Allez c'est parti pour présenter cette petite gamine, on se craque les doigts, ptit café, et comme vous l'aurez remarqué j'ai bien dit "Petite gamine". Au premier abord on pourrait croire que c'est un garçon, mais que nenni c'est bel est bien une fille, mais sa c'est une autre histoire !

Cette gamine est plutôt mignonne malgré son allure de garçon. Elle a la peau blanche recouvrant son mètre soixante-dix et ses soixante-deux kilos. Son allure est bien façonnée et ses atouts féminins ressortent peu, un visage joyeux exprimant de multiples expressions, pouvant passer du rire aux larmes en quelque seconde, ou bien aussi au dégoût, de l'ennui ainsi qu'à la colère et ces soupirs pour exprimer tout et n'importe quoi par sa bouche mince aux lèvres fines caractérisant le sexe féminin, capable exprimer tout un panel d'expressions et de sentiments. Elle peut même toucher son gros nez avec sa langue toute rose. Impressionnant non ?

Ses yeux sont d'un violet sublime telles deux perles ancrées dans ses iris on peut souvent les voir briller d'une ardente curiosité pour ce qui l'entoure et parfois ils pouvaient s'illuminer pour montrer son admiration envers quelqu'un ou quelque chose. À préciser qu'elle porte des lentilles. Sa courte chevelure rebelle, des touffes violacées partait dans tous les sens, retombant a l'arrière de sa nuque, le reste calé derrière ses oreilles ! D'ailleurs il serait temps de faire un petit tour chezt le coiffeur, car quelques mèches lui tombent devant les yeux, en cachant un, ce qui lui donnait un petit air mystérieux le seul truc à retenir vraiment sur ses cheveux c'est que c'est le bordel absolu en parfait garçon manqué.

La gamine se trouvait à son goût et si elle était vraiment un garçon elle s'inviterait elle-même en rendez-vous. Question goût vestimentaire, elle avait un peu de tout. Elle s'en fichait complètement de la mode. Elle la massacrait. Même qu'elle n'a ni jupe ni robe, que des affaires de mec.

D'ailleurs on lui reprochait souvent de ne jamais s'intéresser à la mode, comment veux-tu que les gens te prennent pour une fille si aucun effort est fait, mais bon y'a un truc qu'elle aimait bien poser devant le miroir prenant des poses toutes aussi ridicules les unes que les autres elle prit goût aux cosplay depuis qu'elle avait quitté ses parents son hobby resterait bien sur un secret ! On pouvait voir un tatouage dans le haut de son dos entre les deux omoplates c'était un majestueux phœnix entouré d'une aura de feu symbole de renaissance et départ d'une nouvelle vie. Elle se l'était faite quelques jours avant son départ pour le pensionnat Immortalia. C'était un sentiment génial le fait de désobéir pour la première à ses parents pour qui les tatouages étaient l'œuvre de Satan totalement interdit alors que de braver l'interdit dans la famille était souvent accompagnée de coup de ceinture, espéreront qu'ils ne le verront pas, au moins jusqu'à ce qu'elle parte.

Passons à son caractère maintenant. Si vous le voulez bien, de premier abord elle peut paraître dure, assez difficile à approcher, mais, vous êtes bien de la vérité elle tire cette tête, car elle n'a pas appris à faire autrement, mais sinon elle est très gentille un peu trop même souriant pour un rien elle veut juste faire le bien autour d'elle, elle pense qu'en arborant un sourire cela sera contagieux.

Elle est aussi très franche. Elle dit toujours ce qu'elle pense, bien que cela lui cause parfois des ennuis, mais elle s'en balance complètement. Toujours prête à faire la fête, elle est toujours en recherche d'amusement et a s'émerveiller d'un rien ainsi que sa naïveté touchante on pourrait lui faire avaler que le soleil est bleu, mais, elle n'est en rien stupide elle se débrouille pour avoir la moyenne dans toutes les matières. Ses matières préférées étant science chimie et EPS elle avait des notes un peu plus élevées dans ces matières, mais, sa c'était après qu'elle eu connaissance du pensionnat.

Au collège elle était renfermée sur elle même. Ce n'était qu'un zombie qui se contentait de suivre les ordres de ces parents et de se faire discret. En classe bien sûr pour cette partie c'était raté. Elle était victime harcèlement et d'intimidation et sa elle le cachait à sa famille, mais heureusement elle n'est plus comme sa actuellement !  

