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Les erreurs passent, il n’y a que le vrai qui reste. // Set
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MessageSujet: Les erreurs passent, il n’y a que le vrai qui reste. // Set Les erreurs passent, il n’y a que le vrai qui reste. // Set EmptyJeu 11 Déc - 21:00




[Set Retfærd]
For the love of god, will you bite your tongue ?
Before I'll make you

swallow it.

Les erreurs passent, il n’y a que le vrai qui reste. // Set 1418515520-set-fiche-prez-haut1



Bon, faisons simple, car ça me les brises déjà. J'me nomme Set Retfærd, et ouais je sais c'est bizarre comme nom, ça fait je sais pas quoi et  blablabla... Et vous savez quoi ? J'm'en fous ! Un surnom, tu pourras chercher, il se trouve entre mon annulaire et mon index. J'suis méchant, tu crois ? Et j'fais vieux, t'es sérieux là ? J'ai juste 18 ANS, mais c’est vrai que par rapport à toi, ouais, j'ai pas à m'plaindre. Mes origines, eh ? Je suis suédois, ça se voit pas ? Mais bon, comme t'es une quiche et qu'on s'en fiche, car d'ici 2 minutes je t'aurais zappé, je fais partis de l'Éternelle Asgard, ironie, bonjour ?
Mon dieu c'est Thor, et il est aussi infect, hautain et chiant que moi. Tu restes toujours ? Je ressemble traits pour traits à Sword d'Armen Noir ? C'est gentil, ouais, j'avoue. Mon poing aussi t'aimes, s'tu veux savoir. Tsss et rassures toi, il est hétéro.



PHYSIQUE ET CARACTERE
It's moments like this,
where silence is golden.



Set n'est pas le type de personne à avoir la carrure opposante d'un rugbyman, ou encore d'un judoka ou encore... Comme vous voulez, vous avez compris ! Il est plutôt grand, dans les 1 mètre 85, élancé, svelte, sec et en muscle. Il est musclé en effet, même si cela ne se voit pas au premier coup d’œil. Ce n'est pas le genre de chose qu'il pense à exhiber ses muscles... autres choses ? Huhu ? Plus sérieusement, Set tente de s'entretenir régulièrement par la pratique quotidienne de sport, plus particulièrement les arts martiaux. Avec cela, rajoutez qu'il se force à suivre un certain régime, plutôt strict. Même si à 90% du temps il ne le suivra pas sérieusement, bouffant n'importe quand et n'importe quoi. Il a juste cette chance d'avoir une morphologie où il ne grossit peu ou pas du tout, même s'il raffole secrètement des viennoiseries.

Ensuite, après cette carrure grande et bien proportionnée, le visage. Celui du Suédois est assez fin, appuyé par un regard d'un vert profond et à la fois lumineux, quelque peu irréel. Genre mec, t'as des néons dans les yeux haaaaaaaaaaan ! /PAF/ Ce qui contraste énormément en partie avec ses cheveux jais. Bien que noirs-violacés serait plus juste. Ceux-ci peuvent varier entre un noir avec des reflets mauves pétants et un violine des plus clairs à un noir jais des plus sombres selon l'inclinaison de la lumière. Il n'a jamais compris le comment c'était possible, et s'en fiche pas mal. Eh ouais, vous avez cru qu'il allait se taper le délire de se colorer les cheveux tous les 2 jours -il pourrait, s'il le voulait... ?- Cheveux d'ailleurs coiffés, bien qu'ils soient rebelles et finissent toujours par être en bataille à la fin. Tch ! Renégats.

Pour la peine, ils sont courts. Mensonge. Ils sont sacrément longs, mais disons que le suédois à horreur de se l'avouer, mais il les aimes longs. Enfin... Longs, du type qui arrive jusqu'à ses épaules. C'est pas Raiponce aussi, hein. Mais par souci, peut-être de honte, ou au fond, de gêne, il les mettra toujours sur le côté de son visage et les coincera soigneusement, ou alors les laissera traîner de par et d'autre autour de son visage. En plus, le fait que les petits rebelles noirs soient dégradés, accentue encore plus cet effet du cheveux en pétard imattables, qui n'en font qu'à leur tête.

Vestimentairement, ça peut varier entre une tenue habillée : une veste noire cintrée, ou un blouson cintré, accompagné d'un col blanc ou rouge, avec un pantalon de la même couleur, serré, généralement avec une ceinture double sur laquelle il accroche des chaînes ou divers accessoires. Par dessus ça, souvent un manteau ou veste longue, les couvrant; variant d'un ton vif, coloré, au noir le plus sobre. Mis à part cela, il peut aussi adopter des tenues plus extravagantes, ou posées, comme étonnement, des tenues amples, ou même des veste simples, voir parfois, plus farfelues; Set peut nous porter un kimono japonais. Encore une chose qu'il n'avait pas précisée. Bien que Suédois, il aime le Japon et tout son folklore. Tout simplement, ses tenues dépendront de s'il a décidé de déconner ou pas. Oui, son humeur commande tout, c'est contraignant.




Notre cher (ou pas) suédois est en quelque sorte un grand solitaire. Il ne se laisse pas approcher facilement, bien qu'il puisse... être sympa au premier abord. Eh bien... nan. Môsieur ne s'y fait pas, môsieur préfère sa chère solitude. Set est d'un sérieux à tout épreuve, additionné à une froideur et une inexpressivité déconcertante. Vous pouvez brûler vif sous ses yeux, lui hurler dessus, dire que l'apocalypse arrive, il s'en moquera et au pire des cas vous dira d'aller vous mettre de l'eau à la figure pour ne pas ressembler à un steak sur pattes. Et si même, en steak vous continuez de lui hurler dessus, il risque, sans le vouloir, vous exploser le crâne. L’amabilité même, n'est-ce-pas ?

Et malgré tout cela, il est capable de vous pourrir d'une puissance, en vous ensevelissant sous des piques verbales, toutes aussi sadiques et vaches que désobligeantes. Il aime littéralement être un tyran avec les autres. Il peut être, impitoyable, glacial, s'acharner sur vous comme un dingue, vous mettre une honte mémorable à vous en faire chialer, et d'un côté, vous défendre comme il se doit, quitte à se mettre l'univers entier à dos. Il est le genre de personne qui peut être proche de vous tout comme il peut vous tyranniser (gentiment ou non) et faire de votre petite existence, un enfer sur Terre. On l'aime ou on le hais, c'est ainsi. Il est entier. Ça ne serait pas marrant, hein ? Mais ne croyez pas qu'il n'est pas une véritable teigne avec le reste de son entourage, enfin pour le peu qu'il a. Entourage = Pour Set, les plus proches, ceux à qui il confie une partie de son estime. Estime, qu'il ne confie à personne.

Il a aussi une fâcheuse tendance à très vite se prendre au jeu. Faites lui des galères, et vous en paierait les conséquences. C'est donc un grand susceptible et provocateur à la fois. Il se fout vite en rogne quand on sait où appuyer avec lui. Aussi, Set est quelque peu instable "émotionnellement". Disons qu'à force de tout refouler, quand bien même s'il ne ressent rien, quand il s'énerve, ce qui est assez... Surprenant, notre Suédois peut tout simplement démolir tout ce qui se trouve face à lui. Personne ou non. Et pas question d'éprouver des remords. Sérieux, réfléchi, impassible, parfois froid, pas bavard et solitaire, voilà les adjectifs qui pourraient qualifier les façades... "optimistes" -pas du touuuut...- , de notre teigne.

Rassurez-vous, il a quelques bons côtés, enfin, il vous faudra les chercher (Allez ! Petit Poucet seconde édition !) et creuser, mais il y en a ! Qui dit piques verbales, dit parfois humour, ou humilité, ou tout simplement Set apprécie rire, même si ça ne se voit pas, on saiiiit ! Il fait aussi preuve d'humour selon les situations et pourra vous vanner ou encore vous taquiner. Il est toujours partant pour une petite déconnade. Faut-il encore qu'il soit d'humeur. Ce qui est... rare, très rare (et cela s'applique à ce qui a été dit précédemment, évidement). Enfin bon ! Reprenons, le jeune homme peut parfois s'avérer gentil, ça lui arrive, généreux, ça lui arrive aussi, protecteur, ça... QUOI ?! Oui, il peut se montrer extrêmement protecteur vis à vis du peu de personnes qu'il accepte dans son cercle de relation. C'est aussi une personne réfléchie et qui analyse beaucoup. Allez savoir si c'est positif ça, en fait...

Cela l'est plus ou moins scolairement. Il peut se permettre aisément  de ne rien faire en cours, de bailler, de provoquer ou dormir, il retient très facilement les choses. De même qu'il se plie plutôt bien aux règles. Enfin... quand ça l'arrange. Il ne va pas non plus les respecter à la lettre, rêvez-pas. Mais disons qu'il a de l'ambition, et ses petites joutes verbales quotidiennes avec le Dieu, le prouve. Aussi confiants et imbus l'un que l'autre. Set sait aussi se faire dur et impartial. Il jugera que ce qui lui semble être juste... justement. En clair s'il juge qu'il doit aider quelqu'un, il le fera. Seulement s'il en juge que c'est bon. Bon courage. Il cherchera toujours à faire la part des choses, faisant de lui une précieuse oreille et quelqu'un de confiance. Il doit sûrement tenir ça de sa famille, vous dira-t-il.

La famille, en effet. Voilà le dernier point à savoir sur ce Suédois au caractère bien trempé. Il n'aime guère parler de lui, de son passé, sa vie, sa famille. D'une manière générale, tout ce qui rapporte à lui et sa petite vie. Vous pouvez essayer, si ça vous chante ! Vous aurez le droit, en guise de réponse, un magnifique vent ou encore une tête ennuyée, vous faisant comprendre que vous l'emmerdez profondément.

Et ses goûts alors ?

Eh bien ! Môsieur aime lire, être seul, -on le savait à peine-, se balader à gauche et à droite; il ne supporte pas de ne rien faire. Donc, ne supportant rien faire, môsieur aime être actif, toujours en mouvement, à s'occuper. Même si on doit l'accorder, ça ne se voit pas, avec une expression aussi blasée que la sienne. C'est en effet un grand ennuyé de la vie, doublé d'un cynique et d'un sarcastique. Disons qu'il a eu sa dose de la vie, et que tout le dégoûte. Ce n'est pas un suicidaire ou un mec du genre à dire H24, "la vie c'est nulle, et pfff, et pff, han j'ai mal, etc !". Et quand bien même il voudrait, il est tellement blasé qu'on le croirait déjà mort. Problem solved.
Mis à part, il aime aussi la musique. C'est un musicien. Vous pourrez parfois le surprendre à s'éclater sur un violon, un instrument, qui selon lui, a une véritable âme.

Ce qu'il aime, ok.

Et ce qu'il n'aime pas, déteste ?
Nous y voici.
C'est un peu plus simple. Qu'on le taquine, qu'on le dérange, qu'on tente de le faire parler ou de le provoquer, ce qui risque de se solder par un violent coup dans la tête ou ailleurs selon vous. Set malgré son calme, peut vite s'irriter et recourir à la violence. Surtout que ce que n'avait pas précisé la teigne, c'est qu'il se débrouille très bien en arts martiaux, sport qu'il a longtemps pratiqué. Aussi qu'on le colle, ça va de paire. Il n'aime pas aussi les vêtements larges, un temps trop ensoleillé, le bruit, les gens, le monde... NON, La Terre ENTIÈRE, quoi. /SBAFF/



HISTOIRE
If I'm a wave, then I'll become a tsunami.
Your labels kingdom cannot

control me.



Ma vie avant que j’atterrisse ici, à Immo ? Pfff... est-ce utile de la dire ? ... Visiblement oui, ça l'est. Tss... quelle galère... !


Commençons donc par le début. C'est logique en même temps, on ne va pas commencer par le milieu ou la fin. C'est comme si on prenait l'ordre de l'Histoire par la fin en passant par le commencement et enfin le maintenant. Bref, toujours est-il que je suis issu d'une "grande" famille d'avocat d’origine suédoise. Ouiiii, "Graaaande". Et oui, je viens de Suède, et j'ai les cheveux jais voir violacés (c'est juste étrange), rien à voir avec le physique atypique de mon pays, hein ? Vive les différences ? J'ai toujours refusé d'être un mouton, et mes cheveux en sont à eux-seuls cette preuve. Suède-Irlande, ça fait une trotte, n'est-ce pas ? Plus précisément 1826 kilomètres. Enfin, si on prends de Stockholm à une ville quelconque en Irlande. Je suis "historien"; "géographe", ce n'est pas ma spécialité. J'ai juste de quoi assommer mon entourage pour des décennies, rien de plus ! Oui, je suis ce genre de mec qui se trimballe avec une bibliothèque gigantesque derrière lui. L'Histoire et les choses littéraires m'ont toujours passionné. "Historien", dans le sens où, je pense être assez calé. Je ne suis pas non plus un prof'. Reprenons. Je viens donc d'une famille aisée d'avocat, qui trimait pas mal, et donc, forcément, l'argent venait vite. Argent qui partait par ailleurs aussi vite dans les frais médicaux de mon jeune frère, Jörgen. Il était atteint de je ne sais quelle connerie qui fait que tu es cloué à ton lit, ton état physique comme mental, se dégradant. Cela me mettais hors de moi, de le voir aussi mal. Surtout si jeune, et que ces blaireaux de médecins ne savaient guère que faire. Sérieusement ? Tss, allez crever en enfer, pensais-je. Et je le pense toujours aujourd'hui, même bien plus. Ma famille était donc axée sur le judiciaire, et quelque part l'histoire, et bien sûr sur mon p'tit frère. En tant qu'aîné, mes parents n'étant jamais là avec leur boulot à la noix; oui, je le considère comme tel, car à mes yeux cela n'a fait que dissoudre la famille... L'argent encore et toujours, quand bien même s'était pour Jör... je devais donc m'occuper de lui. Entre l'école cotée où mes parents m'avait mis afin que je fasse des études toute aussi prestigieuses, et que je gagne aussi bien ma vie qu'eux, les boulots qui allaient de paire avec, et mon p'tit Jör, je ne savais guère où donner de la tête. Surtout que, comme dans toute famille composée ainsi, à 90%, les relations sont que pure hypocrisie et rivalité. Ça ne collait pas, entre mes parents et moi. Vraiment pas.


J'étais juste ce pion censé rapporter autant d'argent qu'eux, pour le reste de la famille. Encore l'argent. J'ai la poisse ma parole. J'étais "qu'étudiant", comment étais-je censé gagner autant ? Même si c'était pour Jör. Pour lui, j'aurais fait n'importe quoi, n'importe quoi oui... Je passais le peu de temps libre que j'avais aux côtés de son lit et de sa personne, clouée à celui-ci, maladive. C'était bien les seuls moment à l'époque où je me sentais aussi mal face à la détresse d'une personne. C'était mon frère, en même temps. Malgré son faible état, on passait d'agréables moments, je tentais de lui apprendre 2-3 choses que j'apprenais dans cette école si prestigieuuuuse. Ça l'amusait. Content alors, si ça lui changeait les idées. Car bon, je n'étais pas dupe, il avait mal et n'en faisait part à personne, pas même aux vieux. D'un côté, c'était là aussi la partie la plus hideuse du tableau. C'était bien mignon de gagner un tas d'argent pour Jör, mais pourquoi ne pas être à ses côtés aussi ? On est une famille, non ? Ah oui, c'est vrai. Ce maudit travail. Ils étaient jamais là, puis quand ils l'étaient c'était soit pour m'hurler dessus, soit se gueuler dessus, devant jör et moi, soit se replonger directement dans des dossiers tous aussi piteux, que violents, et méprisables. J'entendais parler que de ça, tout le temps. Comment aimer les gens, après ça ? Et quant à Jör, évidemment, ils le zappait. Pitoyable. Et dire que je suis comme eux, que Jör et moi tenons de ça. Quelle honte. Si encore ça c'était arrêté là. J'avais toujours caché à Jör que les violentes disputes avec mon père finissaient souvent par des coups. Je m’aperçois aujourd'hui que j'ai retenu ce côté là du vieux. Charmant.


Les années étaient passées, la situation au sein de la famille ne s'arrangeant pas ou peu, très peu. Elles se dégradaient comme se dégradait l'état de Jör. Il n'y avait plus rien à faire, disons-le. Les médecins s'étaient fait direct, nous annonçant que c'était plié, ou de peu. Mes parents ne semblaient pas plus touché que ça, ne le montraient-ils pas ? Ou comme moi, sur la longue, ne savait plus ce que c'était, les émotions ? Pourtant, je l'aimais toujours autant, mon p'tit Jör. Et ça ne changera jamais. Moi, de mon côté, j'avançais toujours dans mon cursus scolaire, et je m'étais inscrit dans une école en Irlande, sous l'ordre de mes parents, qui pensaient qu'il fallait que je sois polyvalent afin d'être un meilleur avocat qu'eux. Sauf que, je m'en foutais. Que faire avec une justice aussi faible, aussi injuste ? De plus, être avocat, ne me plaisait guère. Je voulais quelque chose de plus littéraire, cherché, comme métier. J'avais toujours eu cette passion pour l'histoire. Qui l'eut cru qu'elle m'aurait menée ici ?


J'étais donc parti le coeur lourd, pour l'Irlande, laissant Jör derrière moi. Je m'en sentais affreusement mal. J'avais donné pour ordre aux vieux de s'occuper de lui, ou au moins de faire de leur mieux, réponse à quoi, je pris une belle baffe de départ de mon père, me disant que je n'avais pas à m'exprimer. Vieil idiot, va. J'étais là, en terre étrangère, avec des gens dont je ne connaissais rien aux coutumes, quelle joie. Point positif, c'était un pays magnifique. Je devais aussi avouer que, j'avais sacrément ramé au début de mes "études" dans cette école, ne parlant pas un mot de leur dialecte. Je fus dans l'obligation de m'y atteler, et ce, le plus vite possible. D'une autre part, en faisant tout cela, je continuais régulièrement de prendre des nouvelles de Jör, quand la mauvaise nouvelle m'arriva, tel un boulet de canon, dans les dents. Hospitalisé, aux portes de la mort, dans un centre spécialisé. La maison familiale ne semblait plus pouvoir être en état de subvenir à sa santé. Je me souviens juste que ce fût comme si l'on m'avait guillotiné. Je n'avais pas pipé un mot, raccrochant le téléphone violemment et m'écroulant dans mon coin. Avec les années, je m'étais fait stoïque, pas pour autant que de savoir Jör aux portes de la mort ne m'eut pas démoli le moral. Au fond de moi, j'en voulais à la Terre entière, aux médecins qui n'avaient pas tenté de faire plus; de trouver d'autres solutions que de te dire que c'est foutu ou presque; aux gens, à mes vieux. Je n'étais pas jocrisse, ils n'étaient pas resté à ses côtés, hein ?


Sur ce rideau sombre, ouvrons donc un nouveau. Les années s'étaient écoulées, et je m'étais parfaitement habitué à l'Irlande, j'avais même décidé d'y habiter pour de bon. Loin de mes parents, loin de toute cette douleur, je me sentais bien mieux, mais bien vide aussi. Je continuais malgré tout mes études dans une école toute aussi prestigieuse que les précédentes, voyant mon avenir se faire peu à peu, enfin, vaguement. La seule chose que j'avais en tête c'était de viser haut, haut pour Jör, haut pour que je puisse à mon tour l'aider et lui apporter tout ce que mes vieux ne feront jamais. L’inquiétude que j'éprouvais à son égard ne se voyait guère, j'étais peu voir pas du tout expressif. Mais rien ne m'empêchait d'avoir des moments de faiblesse et de déprimer dans mon coin des heures à écrire moult et moult lettres à Jör, des romans, pour le rassurer. Il s’inquiétait pour moi. C'était qui celui qui était au lit, hein... ?


J'errais donc dans l'Irlande, telle une coquille vide qui ne savait de nouveau plus ou regarder, ou se diriger, ni ou aller. J'avais réussi à me débrouiller pour trouver un nouveau boulot qui payait mieux en plus de mon cursus scolaire. Je n'avais certes que 16 ans et des brouettes, voir 17 ans bientôt, j'en restais pas moins responsable, à se gérer dans un mini logement étudiant. Vive les programmes à l'étranger d'étude ou je ne sais plus, quoi. J'avais perdu tout contact avec mes parents, qui devaient sûrement renier leur fils indigne, puisqu'il n'était pas devenu avocat, préférant viser un cursus plus littéraire. Les boules, hein ? Entre-temps, j'approchais les 18 ans, et j'étais devenu un véritable tyran-blasé pour le peu d'entourage que j'avais. Sûrement que le fait de les tyranniser, m'aidait quelque part à me changer les idées et à me dire que moi, j'étais encore de ce monde. L'ironie voulu que mes parents décèdent lors d'un voyage d'affaire pour l'Amérique. Bien des années que l'on ne s'était pas revus, et voilà que l'on se retrouve sur les tombes. Quelle idiotie. Je n'avais pas ressenti plus de choses que cela. La seule chose qui m'importait était Jör. Comment lui annoncer ça ? Ce n'était qu'un enfant de 10 ans. Il avait déjà trop souffert de tout cela, mais je dû en passer par là. Une inquiétude me rongeait. J'étais temporairement revenu en Suède pour Jör, mais qui allait s'occuper de lui ? J'aurais bon me déclarer en tuteur légal, vivant et étudiant en Irlande, Jör ne supporterait pas le déplacement. Une déception de plus. Il fût placé dans une famille, que je surveillais de près, m'assurant que mon petit frère avait tout ce dont il avait besoin. Ça me faisait vraiment mal, de le laisser derrière moi une fois de plus. Mais si je ne fais pas de métier, qui s'occupera vraiment de lui, après ? J'étais donc là, à la tête de l'immense fortune des Retfærd. Qu'en faire ? Pour moi cet argent n'avait apporté que désolation. Alors je fis une chose simple qui me parue affreusement logique. Je dilapida une bonne partie de cette fortune dans les associations pour les gosses et surtout pour la médecine. Mais je gardais tout de même une bonne partie pour l'avenir de Jör, voulant croire qu'il battrait sa maladie et que je vivrais avec lui, heureux, en Irlande, une fois mon métier en poche.


Je repartais donc en Irlande, après m'être assuré que Jör ne manquerait de rien. J'avais littéralement ordonné à sa famille d’accueil de s'occuper de lui, sous risque de très, mais très mauvaises surprises de ma part. Je passais sûrement pour le grand frère fumiste, qui se re-cassait dans ses études, laissant son petit frère en arrière plan, plus malade que jamais, cloué dans une pièce, avec tous ces machins médicaux. Combien de fois me l'a-t-on lancé dans les dents cette phrase ? Combien de fois ? Ils auraient bon me blâmer, je n'y pouvais rien. Je m'étais lancé dans un cursus, allez vous caser, et retrouver un établissement aussi coté en plein milieu d'année. Forcément je fulminais, de ne pas pouvoir faire autrement. Je passais donc chaque fin de mois auprès de Jörgen, peut importe ce que ça me coûtait. Je continuais de subvenir à ses besoins, financièrement comme de manière affective. On était devenu comme deux jumeaux, et malgré mon rôle de grand-frère, j'endossais celui du père qu'il n'avait jamais eu. Et je ne comptais pas lui gâcher cela.
Je changea brusquement d'école, toujours en Irlande, pour aller dans une autre, bien meilleure, m'offrant bien plus de possibilités de réussir, et ce, plus vite, et donc revoir mon p'tit frère. C'était un pensionnat, j'avais reçu des pubs, et en avait entendu parlé par-ci et par-là. Je m'étais donc inscrit, et m'y voici. Leur réponse fût étonnamment rapide et je m'étais empressé de le faire savoir à Jör qui s'en réjouissait depuis la Suède. Un amour. Je m'étais aussi empressé de trouver un p'tit job, calé sur mes horaires. C'est ainsi que je devins Barman, dans un coin près du pensionnat, la joie. Mon arrivée me restait floue, je me souvenais juste de m'être réveillé à l'infirmerie. Avant ? Que dalle. Chuis némo, un tour de bocal et c'est oublié. Ou pas.


J'étais dans cette infirmerie, un peu nauséeux, et sacrément blasé. Drôle de journée. Une personne, enfin, une voix masculine, puissante, claire et décidée, hurlait, cherchant à comprendre ce qu'il se passait. Je regardais autour de moi, intrigué, rien, le vide. J'étais seul dans cette pièce. Je soupira, longuement. La voix, elle venait de ma tête, c'est ça ?
"Eh, cesses de t'exciter là-d'dans." sortis-je froidement. Tout le vacarme que faisait cette voix m'irritais et m'explosais le crâne.
"Tu me donnes des ordres, toi, pauvre mortel ?!"
"Ouais, si tu veux savoir où t'es, t'es dans ma tête, visiblement. Me demande pas le comment ni le pourquoi, j'en sais foutrement rien. Et je m'en fiche pas mal."
J'étais un poil usé, comme si cette perte de mémoire m'avait fait faire une bringue interminable. La voix s'agaça encore plus, hurlant. Voici comment j'avais rencontré Thor, un Dieu d'Asgard. Je suis suédois, c'est du foutage de gueule ou ?
J'étais son hôte, et me devait de supporter son côté aussi infect que moi, que dire ? C'est coton, quoi.
Bref, bienvenue à Immortalia, mon p'tit Set.

[histoire finie, mais modifications éventuelles à venir plus tard]




OH MON DIEU ET TEST RP
That's the way I'm breathing for,
to write my fate in flesh'n

dust.



Un long bâillement aussi long que l'attente du RER C à Paris. Oui, le suédois avait eu l'occasion de voyager un peu dans la capitale française, étant plus jeune. Et tout ce qu'il en avait retenu, c'était ces RER jamais à l'heure et la tête joyeuse des parisiens. Bref, il n'aime pas cette ville, c’est dit. Le silence autour de lui, lui était des plus bénéfique. En même temps, quand on regardait le panorama, que demander de plus ? Un superbe ciel bleu, une température douce, quelque peu froide, tout ce qu'il appréciait, et aussi, ce vent; frôlant son visage. Où se trouvait-il ? Sur le toit du pensionnat, pardi ! Le blasé avait une pause d'environ une heure ou deux. Alors au lieu de se ruer en perm', ou de trainer avec des gens ou encore d'aller quelque part se détendre; lui préférait la paix absolue du toit. Puis bon, ce paysage accouplé à ce calme, il n'y avait pas photo. Il ne savait pas depuis combien de temps il était dans ce pensionnat, moins d'un an ? Il était arrivé il n'y a pas si longtemps, mais n'avait pas compté, et s'en moquait.

