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Wilhem V. Salford - Eye of the Sun. [100%]
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MessageSujet: Wilhem V. Salford - Eye of the Sun. [100%] Wilhem V. Salford - Eye of the Sun. [100%] EmptyMar 8 Mar - 0:42

 
Wilhem Vane Salford

Caractère et physique

- J'entend à travers tes oreilles, je vois à travers tes yeux, je sent au travers de ton nez. J'aurai dû te connaître entièrement simplement en écoutant tes pensés, mais il semblerait que tu ne penses que très peu à ton passé. Tu ne réfléchis pratiquement pas à ta manière de t'habiller et tu essayes de fermer un maximum ton esprit à moi. Tu es mon hôte, je n'ai pas envie d'utiliser la force pour te connaître, alors je te le demande, parle moi de toi. Ton caractère semble... Si étrange, comme si tu n'en avais jamais un de défini. J'ai envie de te connaître, Wilhem, il serait judicieux pour toi de te décrire à moi.
« Me décrire à toi ? »

C'est vrai, pourquoi je parle, tu peux m'entendre. Tu souhaites en apprendre plus sur moi sans utiliser la force, dans ce cas, je te propose un marché. Je te parle de moi, et lorsque le moment sera venu, j'aimerai en apprendre plus sur toi, en dehors de ce qui est écrit dans les livres, les hiéroglyphes et autre recueil des mythes et légendes qui t'entoure. Je me permet de te tutoyer.

Je ne sais pas réellement comment me décrire. Tu ne connaîtra jamais mon réel moi, ou peut être si, par moment, mais tu ne pourra pas distinguer la comédie du réel, enfin, si on peut appeler ça de la comédie. Si tu avais été dans mon corps il y a quelques années, tu aurai rapidement deviner qui je suis à quel moment. Mon caractère, ma façon de parler, de me comporter, tout change en fonction des personnes avec qui je suis, et maintenant que je ne suis plus seul dans mon corps, cela risque d'être compliqué de me voir, comme on pourrait le dire, au naturel. Je ne réfléchis pas à ma manière d'être avec les gens, c'est pour cela que je précise que tu n'arrivera pas à deviner qui je suis, dans le passé oui, tu l'aurai su. À force d'être ainsi, c'est devenu un mécanisme... Pratiquement comme marcher, respirer, fumer. Enfin, je dis ça, mais tu arrivera probablement à cerner mon tempérament au fil du temps, possiblement certains traits de caractère de ma réelle personnalité, mais très certainement pas cette dernière en entière. Le proverbe « Je pense donc je suis » ne s'applique pas vraiment à moi, tu le remarquera.

Je me doute bien que tu ne veux pas terminer sur cette conclusion, Ô Râ, je peux, à mon humble avis, parler des choses qui ressorte le plus de mon trait de caractère principal et général, que je ne peux pas cacher, même si je le voulais. Puis de toute façon, je ne le veux pas, ça m'apporte une certaine classe, un brun de style, un peu d'élégance et une goûte de  prestance. Je suis très humble aussi, enfin, parfois, à certain moment... Bonne chance, Râ, ta vie avec moi risque d'être ennuyante.

Habiller très régulièrement avec de simples costard-cravate, mon style vestimentaire n'est que très peu intéressant. Je possède un médaillon d'argent autour de ma nuque avec des inscriptions manuscrites dessus. Tu connaîtra ce que s'est lorsque j'aurai décidé de le regarder directement, ou d'y penser. Une montre de bronze est présente sur mon poignet gauche, orné de très léger morceaux d'argents éparpiller aux coins du cadran. Des plumes de faucon à l'intérieur, l'aiguille est fait avec une dent retailler d'un serpent, le Mamba vert de l'Est. Le bracelet de bronze se ferme à l'aide d'une boucle papillon. Elle fait un peu ma fierté, malgré ses matériaux pauvre et pas très attrayant. Sa confections est superbe, la beauté de celle-ci éblouit mes yeux à chaque fois. Je ne la touche que très rarement, et la retire simplement pour dormir.

- Elle a l'air de compter beaucoup pour toi.

Ma corpulence importe peu, non pas parce que je ne l'aime pas, mais parce qu'elle est similaire à la plupart des hommes moyens. Je mesure 1 mètre 77 et pèse dans les alentours de 70 kilos. Je suis légèrement musclé, ma taille de bras est raisonnable tandis que mes abdominaux ressortent pas mal lorsque je les contractes. Je possède des pectoraux assez développé, mais sans plus. Pourquoi dis-je que ma corpulence importe peu avec un corps aussi correct, voir vraiment bon ? Parce que je n'y prête que peu attention, enfin, parfois. Il m'arrive d'aimer les exposer devant un miroir, seul. Je fais un petit peu de musculation dans ma chambre, sans matériel, juste avec mon corps et des livres... Mais assez parler de mon corps.