Tout commenca le 7 juillet 2000 a Paris la petite Megu ouvra ses yeux pour la premiere fois dans ce monde, hein comment sa je doit pas remonter aussi loin ha bon ok le narrateur prend une pause laissons la raconter sa propre histoire !

J'ai grandi les deux premières années auprès de ma mère et de mon père en plein centre de Paris notre maison de ce que je m'en souviens était un vrai nid d'amour pour moi il y avait diverse photo de famille j'étais aimée et chouchouté par mes deux parents mais, cela était de courte durée je n'ai jamais demandé la raison pourquoi papa nous avais quittés, nous laisant moi et maman après une année ma mère se remaria avec un noble du Japon nous allons désormais habiter la bas.

C'était un mariage arrangé avec un grand prêtre qui dirigeait un temple d'un dieu quelconque, la barrière des langues n'étant pas vraiment un problème au lieu du français je faisais mes premières phrases cohérentes en japonais et ma mère a toujours sur le parler vu que son père est lui même japonnais, des lors ça n'a plus jamais été la même chose ma mère était devenue terne et morose presque dépressif noyant ces problèmes dans l'alcool et mon nouveau père était très sévère dès que j'eus l'âge pour pouvoir recevoir ses enseignements, il m'enseigna la voie du samurai ça lui tenait visible beaucoup a cœur et il n'hésitait pas à me frapper pour me faire rentrer ses instructions dans la tête et les villageois savent tout sa mais ne disais n'y ne faisais rien, ils ne voulait pas s'attirer la colère divine des protecteurs du temple !

J'oubliais mon nouveau père ne voulais pas d'une fille pour enfant pour lui les femmes sont des incapable, pas foutue de suivre son précieux entrainement enfoiré de misogyne...

J'étais petite à l'époque je ne pouvais clairement pas me défendre face à un adulte alors j'affichais donc l'image d'un garçon cheveux court et fringues de mecs, j'avais quand même l'espoir que ma poitrine se développe la, il ne pourrait plus affirmer que je suis un mec et malheureusement je suis toujours une planche a pain à mon âge actuelle et mes soucis n'allant pas en s'améliorant.

Je suis alors entrée dans cette immondice qu'on appelle le collège là ou les moqueries se pointent. Restent. Blessent. Et pas besoin de dire, de la façon dont j'en parle, que j'ai été du mauvais côté de la balance pourtant je n'avais rien fais de mal j'étais calme je me faisais toute petite mais, justement c'était une partie du problème l'autre était que je me comportais, m'habillait comme un mec et donc j'étais différente Très vite, je me suis retrouvée l'exclue, la cible de moquerie de ma classe.

Ont m'évitaient pour qu'il ne se retrouve pas à ma place c'est bête ce sont des moqueries stupides.

Mais qui atteignent peu à peu le moral, qui pousse à ce renfermer un peu plus. Je me suis enfermée dans ma coquille, ignorant leurs commentaires, je me roulais en boule dans un coin rêvant d'une vie meilleure. Encaissant les piques qui devenaient de plus en plus violentes, j'étais définitivement brisée, j'étais à présent plus qu'une coquille vide.

Je restait immobile attentant qu'ils finissent leur moquerie pour enfin me laisser passer puis voyant que la violence verbale ne me faisais quasi plus d'effet ils employait la violence physique je me suis dit à cet instant qu'avec l'enseignement de mon misogyne de père je pourrais tous les mettre a terre et m'en débarrassé mais, ça n'aurais pour effet que de m'attirer d'autres problèmes envers ses brutes et ma famille donc je ne fis rien, je les laissais se servir de moi comme punching-ball, je me laissais allez je ne mangeais plus mes résultats en cours était catastrophique et j'essayai de cacher le tout à ma famille, à ma mère surtout. Heureusement ses brutes avait la clarté d'esprit de ne pas me frapper au visage si qui facilitait mes mensonges. Je n'étais plus rien. Je n'avais plus de rêve, seulement des idées de vengeance envers ses brutes et envers celui qui devait me servir de père.

Plus les jour passais et plus mes rêves. Mes espoir. Mes idées était a propos de vengeance sa me rongeais de l’intérieur, puis arriva le jour ou je péta un plomb et décida de m’être mes idées de vengeance a exécution le soir après les cours je suivi le groupe de jeunes qui me brutalisais jusqu’à ce qu'il n'en reste qu'une, je la reconnue direct elle était une des investigatrice qui avais commencé les moquerie.

