Le week-end, le saint week-end était enfin arrivé, je ne l’espérait plus après cette semaine plus que épuisante, Si on m'avais dit que c’était aussi fatiguant de vivre avec une divinité égocentrique dans ça tête, je n'aurait jamais signé c'est toujours moi je suis le plus beau, le plus fort, le plus intelligent, puis moi je n'aurais pas fait comme ça mais, comme ça qu'est que sa peut être agaçant a la longue vous n'imaginer même pas et sans parler des soit disant pouvoirs qu'il me confère avec ma force multiplier par je ne sais combien, j'ai enlevée de ses gonds plusieurs portes, cassée plusieurs tasses et ect...
Les transformations intempestives aussi, je n'ai pas l'habitude de voir des oreilles de tigre et une queue enfin une queue d'animal, de tigre n'allais pas penser a autre chose enfin heureusement que mes transformation n’était jamais complète car j'imagine même pas la panique que sa provoquerais dans le dortoir.
Je ruminais tout sa dans mon lit sa avais beau être le week-end je n'avais pas la moindre envie de me lever mais, il le fallait bien sinon j’allais encore entendre ce satané tigre me tenir un discours comme quoi il se levait au aurore pour... bah je sais pas en faite, demander lui !
J’attrapai vite fais quelques affaires et je traina les pattes vers les douches en baillant comme un camionneur pour la discrétion on repassera, étonnamment Graou était encore calme peut être dormais t'il toujours, attend un peu il est juste une voix peux t'il vraiment dormir, je suis pas assez réveiller pour réfléchir a sa je lui demanderai plus tard a mes risques et périls breeeeef.
J'entrai dans les douches, personne pour mon plus grand bonheur au moins la scène de la dernière fois ne risque pas de se reproduire, je fit attention a tourner le robinet d'eau le plus doucement possible pour éviter de cassé un autre truc et c'est a ce moment que le tigre se réveilla enfin je crois vu qu'il poussa un de ses bâillement qui me résonna dans la tête.
Bonjour petite humaine.
Alors Graou on a fait la grasse mat aujourd'hui.
Combien fois il faudra que je te le répète appelle moi Roi des Fauves, Maître de la Forêt, Roi de la Montagne le Sublime Roi et Maitre Tigre !
Beaucoup trop long Graou suffira.
Un violent rugissement me secoua la tête, je l'avais visiblement énerver et pour me punir il me colla une horrible migraine ce qui écourta la durée de ma douche, la toute suite j'avais plus besoin d'un spasfon. Une fois habillée je me dirigea vers la bibliothèque, j’espérai trouver un livre assez intéressant pour oublier mon mal de tête, la bas j'y trouva un livre intitulée "Les 69 mystère du pensionnat" je commença a feuilleter ce livre, il était évident que la plus part de ces mystère était tiré d'internet ou de l'imaginaire et était surement faux, seul un idiot y croirais, puis en tournant une page je vit qu'un morceau de papier tomba sur le sol, je le ramassa et commença a lire ce qui était écrit dessus "Un cheval blanc sort de l'eau tout les 7 ans au même endroit, les plages de Galway, la dernière fois qu'il était apparue c’était le 30 Juillet 2010" !
Sur le coup je me suis dit que ce n'est qu'un ramassis de connerie puis je me souvient d'une émission que j'avais vu un témoignage en parlait également puis aujourd'hui était le jour ou il était censé apparaitre, grosse coïncidence quand même que je trouve ce livre le jour même ou il est censé apparaitre mais, finalement ma curiosité l'emporta sur ma raison, je prit mon sac pour me diriger vers le bus qui m’emmènerais vers Galway !
Le trajet dura environ quarante-cinq minute pour arriver jusqu’à Galway et quinze minutes de marche pour arriver a la plage, tant bien même j'ai fais un arrêt pour acheter des sandwichs pour quand j'aurai faim, j'enlevais mes chaussures pour sentir le sable chaud sous mes pieds c’était une sensation plus que agréable, il faisais beau ce qui est extrêmement rare ici il faisais chaud et une petite brise soufflait en ce moment cette endroit ressemblais au paradis même si ce cheval n'existait pas je n'aurait pas gâchée ma journée.
Tu crois vraiment a ces sottises humaine ?
Oui !
Après tout j'avais un dieu des constellation d'orient dans ma tête alors bon si il sortait un cheval blanc ou même un pégase ou alors une licorne de l'eau c'est totalement possible et je ne voudrais rater ce spectacle pour rien au monde !
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Sujet: Re: Allons a la plage ! Mar 1 Aoû - 2:47
Je sais que tu y tiens mordicus mais, serait-il au moins possible de faire un léger changement à ta routine? Essaie d’emprunter un chemin différent, passe à la bibliothèque avant ta course, vas-y une heure plus tard, je ne sais pas, mais change quelque chose! Tu ne croises jamais personne, il n’y a aucun événement marquant, chaque jour est identique au précédent, c’est d’un ennui. Moi je trouve ça ennuyant et j’imagine que je n’ai nul besoin de te rappeler que j’ai été oublié pendant des milliers d’années, seul, dans le néant, sans divertissement aucun. Si on voyait au moins les oiseaux ça serait bien, mais tu pars faire ton programme avant même qu’ils ne se lèvent. Il fait tellement noir qu’on a peine à apprécier la beauté du paysage. On ne parle avec personne, jamais nous ne rencontrons d’amis non plus. Probablement parce que tu n’as pas d’amis.
C’est bon, tu as fini? Une chance que tu n’as pas besoin de respirer parce que tu manquerais d’air avant la fin de tes discours, c’est incroyable combien tu peux placer de mots d’un trait.
Comment oses-tu mettre en doutes mes capacités, moi qui ai créé le langage et la logique, moi qui connais absolument toute la connaissance portée par l’homme, moi qui fus choisi par Osiris pour présider le jugement des morts, moi qui …
Toi qui n’arrive pas à arrêter de parler une seconde. Je cours le matin pour avoir du silence et présentement, tu m’en prives. On fait un marché : ce matin, tu décides où je vais, MAIS, excepté pour me dire ‘’Gauche’’, ‘’Droite’’ ou ‘’Tout droit’’, tu te tais.
Je le sentais déjà se préparer à protester, ce à quoi je rajoutai :
Ce sera ça ou bien je passe ma journée entière à lire des bandes dessinées. Je mets de l’eau dans mon vin Thôt, essaie de faire de même s’il te plaît. Je sais que rien de ce que je peux te proposer ne te plaira, à moins que je fasse exactement ce que tu dis, et je n’en ai pas envie aujourd’hui. C’est le mieux que tu auras, c’est ma réponse finale.
Je l’entendais presque réfléchir. Il avait envie de rouspéter, je le ressentais, mais l’idée d’avoir du contrôle lui plaisait énormément. J’attendais plus ou moins sa réponse en laçant mes espadrilles. Dans le meilleur des mondes, je l’avais légèrement blessé en lui disant de se taire, il allait me bouder pendant quelques heures et j’allais enfin avoir du silence. Tout ce que je reçus comme réponse fût un À droite plutôt froid lorsque j’eus mis le pieds à l’extérieur des dortoirs.
Thôt me fit ainsi naviguer au travers du campus et, par la suite, du village. Je pu découvrir de nombreux endroits que je n’avais encore jamais visités. Ça me donnait tranquillement envie d’essayer de nouveaux chemins à chaque jour, chose que je me promis de dire à Thôt quand nous allions être revenus à l’école. Graduellement, j’entrai dans une espèce de transe, j’avançais sans vraiment y porter attention, je tentais de faire le vide en moi. Mais plus le temps passait et plus nous nous éloignions de la chambre. Le soleil montait de plus en plus haut dans le ciel et il faisait donc de plus en plus chaud. Ça devait faire tout près d’une heure trente que j’étais partie maintenant, je commençais à avoir soif et j’étais affamée. J’avais bien une bouteille d’eau dans mon sac mais je n’avais rien à manger et l’idée même de devoir retourner chez moi avant de pouvoir me mettre quelque chose sous la dent fit gronder mon ventre de désaccord.
Voilà, maintenant qu’on est loin de chez nous et que tu n’as pas de bandes dessinées sous la main, ta menace ne fonctionne plus. Je me permets de te faire remarquer qu’il aurait été audacieux de t’apporter de la nourriture, puisque j’imagine que tu n’as pas la moindre idée de comment retourner à la chambre.