Mes cheveux sont d'un noir corbeau, à demi-long, j'y prend extrêmement soin. C'est mon pêché mignon, j'adore mes cheveux et je les coupes une fois par mois pour qu'il reste à chaque fois à cette hauteur, avec cette coupe, tout le temps. Mes yeux azur dont la vision égale la plus normale des personnes me permettent de me sentir assez beau lorsque je me regarde dans le miroir. J'arbore une cigarette aux coins de mes lèvres très régulièrement, ça me permet de me soulager, de réfléchir d'une façon plus relaxante. J'aime aider les gens, parfois. J'y prend goût, même si certaines fois je préférerai qu'ils réfléchissent par eux même tellement leurs problèmes sont simples à résoudre.

C'est à peu près tout ce que je peux et veux te dire sur moi, Ô Râ. J'aimerai néanmoins te demander une chose... Je sais que tu peux aisément entrer entièrement dans mon esprit et savoir tout ce que je veux, par la force, par la torture, mais je ne souhaite pas que tu fasses cela. Bien sur, personne n'aimerai ça, mais là je te le demande en tant que ton hôte. Tu peux savoir tout ce à quoi je pense, à chaque moment, mais je sais que tu ne le fais pas tout le temps, parce que toi aussi, tu penses, et que par conséquent, tu ne peux ou ne veux pas forcément m'entendre. Je te demanderai alors de me laisser, par moment, seul, sans m'écouter. Je sais que je ne peux pas avoir de preuve, il se peut que tu me dises oui, et qu'au final, tu m'écoutes quand même, mais je n'ai pas le choix que d'avoir confiance en toi. Tu es le plus haut hiérarchiquement de tout les dieux, Ô Râ, le plus grand, peut être le plus puissant, je n'en sais rien, très probablement, et j'ai foi en ta divinité. J'ai foi en ta prestance, foi en toi. Un dieu tel que toi n'a pas à se rabaisser à m'écouter penser à des choses qui ne te regarde possiblement pas, même si l'on possède le même corps. Alors je te le demande, Ô Râ, roi sacré des terres anciennes, seigneur du soleil et tout puissant Dieu d’Égypte, accepte ma demande et je ferai en sorte que nous ne fassions qu'un pour le restant de nos jours.

- Si tel est ton vœux...

Histoire

Ma respiration est longue, mes mouvements sont lents, mais mon esprit reste calme. - C'est étrange d'entendre quelqu'un dialoguer avec moi directement dans ma tête.
Je me lève délicatement du lit, m'avançant au plus près de ma garde robe. Mes yeux se rives sur le miroir, plaquer contre le mur à droite de la porte. Je retire avec lenteur mon chandail, soufflant toujours le plus silencieusement possible.
- Qui es-tu, Wilhem ?
J'inspire plus fortement à cette question.
- Je t'ai déjà répondu, Ô Râ.
- Imagine qu'il s'agit de ta conscience. Que je suis ta conscience, que lui répondrai-tu si elle te demandait de te décrire ? Que penses-tu qu'elle voudrait savoir de toi ?

Mon corps tombe lentement, assis, en tailleur. Je racle ma gorge, récupérant une cigarette du paquet présent dans ma poche droite en passant. Je rapporte la cigarette ainsi que mon briquet à mes lèvres, l'allumant avec douceur. J'apaise mon esprit, laissant la fumée sortir de mes narines.
- Elle voudrait certainement savoir pourquoi elle est ainsi. Pourquoi elle réagit de cette façon, pourquoi elle ressent des émotions de cette façon là. Elle voudrait connaître mon histoire... Ô Râ, j'implore ta prestance, la beauté de ton âme, s'il te plaît Dieu Égyptien, écoute moi penser, ne regarde pas les images de mon passé, fait toi ta propre vision de ma vie.
Un sourire se dessine sur mon visage, un trait fin et léger, montrant une attirance envers le mental de mon Dieu, une attirance certaine attestant d'une liaison futur et possiblement forte.
- L'Histoire risque d'être longue, même si pour toi une décennie ne représente qu'une seule seconde. Une dernière chose, j'aime conter à la première personne, tu vas devoir t'y habituer.

_______________________________________

L'histoire de mon existence commence le jour de ma naissance, plus précisément le 17 Fevrier 1989. Fils d'horloger et mère de couturière, j'apparais de la belle ville de Livingstone, en Écosse. Mes parents, Finlandais, avait décidé quelques années auparavant d'emménager ici, afin d'explorer de nouveaux horizons, posséder une vie différente et ainsi m'offrir à moi, leur futur enfant, un avenir plus agréable à l'intérieur d'une société mieux fondé, selon eux.

Mes parents sont assez aisés financièrement parlant, je pourrai pratiquement les qualifier de riche. Enfant plutôt heureux, j'entre rapidement à l'école maternelle où mon intelligence inné montre déjà le bout de son nez. Je savais marcher très tôt selon mes parents et avait appris à parler à l'âge de deux ans et demi. Je ne manquais de rien, j'étais très souvent gâté par mes parents. Ils m'offraient presque tout ce que je voulais, quand je le voulais. La vie était très généreuse avec l'enfant que j'étais.