Je la pris par le col et la traîna dans la ruelle à coté ou personne ne pourrait nous voir je commença a la ruée de coups ! Une fois mise au sol je me jeta dessus assise sur elle je continuais encore et encore de la frapper déversant toute ma haine et ma rancœur, la fille au sol n'avait aucun moyen de défense elle commença à hurler mais personne ne pouvait l'entendre, des larmes coulent telle un torrent sur ses joues, elle essaya de rabattre maladroite ses frêle bras sur son visage pour se protéger mais sa ne servais pas a grand choses puis elle cessa tout mouvement, elle était visiblement inconsciente, je me releva le souffle court j'avais son sang sur mes mains bizarrement je souriais et je suis soudain prise d'un fou rire incontrôlable j'avais clairement virée folle a ce moment, je mis un peu de temps a reprendre mes esprits, j'essuyais le sang de mes mains dans ces vêtements puis je quitta les lieux marchant rapidement, j'étais enfin rentré au temple je montais directement dans ma chambre sans voir ou parler a personne !J'etait clairement pas fière de ce que j'avais fait. A présent que l'adrénaline du moment était retombé, j'espérai juste que je ne l'avais pas tuée je suis pas faite pour vivre en cavale traqué chaques jours.

Le lendemain j'espérais la croiser pour confirmer quelle était vivante mais, aucun signe d'elle c'est finalement quelques jours après que j'appris quelle était dans le coma bon au moins elle n'était pas morte, je me sentais clairement mal à propos de tout sa pourquoi avais t'il fallu que je fasse ça, j'étais à nouveau le zombie d'avant mais a la place de la vengeance une culpabilité immense m'envahit, je me dirigea droit vers la boite au lettre voir ce si il y a avais une quelconque lettre à mon égard disant que j'étais coupable il y avait de la pub surtout et des factures mais un prospectus en particulier avais piquée mon attention : Pensionnat Immortalia en lisant c'truc une deuxième chance s'offrait à moi c'est comme si mon cœur éteint depuis le début du collège c'était remis à battre c'est décidé je mettrai tout pour poursuivre mes études la bas attention le pensionnat me voilà !       

C’était un jour comme les autre sa faisais une petite année que j'avais rejoint le pensionnat, pendant mon année de première je ne m’étais pas spécialement fais d'amis j'etait suffisamment actif pour ne pas me crée de problème et ne pas être a nouveau harceler.

Peu après la rentrée en terminal je fus appelé dans le bureau du directeur, sur le coup je me suis dit merde qu'est que j'ai fais comme connerie encore, promis cette fois qu'importe la faute c'est pas moi sauf pour quelques petits détails mais, voilà ce ne sont que des détails.

Je franchis la porte du bureau du directeur n'étant pas très à l'aise, à peine j'avais fait un pas dans la pièce qu'il demanda de me suivre. On marcha dans le couloir pendant un petit moment jusqu'à s'arrêter devant la salle 3.4 qui avais l'air d'une salle tout à fait banale, il m'invita à entrer puis après ça c'est le trou noir je ne me rappela de rien jusqu'à mon réveille à l'infirmière quand j'entendis pour la première fois la voix je n'y prêta que guère d'importance puis la voix ce fit plus incitante.

Va tu continuer a m'ignorer moi le GRAND roi, le tigre majestueux qui domine les esprit, répond misérable insecte

La c’était sur la voix prévenais de l’intérieur de ma tête sa y j'ai encore une fois viré timbrée bon il n'y aucun mal a lui répondre surtout que y'a personne autour on ne me prendra pas pour une folle.

Euuuuh....bonjour peut tu m'expliquer comme es tu arrivé dans ma tête et sinon les cheville ça va ?

Pitoyable vraiment pitoyable je te ferais savoir que tu peux me parler juste en pensant et j'imagine que je doit me présenté je suis le Roi des Fauves, Maître de la Forêt, Roi de la Montagne le Magnifique Esprit du Courage !

Ok je vais t’appeler Graou

J'entendais Graou dans ma tête marmonner des paroles incompréhensibles apparemment son nom ne lui plaisait pas, eh bah tant pis, donc c'était bel et bien la réalité je n'étais pas devenue folle j'avais bien L'esprit du courage enfermé dans ma tête pourquoi ça n'arrive qu'à moi ce genre de choses et pour couronner le tout j'appris que j'étais transférée dans la classe mythologie, génial...

Test RP: