Bien le bonjour ! Je m'appelle Iris Violette Chevalier, mais vous pouvez m'appeler Iris. J'ai 17 ans, mais l'âge n'est vraiment qu'un chiffre, vous savez ? Je suis de nationalité Française, bien qu'ici cela n'ait pas vraiment d'importance… J'appartiens aux Celtics, est-ce que c'est le moment de faire la blague sur Boston ? Niveau dieu, c'est… compliqué. J'ai complètement tiré le gros lot à la loterie de la salle 3.4 et je me suis retrouvée possédée par trois dieux à la fois – Luchta, Credne et Goibniu, aussi connus comme étant la Trinité des Artisans. Ils ne sont pas méchants mais la situation peut devenir rapidement ingérable si l'un laisse ses outils traîner sur l'atelier de l'autre… Et je ne vous parle même pas de l'état de ma chambre. Quant à moi, je me contente de ressembler à D-ne du Shuuen no Shiori Project, et c'est déjà bien. Ah, et on me demande dans l'oreillette de préciser également que je suis asexuelle. Ça en dit long, hein ?
PHYSIQUE ET CARACTERE
De bleuets et de violettes
Le cliché de la présidente du conseil des élèves dans un anime de sport. Iris est sérieuse, travailleuse et quelqu'un sur qui on peut compter. Elle n'a pas peur des responsabilités et ne demande qu'à faire ses preuves. C'est sans doute une future gestionnaire ou une femme d'entreprise. En attendant, c'est déjà la bonne copine qui vous laissera toujours recopier le devoir de grec ancien que vous n'avez pas eu le temps de faire parce que vous étiez entrain de gagner le triathlon inter-lycée, ou quelque chose dans ce goût-là, tout en vous engueulant un peu quand même, pour la forme. Si vous vous montrez particulièrement convaincant, elle arrivera même à faire la mou.
Plus sérieusement, Iris est une adolescente sympa, un peu intello sur les bords et beaucoup trop mature pour son bien. Sécher les cours, boire, malbouffer – oui, mais avec modération. (« Avec qui ? » « Oh, ta gueule, Credne. ») La côtoyer est d'un ennui mortel pour la plupart de ses camarades, mais pourquoi se préoccuper de se faire des amis quand on peut taper la bavette avec Platon par bouquin interposé ? Iris ne souffre pas de la solitude. Même avant de servir de réceptacle à trois Dieux celtes, elle s'en était toujours très bien accommodée. Bien au contraire. C'est une introvertie qui trouve son plaisir dans la lecture, l'écriture, le dessin, les jeux vidéo ; dans des activités solitaires qui ne lui imposent pas la compagnie de ses pairs.
Quel intérêt y a-t-il à mélanger sa salive avec celle d'un autre, ou à commenter sur la tenue d'une telle ? On ne la verra que rarement en soirée ou entrain d’enfreindre le règlement. Pour vivre heureux, soyons discret… Iris n'aime pas se faire remarquer, même en bien.
Elle aime à se dire qu'elle jette un regard détaché et rationnel sur le monde. Devoir vivre en communauté l'épuise et elle s'est peu à peu construite une tour d'ivoire d'où personne ne saurait la délivrer. (Encore faudrait-il qu'elle le veuille !)
Elle apparaît au coin de votre œil et vous ne la remarquez pas. Iris se fond dans la masse. Une taille moyenne, une corpulence normale, une carnation pâle et courante en ces contrées… Oubliez la beauté fulgurante ou le corps d'athlète et reprenez une activité normale.
La jeune fille n'a jamais cherché à se démarquer par un style vestimentaire délirant. Au contraire, elle s'épanouit parfaitement dans un style classique et discret.
On la verra généralement chaussée d'une paire de ballerines ou de basket, des sandales l'été et des doc marten's l'hiver. Elle portera jupe ou pantalon selon son humeur, refusant de sacrifier à cette aberration qui consiste à ne porter qu'un leggings avec ses hauts. On lui reconnaîtra un style plutôt sobre et passe-partout, des vêtements amples et mignons sans être forcément hyper féminins. Elle ne se maquille pas, si ce n'est pour Noël ou le Nouvel An, et attache généralement ses longs cheveux noirs avec des rubans. Elle aime les chignons pas trop hauts et les tresses, les queues de cheval et les demi-queues.
Son visage reste dans les mêmes tons, banal, moyen. Elle a les yeux d'un bleu terne et peu marquant. Si ses traits sont fins et dépourvus de toute malformation, ils sont pourtant imparfaits, légèrement asymétriques – un œil un peu plus grand que l'autre, le nez petit et pointu, les oreilles décollées – en un mot, humains.
HISTOIRE
insert something witty here
L'histoire d'Iris est longue et poignante, comme une tragédie grecque… Ou pas. En fait, non, vraiment pas. Elle n'a pas été abandonnée par ses parents ou trouvée à moitié mourante dans une poubelle. Elle n'a pas eu à échapper aux coups de ceintures d'un père alcoolique ou aux amants vicieux d'une mère se prostituant pour payer ses rails de coke. Elle n'a pas grandit dans l'ombre d'un frère aîné préféré et adulé, ou à changer les couches de ses multiples cadets.
L'histoire d'Iris est à son image : banale. Elle est née à Vallon-Pont-d'Arc, un tout petit village ardéchois, d'une mère institutrice, Christine, et d'un père facteur, Edouard. Ses parents étaient très heureux d'avoir une fille comme petite dernière et ils ont voulu lui donner un nom de fleurs pour marquer le coup. Elle est la cadette d'une fratrie de trois. Il n'y a rien de bien intéressant à dire sur ses deux grands frères, si ce n'est qu'Arthur est à Sciences Po Aix-en-Provence et Benoît en école d'ingénieur à Strasbourg. Les trois Chevaliers entretiennent des relations cordiales les uns avec les autres, maintenue par de nombreux mails et conférences Skype. Les garçons semblent tous les deux bien partis dans leur voie respective, et avec Iris admise dans ce grand pensionnat outre-manche, M. et Mme Chevalier redécouvrent les joies de la vie de couple pour les pré-retraités.
La petite famille a vécu quelques années au village, avant de déménager à Lyon un peu avant l'entrée d'Iris en CM1. La vie y était très différente de celle de la campagne, mais Iris s'y fit comme un charme. La bibliothèque du quartier y était bien plus fournie et les activités extra-scolaires plus abondantes. La petite fille s'essaya à la gymnastique, au théâtre, au piano et même à l'équitation. Elle trouva finalement son bonheur dans des cours d'arts plastiques, exprimant son imagination un crayon à la main.
Après un parcours classique jusqu'en seconde générale, Iris entra en première littéraire. Elle se voyait déjà artiste, aux Beaux-Arts ou aux Gobelins, mais un prospectus en entraîna un autre, et elle se retrouva à passer les examens d'entrée pour Immortalia.
OH MON DIEU ET TEST RP
buy one get three
Pendant longtemps, le bureau d'Iris fut un autel dédié aux études et aux activités intellectuelles. On y trouvait plusieurs livres, alignés contre le mur par thème et par ordre alphabétique, trois trousses pour trois types de fournitures scolaires, une pile de copie vierge, une lampe et parfois une pomme ou une bouteille d'eau.
Puis Luchta suggéra l'achat d'un kit de bricolage de base – pas grand-chose, une scie, une hache, un marteau, un couteau à bois, quelques pinces et un serre-joint. C'était vraiment le minimum, au cas où il leur faudrait fabriquer une lance en vitesse. Iris tenta de lui expliquer que ce ne serait pas forcément nécessaire, mais Goibniu remarqua qu'il manquait un fer à souder et une enclume, ce qui serait vraiment la base de la base de toute forge de ce nom. Iris résista à l’installation d'une fonderie dans sa chambre d'internat, mais craqua quand Credne se mit à pleurer en passant devant le rayon des gommes à poncer. Est-il vraiment nécessaire de poursuivre ?
Iris s'entend relativement bien avec le trio des dieux artisans. Ils ne sont pas méchants et peuvent s'avérer vraiment pratiques quand quelque chose se casse ou s'abîme… même quand rien ne se casse, en fait. Ils ne peuvent pas s'en empêcher. La jeune Française se retrouve à tailler des pointes de flèches entre les cours et à faire des tours réguliers à la déchetterie parce que, tu comprends, jeune fille, ça peut encore servir. Au secours.
On croirait avoir trois papis provençaux coincés dans la tête, trois vieux paysans qui remonteraient un ordinateur à partir de rien mais ne sauraient pas l'allumer. Trois nains au fait des règles de la maçonnerie mais incapable de l'aider pour ses devoirs de maths ou de ne pas faire de commentaires quand elle prends sa douche. Trois dieux oubliés depuis si longtemps que la seule perspective d'un tournevis leur donne l'eau à la bouche.
Luchta aime tout ce qui a attrait au travail du bois, à la charpente et au meubles. C'est le plus sociable des trois et de loin le plus facile à gérer. Il comprend les inconvénients que cette situation peut présenter pour Iris, mais parle quand même régulièrement de reconstruire des grands bateaux à fond plat dans le parc du pensionnat, hein, comme au bon vieux temps ?
Le bon vieux temps ? Credne -adore- le bon vieux temps. Il ne parle que de ça et, malheureusement, il parle beaucoup. Il ne veut pas entendre parler de quoique ce soit de plus moderne qu'une épée large. Les armes à feu sont des hérésies et les micro-ondes aussi, d'ailleurs. Sans parler des voitures – on n'en ferre pas les roues, et c'est bien dommages – des téléphones et des radiateurs. Quel intérêt d'avoir de l'eau chaude immédiatement, si c'est pour mettre tous les faiseurs de chaudrons sur la paille ?
Ça, Goibniu est bien d'accord. Ce monde manque de métal, et Iris a déjà essayé de leur faire écouter du Korpiklaani… Non mais vraiment, vous arrivez à survivre sans torque au cou, vous ? Bah Goibniu, non, et n'approchons pas du sujet épineux des différences de qualité évidentes entre la bière brassée au banquet des dieux et la Heineken qu'Iris a réussi à leur dégotter en toute illégalité.
Test de RP:
Le noir… Le noir… des ténèbres profondes, des ténèbres sans fin. A peine la porte de la salle 3.4 refermée derrière elle, Iris s'était sentie chuter. Le sol s'était dérobé sous ses pieds et elle tombait, elle tombait, dans une chute sans bruit et sans fin.
Elle avait voulu crier, mais aucun son n'était sorti de sa bouche. A la place, trois lueurs étaient apparues dans les ténèbres, trois flammes des trois couleurs primaires – rouge, bleu et jaune. Elles étaient apparues loin, très loin en dessous d'elle, mais Iris sentait bien qu'elle s'en rapprochait. Ami ou ennemi, elle ne pouvait qu'espérer qu'ils l'aident à se sortir d'ici…
La suite, la jeune fille ne s'en souvenait pas. Elle avait ouvert les yeux à l'infirmerie du pensionnat, avec un mal de crâne de tous les diables et le souvenir d'un rêve bizarre.
Le Directeur l'y attendait au milieu des relents de produits chimiques. Il lui avait servi un monologue des plus… des plus… Si ce n'était pas le Directeur, Iris l'aurait qualifié des plus farfelus; mais la Française était au pensionnat depuis plusieurs mois et avait appris à se méfier des abords excentriques du vieux monsieur. Un Dieu Antique, hein ? Ça promettait.
Elle acquiesça aux paroles du vieillard, sans chercher à comprendre d'avantage. Qu'il parte ou qu'il s'arrête au moins de parler. Le moindre son résonnait avec douleur entre ses tempes. Quelque soit la dernière idée fabuleuse du Directeur, elle n'avait pas envie d'en entendre parler tout de suite. Elle ne voulait qu'une chose : dormir (et potentiellement oublier toute ce bad trip à la naphtaline).
Une fois seule, elle se recoucha et se rendormit.
« … On devrait la réveiller, non ? - J'ai pas l'impression qu'il y ai de forge ici. - Ben, j'sais pas. J'aurais préféré un homme moi. Ça m'fait bizarre d'avoir eu une fille. Vous croyez qu'on peut encore changer ? - Écoute, je comprends que ça te fasse bizarre, mais on a déjà de la chance que personne n'ai remarqué qu'on y soit allé à trois, et qu'elle y ai survécu, alors on va essayer comme ça pour l'instant, d'accord ? - J'ai pas vu d'forge, j'vous dis. Ca va pas du tout, ça. - T'as p't'êt'e ben raison. Et souviens-toi quand on à r'mis son bras à Nuada, on a bien l'aide de Morrigan, alors… On peut p't'êt' essayer avec une fille. - Nan mais y'a pas d'forge, les gars. Faut qu'on se casse. Y'a pas d'forge. J'ai pas vu d'forge ! - Credne, frangin, c'est pas vraiment le moment, en fait. - Mais la forge… - Credne ? La ferme. Tu vois pas qu'Luchta et moi on discute ? - Ah, non, on commence pas comme ça... - Alors ça, y'en a toujours que pour vous, et jamais pour moi ! C'est quand même un comble, vous feriez quoi sans moi ? - Alors, premièrement, on arriverait à discuter tranquille ! - Heu, les gars… - Tu veux vraiment qu'on parle de ça, Goibniu ? Tu veux vraiiiment qu'on parle de ça ? Non parce que si je me souviens bien, pendant la deuxième bataille de Mag Tured… - J'ai dis qu'on parlait plus de ça ! - Les mecs, elle a ouvert les yeux, faudrait p't'êt' qu'on s'présente ou quèquechose, non ? - Ouais ben parlons-en, justement, puisqu'il faut discuter ! - On en parle plus ! - On en parle ! - On en parle PLUS ! - On en PARLE ! - Les gars… - On en… - SILENCE. »
Et le silence se fit. Iris, excédée, se redressa sur les coudes et chercha du regard les profanateurs de son repos.