Le ton d’auto satisfaction qu’il avait me prit complètement au dépourvu, tellement que j’arrêtai ma course. Il avait raison, je ne n’avais aucune idée d’où je pouvais bien être, mais je n’avais nulle envie de lui donner raison. Un orgueil que je ne me connaissais pas me forçais à ne pas lui demander d’aide, j’allais me débrouiller toute seule. Au bout de la rue se trouvait selon toute vraisemblance une plage, il devait y avoir là-bas quelqu’un qui pourrait m’aider à me retrouver.
Thôt marmonnait des choses en arrière-plan dans ma tête mais je faisais tout mon possible pour l’ignorer. Ça ne semblait pas vraiment lui déranger, à croire qu’il aimait le son de sa propre voix. Ce qui était parfaitement logique pour un dieu orateur. La première personne que je vis en arrivant à la plage était un garçon qui devait avoir à peu près mon âge. En fait, il y avait bien d’autres personnes à la plage, mais celui-là se démarquait principalement parce que sa chevelure était mauve. Je pris tout ce que je pu amasser en terme de courage avant de m’avancer vers lui.
« Heum… Je suis… Heum… le nom de Ashlotte… Heum… et je… Heum… j’ai perdu la route. Heum… Peux-tu… Heum… être de l’aide? J’ai … Heum… je cherche la plus… Heum… La plus grande école. Heum… Immortalia. Heum… Comment je peux… heum… y aller là-bas?»
Comme d’habitude, pendant que je parlais j’agitais mes mains en tentant de les garder immobile, ce qui donnait un spectacle un peu particulier peur ceux qui n’étaient pas habitués. J’entendais Thôt maugréer des insultes en arrière de mon esprit, mais j’étais complètement concentrée à essaye de ne pas paniquer à la réponse du garçon. En toute hâte, pour essaye de ne pas être impolie, j'ajoutai:
«Par... Heum... par comment les... Heum... les gens te nomment?»
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Sujet: Re: Allons a la plage ! Mer 2 Aoû - 16:14
Allons a la
plage !♥
feat Ashlotte
La légende d'un chevaaaal magiiique
J'étais bien tranquillement a attendre ce cheval sensé sortir de l'eau, mais attend un cheval n'a pas de branchie, merci captain obvious, comment pourrait t'il respirer sous l'eau.
Je vais te le dire comme y peux humaine, c'est parce qu'il n'existe pas.
Y'a une semaine j'aurai aussi dit que tu n'existe pas mais tu est bien la et c'est peut être une autre race genre comme un hippocampe.
J'avoue que si il s'agit d'un hippocampe sa serait quand même beaucoup moins epic et merveilleux mais bon, jcrois que je préférait qu'il ne se passe rien et sa me semble impossible qu'un hippocampe traine dans ces eaux.
Je m’allongea sur le sable chaud regardant les gens au alentour, bien qui faisais chaud il n'y avais pas beaucoup de monde pourtant c’était l'occasion d'en profiter puis mes yeux se détourna pour regarder me ciel, un nuage orageux se formait au loin, je me disais aussi c'est trop beau pour durer, espérons que ce cheval ce magne le cul enfin si il existe car je n'avais aucun envie de rentrer trempé, soudain une petite voix me sorti de mes pensées.
« Heum… Je suis… Heum… le nom de Ashlotte… Heum… et je… Heum… j’ai perdu la route. Heum… Peux-tu… Heum… être de l’aide? J’ai … Heum… je cherche la plus… Heum… La plus grande école. Heum… Immortalia. Heum… Comment je peux… heum… y aller là-bas?»
Oooh trop mignonne j'ai une envie folle de la câliner, non non Megu calme donc tes pulsion ce n'est pas le moment, il me fallu quelques secondes pour reconstituer sa phrase dans ma tête car elle n'a pas vraiment été claire donc en clair elle s’appelle Ashlotte elle s'est perdue et cherche a rentrer au pensionnat, elle a de la chance le petite, j'habite la bas aussi, j'allais lui répondre quand soudain elle ouvra a nouveau la bouche.
«Par... Heum... par comment les... Heum... les gens te nomment?»
Décidément elle était vraiment timide et sa la rendais encore plus mignonne sa va être dur de contenir mes pulsion de câlineuse professionnel et elle faisais ce truc avec ses main je me demandais si ce n’était pas pour contenir çà gêne. Graou me rétorqua que j'étais une inculte et que ce quelle faisais avec ces mains n'était qu'autre que le langage des signes, effectivement sa je ne connais pas, je me releva donc d'un bond pour répondre a la jeune fille.
Bonjour, je m'appelle Megu et si tu cherche a rentrer au pensionnat tu peux prendre le bus a l'autre bout de la rue mais il arriva que dans une heures environ alors en attendant tu peux t'assoir avec moi, enfin c'est comme tu veux.
Je lui adressa un grand sourire et lui mis une petite tape sur l’épaule et je reposa mes fesses sur le sable aussitôt puis des bruits quelques peu étrange se fit entendre, sur le coup je me demanda si le cheval n'allait pas enfin sortir de l'eau et qu'on pourrais voir ce magnifique spectacle mais quand ce bruit retenti a nouveau je compris que ce n’était que mon estomac, je me sentit assez bête sur le coup.
Je prit donc les différentes choses que j'avais achetés pour calmer l'horrible bête qu’était mon estomac et j’invitai Ashlotte a se servir si elle aussi avais faim.
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Sujet: Re: Allons a la plage ! Mer 9 Aoû - 1:41
J’imagine que tu progresses, ta phrase avait un certain sens. En revenant chez toi, nous essayerons de trouver des astuces pour t’aider à structurer tes phrases adéquatement.
C’était probablement sa manière à lui de m’encourager ou de me complimenter. Après tout, c’était sa faute si j’étais dans cette situation, c’est lui qui m’a éloigné de la chambre. S’il n’avait pas insisté pour que je change mes habitudes, je serais tranquillement assise à l’ombre d’un arbre à lire un bouquin. Je me disais que ça ne servait à rien de ruminer ce qui aurait pu être et qu’il fallait simplement vivre le moment présent quand le jeune homme me répondit avec un grand sourire et une tape sur l’épaule :
« Bonjour, je m'appelle Megu et si tu cherche a rentrer au pensionnat tu peux prendre le bus a l'autre bout de la rue mais il arriva que dans une heures environ alors en attendant tu peux t'assoir avec moi, enfin c'est comme tu veux. »
Il se rassit sur le sable et sembla chercher quelque chose au loin dans l’eau, changea d’idée et sorti des sandwichs de son sac et m’invita à me servir si le cœur m’en disait. Même si j’avais décidé de refusé, mon ventre allait finir par grogner tôt ou tard, je décidai donc de m’asseoir avec lui et d’attendre le prochain autobus. Je profitai de quelques instants de silence pendant notre repas pour me construire une phrase bien claire dans ma tête. Après un petit moment, je demandai :
« Merci pour le sandwich, … heum… c’était délicieux. Tu viens souvent… heum… ici? Heum… à la plage? »
En attendant sa réponse, je remarquai malgré un moi un groupe de garçons au loin qui me pointaient en ricanant. Peut-être parce que j’étais en tenue de jogging sur la plage? Peut-être parce que j’étais complètement recouverte de sueur? Peut-être parce qu’ils m’entendaient essayer de communiquer?
Les gens pointent ce qui est différent et présentement, tu détonnes beaucoup dans un décor terne avec tes vêtements si colorés. Ignore-les, rien de ce qu’ils peuvent dire ne t’apportera le bonheur, alors rien de ce qu’ils peuvent dire ne mérite d’être écouté.
Or, comme s’ils avaient été attirés par l’insulte de Thôt, ils décidèrent de s’approcher de nous. Je faisais de mon possible pour les ignorer, mais il était apparent qu’ils se dirigeaient vers ici. Je ne savais pas ce qu’ils nous voulaient, mais je n’avais pas non plus envie de le savoir. Si les conversations en tête à tête n’étaient pas mon point fort, celles à plusieurs personnes devaient pratiquement être un handicap. Je souhaitais si fort qu’ils s’en aillent ailleurs, mais ils se plantaient devant Megu et moi avec un air narquois. Je regardai Megu avec un air suppliant avant même qu’ils n’aient ouvert la bouche
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