Mes parents avaient fait fortune tout seul, étaient leurs propre patron et travaillaient artisanalement. Ils achetaient leurs ressources, faisaient appel à d'autres artisans lorsque besoin s'en faisait sentir, fabriquaient leurs montres et vêtement, puis les revendaient à certaines grandes enseignes.

Me concernant, je n'ai jamais été capricieux, et je ne demandais que rarement des jouets et autre objet d'amusement pour me détendre. Les jeux vidéos ne m'intéressais guère, la télévision également, je ne portais mon attention que sur les livres. Cette fascination pour la lecture m'a valu, de mon enfance jusqu'au début de mon adolescence, la fabuleuse étiquette de l'intéllo de la classe.

Je n'avais que peu d'ami, et ceux que j'avais, je ne les voyais pas très souvent en dehors de l'école. Ces enfants là étaient également très intéressé par la lecture, mais ils préféraient fuir ma compagnie à la sortie des classes pour ne pas être vu à mes côtés, et avoir également le droit à cet harcèlement psychologique. Durant toute ma scolarité à l'école primaire, je me sentais oppressé. J'avais, bien évidement, l’intelligence pour reconnaître que cette étiquette là m'est attribué parce que je suis mentalement plus évolué qu'eux, mais je n'étais encore que trop jeune pour voir qu'ils avaient également des problèmes.

Petit à petit, j'ai fini par accepter le fait d'être le larbin de mon école, le petit enfant qui se fait embêter à longueur de journée. J'aurai pu combattre, montrer que non, je ne voulais pas l'être, mais ça m'aurait pris bien trop de temps avant de réussir à m'affirmer. Puis, je me disais que si ça permettait à ces personnes là de satisfaire leurs besoins et de souffler avant de retrouver leur vie pathétique et emplit de problèmes, c'était pas si mal.

À la maison, mes parents travaillaient très souvent afin de remplir des commandes de plus en plus nombreuses et de plus en plus compliqué. Ils étaient tout le temps là pour moi dès que j'avais besoin, mais le désire de ne pas rendre la vie plus difficile à des personnes qui font tout pour moi m'empêchait de discuter avec eux. Je préférai rentrer, aller dans ma chambre puis ouvrir un livre. Je m'intéressais énormément à la façon dont pensaient les romancier, qu'est-ce qu'ils pouvaient bien avoir en tête avant de créer leurs histoires, ça m'intriguaient particulièrement.

Mon entré en école secondaire a marqué pour moi la fin de mon harcèlement mental, et le début d'une guerre de nerfs entre moi et mon esprit. En effet, ici, je ne connaissais personne, tout mes anciens camarades étaient dans d'autres écoles, une chance pour moi... Du moins, c'est ce que je pensais.

Les premier mois étaient très satisfaisant pour moi, je n'avais pas d'ami, mais il n'y avait pas énormément de gens qui en avaient après moi. En classe, j'étais plutôt discret, mais répondais juste à la quasi-totalité des questions lorsque je me faisais interroger. Les contrôles étaient particulièrement simple, je me retrouvais très souvent en tête de tableau, pour ne pas dire tout le temps. Je faisais la fierté de mes parents, les mettant en confiance pour la suite de ma scolarité et leur donnant encore plus de mérite avec l'éducation qu'ils me donnaient.

Les choses allaient pour le mieux, le temps passait, les contrôles défilaient, les félicitations ainsi que les appréciations très encourageante des professeurs me donnaient confiance en moi. Tout allait bien jusqu'au jour où, à la sortie des classes, des élèves m'avaient attraper pour me racketter. Nous étions proche de la fin d'année, et ces élèves étaient dans ma classe. L'un d'eux m'avait collé au mur tandis que les autres fouillaient mes poches. Rien, ils ne trouvaient rien sur moi. J'étais confiant, je pensais réellement qu'ils allaient me laisser partir après n'avoir rien trouvé, mais c'était comme croire au père-noël. Ils m'avaient par terre et frappé pendant des dizaines de minutes, répétant que c'est à cause de personne riche comme moi, entouré par de bonnes personnes pour m'apprendre les cours que eux ne pouvaient pas montrer leurs intelligence. Je ne criais pas, je les laissais me frapper, puis, je ne pouvais rien faire. Les minutes qui semblaient être des heures passaient, je me demandais à chaque instant  "Pourquoi ?", mais ça ne servait à rien à part me torturer d'avantage.

J'étais rentré le soir, comme d'habitude, en parlant comme si de rien n'était et montant dans ma chambre. J'étais blessé partout, sauf au visage, où j'avais réussi à me protéger. Ce soir là, des dizaines de questions tournaient dans ma tête. Suis-je réellement chanceux si je subis ce genre de chose à cause de la richesse de mes parents ? Ma vie est-elle précieuse en ce monde ? Pourquoi l'intelligence est autant rejeté par la société ?  Je me posais toutes ces questions, constamment, jusqu'à ce que j'en vienne à la conclusion qu'il s'agit du prix à payer pour avoir un cerveau, un esprit et un cœur comme le mien.

Les jours qui avaient suivit l'agression, j'étais stressé. En classe, je ne regardais plus personne, ayant peur des yeux que je pouvais croiser. J'étais affaiblis, mais je répondais quand même aux questions, très souvent correctement, jugeant que si c'est le prix à payer, autant utiliser au maximum l'intelligence qui m'a été donné.


_______________________________________

Quatre années sont passé depuis ma première année de secondaire. Années qui se résumes assez vite, si l'on compte les quelques dizaines de fois où je me suis fais attraper et frappé pour avoir osé rétorquer à une agression verbal. J'étais toujours faible physiquement, mais j'avais appris petit à petit à encaisser les coups. Les deux dernières années, j'avais acheté des livres d'auto défense, de musculation, parce que je ne voulais pas aller à ces genres de "clubs", je n'aime pas énormément la compagnie de personne. J'ai toujours eu en tête de ne jamais frapper autrui, malgré que je pouvais le faire et que l'on me provoquait. J'aurai pu entraîner mon corps à donner des coups, chercher des informations sur un art martial, l'art de savoir faire mal, mais je ne voulais pas. Mon but a toujours été et sera toujours d'aider à comprendre les raisons des gens à être agressive. Connaître l'intérêt qu'ils ont à ça.

Doucement, j'avais appris également à éviter les disputes, agressions et autre attaques à mon égare. J'essayais de me forcer à devenir différent d'une personne à une autre. Tantôt drôle, gentil, comique, tantôt plus froid, plus calme, plus réfléchis. Toute ma vie je n'ai cherché qu'à savoir comment les gens pensaient et comment les aider afin qu'ils n'aient plus de problèmes, ou le besoin de frapper et d'être méchant envers les autres pour satisfaire et soulager leurs haines et leurs rancœur.

2006, C'est cette année là que j'entrais enfin à l'université. Après avoir sauté 2 classes, obtenu mon Higher et mon Advanced Higher, l'université d’Édimbourg accepte ma demande malgré mes 17 ans, et je me retrouvais en faculté de psychologie dans le département des sciences sociales et humaines. J'étais très heureux d'avoir réussi à avancer jusqu'ici, même si je restais et reste encore persuadé aujourd'hui de posséder un don et d'avoir eu de la chance.

J'appréhendais énormément l'université, parce qu'il s'agissait là d'un tout autre niveau. Tout est différent, le rythme est beaucoup plus effréné et cette école est particulièrement reconnu pour son niveau très soutenu ainsi que très haut. Mes parents m'avaient transféré énormément d'argent sur mon compte, afin de subvenir à mes besoins. Pour mes parents, mon éducation et ma scolarité a toujours été très important. C'était tout ce qu'ils voulaient, que j'ai un bel avenir et que je fasse ce que j'ai toujours souhaité, quitte à mettre toutes leurs économies sur ma tête.

Lorsque je suis parti du cocon familiale, afin d'habiter seul dans un appartement proche de l'université, de quelques mètres², j'avais un sentiment de soulagement. Ils n'étaient pas méchant, c'était des parents adorables, ils étaient parfait, mais je voulais partir... J'avais besoin d'être seul. Dans mes valises, il n'y avait que des livres, quelques habilles, mais surtout une montre. La montre que je possède et que tu as vu précédemment, celle que j'ai autour du poignet actuellement. Comme tu le vois, elle n'est pas synonyme d'un événement tragique ou absolument formidable, c'est simplement la seule chose que j'ai de mes parents, qu'ils m'ont donné et que je n'ai jamais demandé. Tout ce que j'avais, je le demandais, sauf ça. Je l'ai eu sans avoir à en formuler la demande.


J'avais récupéré la montre de la valise, et un petit mot y était accroché. «C'est la toute première montre que j'ai fabriqué, ta mère m'avait aidé à la confectionner, prends en soin, je veux que tu la lègues à tes enfants. Bisous : Papa.»
Je n'avais pas pleuré lorsque je l'ai mis pour la première fois autour de mon poignet, je n'étais pas triste, je n'étais pas forcément content. Je n'avais pas de sentiment énorme ni d'envie particulière de le remercier, j'étais stupide. Cela était très certainement dû au fait qu'à ce moment là, je n'arrivais pas à dissocier ma réelle personnalité de celle que j'essayais de me donner avec les gens qui m'entouraient et que je côtoyais, rencontrais, croisais.

La suite de mon histoire n'est pas très intéressante voir complètement inutile. Je parlais à énormément de personnes dans ma classe, mais ils n'étaient pas mes amis, du moins, je ne les associais pas à ça. Je les considérais simplement comme des collègues de classe, des camarades. J'ai passé cinq ans à travailler sans relâche, trois ans après mon diplôme et 1 an en tant qu'apprenti psychologue dans un centre psychologique proche de la ville.
Mon expérience avec les personnes de ma classe m'a permit au fur et à mesure d'apprendre à mieux cerner les personnalité, à mieux m'adapter aux personnes avec qui je suis ainsi qu'à plus facilement me retrouver lorsque je suis seul. Les cours que j'ai appris m'ont aidé à mieux comprendre mon rôle au sein d'un établissement ou d'un centre, de plus facilement connaître la façon d'examiner un patient ainsi qu'à connaître avec plus d’efficacité et de certitude l'amplitude ainsi que la source de leurs problèmes. Le centre n'a fait que confirmer mes pensées et mes sources.

Je n'ai plus revu mes parents depuis dix ans, mais je garde un contact fréquent avec eux, à l'aide de Skype, de mon téléphone, et très parfois, par lettre. Ils ne me manquent pas tant que ça, peut-être suis-je sans cœur, je n'en sais rien. Une chose est sûre, je leur en suis et serai à jamais reconnaissant d'avoir fait de moi l'homme que je suis actuellement.

La suite de l'histoire tu la connais, il y a trois mois, une lettre est parvenu jusqu'à mon appartement, une lettre d'embauche que j'ai accepté, la paresse empêchant mon corps de se déplacer afin de me rendre moi-même dans un centre ou un cabinet et de demander à les intégrer. Je suis venu ici il y a maintenant deux mois, je suis aller dans cette fameuse salle, tu m'as possédé, et nous voilà aujourd'hui à discuter de ma vie.


_______________________________________

- J'espère avoir satisfait ta curiosité, Ô Râ. Je remercie ta bonté et ta clémence pour ne pas avoir observé les émotions que j'éprouvais lorsque je te contais l'histoire. Je remercie également, avec toute la bonne foi que je possède, ton immense loyauté pour ne pas avoir regarder les images et les instants que je faisaient défilé dans mon esprit durant ma narration. J'espère un jour, connaître ton histoire, comme tu as connu la mienne.

- Je m'en vais me reposer, tu devrais faire de même, Wilhem.

Un autre sourire se dessine sur mon visage, celui-ci montrant ma fierté d'avoir décelé en quelques instants la personnalité de mon dieu, du moins, je le crois. J’éteins ma dernière cigarette avant de m'allonger délicatement sur le lit, déshabillant le haut de mon corps afin d'être plus à l'aise et de m'endormir l'esprit tranquille.

Oh mon dieu


Cet instant ce passe avant les deux textes ci-dessus.

_______________________________________

Qu'est-ce qu'une ombre dans la nuit ? Qu'est-ce que la nuit pour la mort ? Qu'est-ce que la mort pour un Dieu enfermé ? Une âme bloqué éternellement en dehors de son corps jusqu'à ce qu'un hôte s'offre à elle. Tel fût les mots qu'il prononça lorsqu'il prit possession de mon corps. Je me demande où ça nous mènera.

Journal de Wilhem V. Salford.

Assis, au milieu de ma chambre, écrivant à l'aide de ma plume dans mon journal. Je laisse mon esprit se vider petit à petit, déposant la plume à côté de ma page, murmurant à bout de lèvres. « L'Homme est si grand et en même temps si petit. Qu'est-ce qu'un corps si ce n'est l'enveloppe charnel de l'âme ? Maintenant que je ne suis plus seul, qu'un être immortel m'abrite, dois-je mourir ? Mon rôle sur cette terre est-il terminé ? Suis-je apparu pour vivre jusqu'à cette instant présent, et te servir d'hôte ? »

Je me relève, déposant ma montre sur ma table de nuit, dirigeant mon corps jusqu'à mon lit afin de m'asseoir. Ma main récupère une cigarette dans ma poche et la dirige vers mes lèvres, je l'allume. Mes mouvements sont lents et saccadé, mon corps semble si difficile à manier depuis qu'il est là. Tu entends toute mes pensées, n'est-ce pas ?
- Ta perspicacité est grande. Oui, je connais l'humour.

Il est d'une beauté transcendante. Sa voix perfore mon cœur, mes sentiments ont l'air décuplé depuis qu'il est là. Il peut m'entendre, mais peu importe, je ne vais pas m'empêcher de penser à cause de lui... Je le devrai, mais tant que je continu à changer de personnalité comme je le fais maintenant, je n'ai aucun intérêt à me retenir.

Mes yeux se perdent dans la fumée, mes pensées deviennent flou... Je veux le connaître. Je veux que l'on soit d'accord ensemble. Je désire être en cohésion avec son âme. Dieu du soleil, entend ma prière. Tu ne sembles pas vouloir me faire de mal, tu n'as pas l'air de posséder des désires sombre. Puis-je avoir, avec tout le respect que j'ai pour toi, un murmure décrivant tes envies vis-à-vis de moi ? Pourquoi moi ? Suis-je réellement le plus à même de t’accueillir ?

- Tant de questions futiles. Penses-tu sincèrement être plus intelligent qu'un autre ? Crois tu, du fond de ton cœur, avoir plus le droit qu'un autre d'abriter l'esprit de Râ ? Tu es intéressant, Wilhem, je n'arrive pas à te cerner, mais ne te considère pas plus haut qu'un autre mentalement. Le talent se fait surpasser par l'entraînement.

Quelle répartie, Ô Râ. Il ne faut pas que je me laisse aller à la suite de mes acquis, à cause de mon supposé talent. Des dieux enfermé dans une salle, possédant les personnes qui y entrent. Les dieux ne peuvent rien faire sans corps, il ne sont ni plus ni moins que des âmes qui ères. La flamme qui abrite mon esprit ne souhaitait qu'un corps pour pouvoir récupérer sa gloire d’antan ? Peut-être, mais pas que.
- Tu cherches trop, Wilhem, c'est mauvais. Apprend à vivre avec moi, je ne te veux aucun mal. Si tu coopère avec moi, je ferai de même, du moins, si coopérer m'intéresse au moment ou tu voudra de moi. Par ailleurs, j'aime bien ton appellation, appel moi comme ça, cela me rappel la façon dont mon peuple m'appelait.

Un rire, un sourire, mes yeux se ferment. J'éteins avec force la cigarette dans ma main, la faisant tomber dans le cendrier par la suite. Je retourne asseoir mes fesses au milieu de la pièce, prenant entre mes mains la plume, trempant celle-ci dans le pot d'encre qui est déposer à droite de mon journal. Je devrai arrêter de chercher le pourquoi du comment et simplement faire mon travail. Mon âme est rattaché à la tienne, j'ai possession de mon corps, tu as les pleins pouvoirs sur moi. J'aimerai tout de même savoir, à nouveau, avec énormément de respect, quel avantage ai-je à te posséder en moi ?
- Retire ton chandail, laisse moi faire. Tu risques de souffrir légèrement, mais si tu ne souhaites pas avoir ton esprit torturé, laisse moi contrôler tes actes.

Mon sourire s'efface lentement, laissant place à un visage vide et ne montrant aucune humeur particulière. Je m’exécute en retirant avec attention le haut de mon corps, longeant mes bras le long de mon corps. J’interroge mon esprit sur la nature de son pouvoir, sur l'intérêt que je pourrai y porter ainsi que sur la duré de maniement de ce pouvoir, si et seulement si il est possible pour moi de le maîtriser. Je calme mon esprit, soufflant délicatement à plusieurs reprise, cédant mon corps à mon dieu, laissant celui-ci me faire souffrir l'espace d'un instant.
- Je peux désormais utiliser ton corps. Tu vas avoir mal, très mal, mais c'est la seule fois ou tu souffrira autant pour ce pouvoir. Du moins, si tu ne souhaites pas l'exploiter à son maximum. Et pour répondre à ton questionnement, il est possible pour toi, en effet, de contrôler mes pouvoirs.

J'inspire lentement avant de stopper ma respiration, du moins, je pensais que c'était moi qui l'avais stopper. Mon dos se déchire, je n'arrive pas à crier, à hurler. Le besoin de faire sortir toute la douleur qui se dégage de mon corps est immense, mais je ne peux pas. Un gémissement désespérer s'chappe de mes lèvres tandis que mes deux mains se dépose sur ma bouche. Le Dieu Égyptien empêche mon corps de s'exprimer. Je tente par tout les moyens d'apaiser mon esprit, mais la douleur est inhumaine, insensé. Je ne ressens plus rien excepté la douleur, je n'ai plus l'emprise sur mon corps, je ne peux qu'observer la fenêtre en face de moi, les étoiles qui brillent.

Les minutes passent, la torture est insoutenable, je ne sais comment faire pour apaiser mon corps, il semblerait que je sois forcé de me plier à ça. L'envie de demander à mon Dieu d'arrêter est immense, mais le temps passe et à chaque fois je me dis que ça va se terminer, qu'après tout ce temps, demander d'arrêter ne serait que du gâchis, de la souffrance pour rien. Mes yeux observent les étoiles, les astres me saluent, je ressens le sang couler abondamment, la douleur accaparant tout mon temps, absorbant toute mon énergie, débordant, écoutant le bruit des goûtes assourdissants, affolant.

Mon corps se soulève, la douleur est toujours présente, elle augmente de manière exponentielle, j'angoisse, sentant la rivière bordeaux qui longe mon dos. Je me sens comme une étoile filante laissant les traînées derrière moi, une étoile filante que mon dieu pointe du doigt... Je suis en apesanteur, tout me semble sans gravité, j'ai peur, ma douleur commence à se dissiper. Je peux voler.

- Deux minutes. Ta peine a durer deux minutes, tu sembles avoir souffert pendant des années, tes cries étaient insupportables. Ta torture est terminer, tu peux user de tes ailes comme bon te semble, et les faire rentrer à tout moment.

Voler... Tel est le pouvoir de mon Dieu. Je vole lentement dans la pièce, à ras du sol, observant sans émotions le sang au sol. J'ai mal, j'ai toujours très mal. Je me demande la peine que j'aurai à faire rentrer ces ailes à nouveaux. Est-ce là ton seul est unique pouvoir, Ô Râ ?
- J'ai la maîtrise du soleil, et je peux me transformer en faucon, entièrement. Je te laisserai apprendre mes pouvoirs, mais tu risques d'avoir énormément de mal à tout comprendre seul. Je t'aiderai, mais jusque là, contente toi d'en faire la demande, si tu veux transformer entièrement ton corps en faucon, ou si tu as besoin d'utiliser l'aura brûlante du soleil. Sache que je n’accéderai pas à toute tes requêtes, et qu'il te faudra de bonnes raisons pour que j'use de ce dernier pouvoir.

Loyaux... Je me dépose au sol, regardant de mes yeux bleues mon corps dans le miroir. J'inspire un grand coup en souriant, tournant autour de moi même. Mes ailes avaient très certainement du créer d'énorme cicatrice dans mon dos. Deux longues et grosses cicatrices, si l'on regarde la forme des ailes et leurs positions. Je fais le vide dans mon esprit, essayant de maîtriser autant que je le peux, mes ailes. Une par une, elle rentre. L'envie d'hurler me frappe à nouveau, mais j'arrive à garder tout ça en moi, serrant de toute mes forces mes dents. Après de longues minutes, je ne ressens plus la pression de ailes dans mon dos. C'est terminé.

Je me déplace difficilement jusqu'au centre de la pièce, à nouveau, m'asseyant du côté opposé à d'habitude, retournant le journal tâché de sang. Le pot d'encre avait échappé aux goûtes, la plume également. J'attrape lentement ces deux objets, trempant ma plume dans le pot, avant d'écrire, en dessous de mon ancien texte.


Par mon caractère je me contentais de regarder. Mon cœur est un coffre-fort, j'ai du m'armer. Me cacher derrière un masque. Passer ton temps à te braquer. Mon âme est liée, mon cœur ne s'ouvrira probablement plus. Mon possesseur ne me force pas à me soumettre, je ne combat pas sa présence. J'aiderai mon dieu aussi longtemps que je le pourrai, il me prêtera sa vue et son pouvoir aussi longtemps qu'il m'utilisera.  Quand je me sentirai déraciné, je volerai au sommet des arbres. De là-haut, je verrai la mort, faut être prêt si elle approche. La vie, c'est apprécier la vue, après scier la branche.

Journal de Wilhem V. Salford.

Carte d'identité

Mon nom est Wilhem V. Salford, mais tu peux m'appeler Wilh. J'ai 27 ans, mais que tu possèdes ou non un âge supérieur au mien, tu me dois le respect comme je te le dois. Je suis de nationalité Écossaise, mais d'origine Islandaise de part mes deux parents. Je suis aujourd'hui dans le groupe Rives du Nil et Membre du personnel.
Je possède le dieu , enfin, posséder... C'est un grand mot. C'est plutôt lui qui me possède. Sinon, je ne me trouve pas plus beau qu'un autre, je dirai simplement que j'ai un air de ressemblance avec Kougami Shinya de Psycho Pass, tu ne trouves pas  ? Et concernant ma sexualité, je suis Hétérosexuel.


 

Derrière l'écran

Je me nomme Ilhaïm, j'habite en France, plus précisément en région Alsacienne. Je n'aime pas trop parler de moi alors je me contenterai du nécessaire, si cela ne dérange pas trop... J'ai 18 ans, joueur de League of Legends dans l'âme, humoriste à ses heures perdues. J'aime tout ce qui est rattaché à l'histoire du monde, à l'astronomie, aux mythes et légendes, aux anciennes cultures. Je suis quelqu'un d'assez simple, je n'aime pas trop manger équilibré (d'ailleurs je ne mange pas équilibré), mais je ne prend pas un gramme. Musicalement j'aime à peu près tout style de musique (mais je n'aime pas toute les musiques), j'aime le cinéma, les séries télévisé (atm Vikings/Dr.Who/Arrow). J'aime aussi pas mal les mangas, même si je n'ai pas une excellente culture là dedans. Si je ne dois citer que mon préféré, je dirai Psycho Pass. J'aime également tout ce qui est rattaché à la stratégie, au mental, à la psychologie. Alum est passé par là ! ♥


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MessageSujet: Re: Wilhem V. Salford - Eye of the Sun. [100%] Wilhem V. Salford - Eye of the Sun. [100%] EmptyMar 8 Mar - 1:43
Bienvenue sur Immortalia ! lov J'adore ton avatar !

N'hésite pas à contacter le staff à la moindre question, on est là pour ça !
Bon courage pour la rédaction de ta fiche, au plaisir de te croiser dans la partie RP et sur la CB ! :D
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MessageSujet: Re: Wilhem V. Salford - Eye of the Sun. [100%] Wilhem V. Salford - Eye of the Sun. [100%] EmptyMar 8 Mar - 2:12
LES ÉCOSSAIS DOMINERONT LE MONDE!!!! angel Au plaisir de RP avec toi! J'ai hâte de voir ta fiche. Bienvenue officiellement XD, même si déjà fait en CB.
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MessageSujet: Re: Wilhem V. Salford - Eye of the Sun. [100%] Wilhem V. Salford - Eye of the Sun. [100%] EmptyMar 8 Mar - 10:49
Biiiiiiienvenue ! ♥️ *lui fait les câlins de bienvenue*
Bon courage pour finir ta fiche ! soexcited
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MessageSujet: Re: Wilhem V. Salford - Eye of the Sun. [100%] Wilhem V. Salford - Eye of the Sun. [100%] EmptyMar 8 Mar - 14:20
BIENVENUE ! owo

*bave sur ton avatar*
Shinya, voilà quoi /pan/
J'adore le début de ta fiche owo
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MessageSujet: Re: Wilhem V. Salford - Eye of the Sun. [100%] Wilhem V. Salford - Eye of the Sun. [100%] EmptyMer 16 Mar - 7:55
Merci à vous ! Pour l'avatar, c'est ma chère Swanhild qui l'a fait, c'est à elle que revient tout le mérite. Je tiens à m'excuser pour le temps que nous avons mis à achevé nos présentations (elle terminera demain), ainsi qu'au fait de ne pas avoir donné de nos nouvelles.

Concentrons nous sur la bonne chose : J'ai terminé ! Je vous laisse juger ♥
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MessageSujet: Re: Wilhem V. Salford - Eye of the Sun. [100%] Wilhem V. Salford - Eye of the Sun. [100%] EmptyMer 16 Mar - 22:54
Je t'avais déjà souhaité la bienvenuuuuuue ! ♥️
J'ai lu touuuute ta magnifique fiche (parce qu'il faut le dire, elle est genre... Waouw. ), et j'ai quasiment pas de remarques ! :3 Y a juste une faute idiote, je pense que tu as pas du faire attention : le verbe herer pour errer? :p
Je trouve super intéressant la relation avec ton dieu, j'espère juste que tu ne maitrisera pas trop vite tes pouvoirs héhé :p lov

DU COUUUUUUUUUUUUUUUP. JE PEUX DIRE QUE.



Tu es validé !


Te voilà maintenant validé ! Ton rang t'a été attribué en fonction du dieu qui te possède. Il te sera probablement plus facile de nouer des liens avec les autres membres de ton groupe, car vous devrez concourir contre les autres. Avant de pouvoir te mettre à RP, il va donc falloir recenser tout ce beau monde ! Il te faudra t'approprier ton Dieu, T'intégrer dans une classe , Choisir un stylo bic et surtout... Faire une photo de Classe ! ♥️

Une fois cela fait, il te sera possible de jouer dans la partie RP !  Pour trouver un partenaire, tu peux envoyer des MP aux membres qui t'intéressent ou faire une demande de RP. Lorsque tu auras fait plus ample connaissance avec les élèves, tu pourras aller faire ta fiche de liens (nous avons d'ailleurs un très joli modèle ) ainsi que créer ton répertoire de RP. Tu pourras faire encore plus de connaissances en rejoignant des clubs ou en trouvant un colocataire!

N'oublie pas de surveiller régulièrement le secrétariat d'Osiris, ou tu risquerais de passer à côté d'informations importantes.
Pour tout renseignement supplémentaire, nous te conseillons de jeter un œil à Asgard, qui regroupe toutes les choses à savoir et à se souvenir. Et si tu as la moindre question, l'accueil de l'Olympe est là pour que tu puisses la poster. Mais si tu préfères l'envoyer en MP à un membre du staff, n'hésite pas, nous sommes là pour ça !

Toute l'équipe du Pensionnat Immortalia te souhaite un excellent jeu !


Nathanaël J. Pryam
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MessageSujet: Re: Wilhem V. Salford - Eye of the Sun. [100%] Wilhem V. Salford - Eye of the Sun. [100%] EmptyMer 16 Mar - 23:07
WOUHOU RPRPRPRPRPRP!
Ethan M. Shaw
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MessageSujet: Re: Wilhem V. Salford - Eye of the Sun. [100%] Wilhem V. Salford - Eye of the Sun. [100%] Empty
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