« Nous sommes dans une infirmerie, vous n'avez pas vu la pancarte qui parle de respecter le calme des lieux ? » Mais où ils étaient, ces trois ? Avec leurs voix de fermiers de la Creuse, là. Non, elle avait beau regarder, tous les lits lui semblaient vides, à l'exception du sien.
« - Justement, mademoiselle. Comme nous sommes dans votre tête, la seule à faire du bruit, en fait, c'est vous. - Ben voyons, prenez-moi pour une cru… »
Dans sa tête ? Le Directeur avait parlé de quelque chose dans sa tête, non ?
« - Oui, il faisait référence à la possession dont vous venez d'être, heu… - Victime. - Ouais, j'vote aussi pour victime. - On t'a pas demandé ton avis, Credne. - … Allons pour victime, mais je vous assure que tout va bien se passer. »
Iris ouvrit la bouche et la referma aussitôt. Alors ça, c'était pas mal. Elle entendait des voix. Des voix de Dieux que le Directeur lui avait mis dans la tête. C'était de mieux en mieux. C'était quoi la prochaine étape ? Elle allait devenir toute bleue et porter une mini-jupe armée d'un bâton magique ?
« - Oh ben ça, c'était pas prévu mais ça peut s'arranger, hein. - Credne, ta gueule. - Ben quoi ? Chu vachement fort en bâton magique, moi. Contrairement à d'autres, hein, qui servent pas à grand'chose ! »
Iris inspira et expira longuement. C'était réel. Tout cela était réel. Et ils lisaient dans ses pensées, en plus. Superbe. Merveilleux. Tout cela allait sûrement aider à la réussite de ses études, tiens.
« - Ça dépend, si vous faites des études de métallurgie, on est des spécialistes ! - Métallurgie ? Mais vous êtes des Dieux de quoi, en fait ? - Ah, voilà, elle pose enfin les vraies questions, la p'tite dame ! Je suis le dieu-forgeron, Credne ! - Un peu comme Vulcain ? - … - … - … - … Messieurs, vous êtes toujours là ? - Non, mais en fait, forcément, si vous commencez à citer la concurrence… - Vous savez c'qui est arrivé à la dernière personne qui a sous-entendu qu'on était moins bon qu'Héphaïstos, parce qu'à trois on faisait le boulot d'un seul ? Hein ? Hein ? - Allons, allons, du calme, elle savait pas… - Ben on lui a pas réparé son char ! Voilà ! Elle avait qu'à aller à Rome se le faire réparer, son char de guerre ! Et on l'emmerde ! »
Iris soupira lourdement. OK, elle avait fait une bourde. Ce n'était pas le moment d'en rajouter en précisant qu'elle aurait préféré tomber sur Thôt ou Athena pour l'aider dans ses devoirs, hein ? Non, lui répondirent des grognements offusqués, certainement pas. De quoi était-ce le moment, alors ? Elle jeta un coup d’œil à sa montre. De son cours de maths, visiblement, mais il n'était pas question d'y mettre les pieds dans cet état. OK, OK. Essayons de reprendre le contrôle de son espace mental, là.
« - Très bien, reprenons. Je m'appelle Iris Chevalier et je suis maintenant votre corps-hôte. Je vais faire de mon mieux, mais je ne vous promets rien… Donc, il y en a un parmi vous qui s'appelle Credne et qui est forgeron, et les deux autres ? - Nous sommes trois frères, en effet. Je m'appelle Luchta et je suis menuisier. Notre frère Goibniu est bronzier. Nous sommes les Dieux Artisans de vos fiers ancêtres ! - Les Gaulois ? - Voilà, exactement. Essayons de bien nous entendre, d'accord ? Nous avons hâte de voir combien le monde a évolué en notre absence ! »
Iris sourit et se releva. Il y en avait au moins un qui avait l'air un peu moins bourrin que le reste. (« Hey ! J'ai entendu ça ! ») Et elle avait toujours le contrôle de ses dix doigts. Avec un peu de patience, elle devrait réussir à s'en sortir…
« - D'accord. Je vous propose de commencer par un petit tour de l'école, d'accord ? Profitez-en pour me parler un peu de vous et réfléchissons à un arrangement pour ce ménage à quatre dans ma tête, qu'en dites-vous ? - Excellente idée. Premièrement, mademoiselle Iris, dîtes-moi, quelle est votre opinion sur la fabrication d'une barque à fond plat dans un futur plus ou moins immédiat ? »
Nabe
Aucun Dieu gaulois n'a été malmené pendant la rédaction de cette fiche. (Aucun correcteur d'orthographe non plus, vous me direz...) Très joli forum, très sympathique contexte, au plaisir de RP avec vous tous ! J'espère ne pas être partie trop à l'ouest avec ma fiche. :3 Code du règlement : validé par Jaime !
Bienvenuuuuuuuuuuuue chez les fous ! Je trouve que tu écris super bien, et j'attendais avec impatience de voir quelqu'un prendre les 3 frères! Sérieusement, j'adore la manière dont tu les joues ! Tu as fait une fan !
En tout cas, si tu as la moindre question, etc... Hésite pas du tout ! :3 ♥
Ta fiche a l'air très aboutie et ton personnage super intéressant ! Je passerai y faire un tour plus en profondeur ce soir pour te valider, en attendant j'applique mon sceau sur le code du règlement XD !
N'hésite pas à me MP pour la moindre question et n'hésite pas à passer nous voir sur la Chatbox !
Superbe fiche !! J'adore ta façon de rédiger, et les 3 Artisans sont très bien interprétés ! *^*
Par contre... niveau discrétion, ton perso l'est oui, mais pas toi, passe en CB ! *SORT TRÈS LOIN POUR CETTE REMARQUE DE...*
Invité
Invité
Sujet: Re: Iris Chevalier Ven 12 Déc - 21:08
Bienvenue sur le fo' ^^
Invité
Invité
Sujet: Re: Iris Chevalier Sam 13 Déc - 8:05
Merci beaucoup de votre accueil :D
Invité
Invité
Sujet: Re: Iris Chevalier Sam 13 Déc - 12:16
J'aime beaucoup, beaucoup ta fiche Ton personnage est très intéressant dans sa banalité, et tu as su redonner les détails qu'il fallait pour qu'on sache tout sur Iris sans s'en lasser Ta plume est très agréable aussi, tu sais switcher entre les styles sans souci et utiliser tantôt des tournures légères, tantôt des phrases accrocheuses et poétiques Enfin, très bon choix d'avatar pour une fille réaliste comme Iris ** Vous quatre allez faire un malheur, ensemble ! J'ai vraiment hâte de voir ça ! :D
Tu es validée !
Te voilà maintenant validée ! Ton rang t'a été attribué en fonction du dieu qui te possède. Il te sera probablement plus facile de nouer des liens avec les autres membres de ton groupe, car vous devrez concourir contre les autres.
Tu peux donc, dès maintenant, commencer à jouer dans la partie RP. Pour trouver un partenaire, tu peux envoyer des MP aux membres qui t'intéressent ou faire une demande de RP. Lorsque tu auras fait plus ample connaissance avec les élèves, tu pourras aller faire ta fiche de liens, ainsi que créer ton répertoire de RP.
N'oublie pas de surveiller régulièrement le secrétariat d'Osiris, ou tu risquerais de passer à côté d'informations importantes. Pour tout renseignement supplémentaire, nous te conseillons de jeter un œil à Asgard, qui regroupe toutes les choses à savoir et à se souvenir. Et si tu as la moindre question, l'accueil de l'Olympe est là pour que tu puisses la poster. Mais si tu préfères l'envoyer en MP à un membre du staff, n'hésite pas, nous sommes là pour ça !
Toute l'équipe du Pensionnat Immortalia te souhaite un excellent jeu !