pas moi.
[HRP: Je me suis permise de reprendre ton code pour ce RP. Accessoirement ce n'est qu'une demi-possession. Nathanaël est encore conscient, lui. Mais simplement qu'il se laisse guider.]
Et le temps était venu pour moi de commencer à m'y mettre sérieusement. J'avais passé chaque soir à me défiler, à procrastiner et à tout remettre au lendemain. Mais dans deux jours, c'était la date butoir pour rendre mon devoir de mythologies. Un essai fatidique sur le panthéon du Mont Olympe. Génial. La mythologie grecque ne me passionnait déjà pas vraiment, mais en plus de ça, il fallait que Loki me marmonne sans cesse que c'était vraiment un panthéon d'idiots finis qui n'arrivaient même pas à la cheville des scandinaves. Il était pénible dès qu'il fallait que je me mette au travail, c'est sûrement pourquoi je suis devenu si fainéant, et lui d'humeur massacrante à la première ombre de dissertation. Ne pouvant résolument pas travailler dans ma chambre –trop de divertissement–, aussitôt les cours terminés, je me ruai dans la bibliothèque pour avoir une place qui me permettrait de discuter avec mes amis, si certains me rejoignaient, sans être dérangé par le documentaliste qui ne rigolait jamais, dans ces cas-là. Aussitôt arrivé, je m'installai tranquillement, réservant ma place à l'aide de mes affaires largement étalées sur une table, et partis à la recherche de livres qui pourraient m'aider à répondre à l'horrible question rhétorique du professeur Rosier. Essai sur la Grèce au fil des dieux, La mythologie grecque et sa place dans l'humanité et Le Mont Olympe et ses caractéristiques me semblaient parfaits et suffisants. M'installant sur ma table, de laquelle personne n'avait osé s'approché, je fis barrière à toute pensée néfaste venant de Loki, préférant quand il était d'humeur à m'aider. Mais si le sujet tournait autour d'un groupe de dieu qu'il n'aimait pas, je pouvais toujours rêver. J'ouvris les trois livres afin d'avoir une vision globale du sujet, commençai une petite mind map sur une feuille écornée et me plongeai entièrement dans mon sujet. Comme quoi, je savais être efficace quand il le fallait !
Bien sûr, c'était sans compter sur une espèce de fille a l'air complètement déjanté. Du coin de l'oeil, je la vis débouler dans la bibliothèque comme s'il s'agissait d'une salle de sport. Je sentis Loki s'énerver : si on me déconcentrait, mon travail risquait de durer encore plus longtemps, pour son plus grand malheur ! Avec ses cheveux en barbapapa, elle semblait totalement désaccordée avec le genre de fille qui squatterait une bibliothèque, et je m'en voulus de devoir me coltiner un boulet pareil alors qu'il ne me restait que très peu de temps avant de devoir rendre mon devoir. Je soupirai très fort en espérant qu'elle m'entende. Je n'aurais peut-être pas dû, car elle se dirigea droit vers moi, à vive allure. Je tournai la tête le plus vite possible, fixant d'un air résolu mes livres, et je n'eus pas le temps de vérifier si l'autre était toujours là que je me pris quelque chose de lourd et dur sur le coin du nez. Je fus propulsé à un mètre derrière moi, fesses par terre et un peu sonné, me demandant ce qui m'était arrivé. Je vis une chaise couchée non loin de moi et compris alors que la fille avait je ne sais comment réussi à me l'envoyer sur la tête. « Non mais elle… Mais elle ! Va la voir et crie-lui dessus, Jaime ! » Loki était furieux, je ne crois pas l'avoir déjà vu comme ça. Pour ma part, j'étais énervé, mais elle avait réussi à m'envoyer en même temps que cette chaise dans une autre dimension où je ne savais plus comment réagir. « Allez, bouge-toi ! Frappe-la, non mais tu l'as vue ? Elle se prend pour qui ? » « Ça va, ça va, je vais aller la voir, mais arrête de crier, tu me donnes encore plus mal à la tête que ce que j'ai déjà... » Péniblement, je me levai. La barbapapa ambulante semblait avoir disparu, mais un rapide coup d'oeil au regard des autres élèves m'indiqua le rayon Science-fiction. Tiens, tiens… drôle d'assortiment pour une drôle de demoiselle. Je me remis les cheveux en place –enfin, s'ils avaient déjà une place– et partis la voir. Je me postai à quelques mètres derrière elle, et soudain, ne sus plus quoi dire. « Euhhhh… Loki ? » « Quoi ? » marmonna-t-il d'une voix dépitée. « Je dis quoi, maintenant ? » « ... » « Allez, s'il te plaît... » Loki me murmura finalement une phrase assez construite pour que la nana d'en face sache que, vraiment, percuter les gens sans s'en rendre compte ne faisait pas partie des usages courants. « Salut, m'annonçai-je d'une voix forte et froide. Je n'avais aucune envie de jouer les admirateurs. Surtout pas avec ce genre de fille. T'as vu ce que tu m'as fait, tout à l'heure ? Et tu comptais revenir, tranquillement, avec un livre et t'installer à côté de moi sans t'excuser ? Tu te crois où, chez les sauvages ? » « Non, sur le Mont Olympe... » taquina Loki silencieusement. Cela me ferait vraiment rire, si son dieu était grec. Vraiment.