"Set ! Pourquoi ne travailles-tu pas ?! Tu te dois d'être le meilleur ! A moins que tu ne sois si mauvais, pauvre mortel ?"
Un ton à la fois puissant et hautain. Voilà que m'sieur le paratonnerre l'ouvrait encore. Set soupira, levant les yeux au ciel.
"Tu oses m'ignorer ?!"
Oui il osait, et tressaillit violemment, comme s'il venait de se prendre une légère décharge. Le Dieu était sérieux là ? Un léger sourire apparu sur les lèvres du suédois.

"Ouais, j'ose le paratonnerre. Et bosser quoi, là ? T'vois pas que j'ai une pause ? Alors si tu pouvais te taire, ça serait fort plaisant."

Sec, monotone et à la fois si sévère. La voix du blasé se faisait irrité, ne supportant guère de recevoir des ordres d'un ectoplasme qui avait choisit de se réincarner en sa personne. Puis quoi, encore ? Un autre tressaillement, plus violent que le précédent, faisant lever Set de sa position allongée.

"Me taire ?! Moi ?! Sais-tu seulement à qui tu t'adresses, misérable mortel ?! Tu n'es pas en droit de t'adresser à moi sur ce ton ?! Je suis..."

Une tirade violente, hurlée, le jeune homme sentait son corps tressaillir à chaque mot du Dieu, de plus en plus furax. Paratonnerre, eh ? Ça lui plait pas, hein ? Set avait déconnecté, comme s'il avait mis Thor en mute. Si seulement. Afin de faire taire le dieu, puisqu'il commençait à connaître ce caractère si fier, imbu, et infect, tellement fidèle au sien, le suédois se décida à former un léger éclair; afin de provoquer le Dieu. Il est fou, pensez-vous ? Non, juste que s'il le faisait pas, il en avait pour 3 heures assommantes et assourdissantes de discours asgardien-vantar-ouais je suis beau, t'as vu-sisi.


Et ce fût tout juste ce qu'il avait imaginé. Le Dieu se tue, soupirant intérieurement. Utile de préciser que, ce soupir était furieux ? Non, ça s'entendait, se ressentait dans tout le corps du blasé. Blasé, qui continuait sa provocation vis à vis du Dieu, créant deux-trois petits éclairs.

"... Comment oses-tu ?! Comment oses-tu encore et toujours te moquer de moi, humain ?! Je ne te permettrais pas plus longtemps d'user de mes dons ! Surtout pas par un vil mortel tel que toi ?!"

Et voici, comment en 2 minutes, faire changer, ou presque, de discours au Dieu ! C'était bien, il avait presque gagné en statut ! Il était passé de mortel à humain, quoi ! C'était juste MIRACULEUX. Au moins, ce discours-ci avait été rapide. Mais Set ne pouvait nier que les dons du Dieu lui plaisait, même si il ne les maîtrisait pas à la perfection. Surtout celui de voler. Set qui, plus qu'autre qui aimait la liberté, ce pouvoir pouvait la lui conférer en quelques secondes. Rien que pour cela, il était un peu reconnaissant au Dieu. Un peu, car le Dieu en question lui pourrissait bien la vie, hein. Môsieur le paratonnerre est si IMBU de lui-même, que Set se doit de suivre cette soi-disant "exemplarité". Il doit être le meilleur pour pas dégrader l'image de son petit paratonnerre adoré. Pff, âneries. Set ne se soumettait pas aux ordres ou caprices du Dieu, même électrocuté. Qui sait, un jour on va le retrouver mort foudroyé par Thor. Et ce sera la Dieu qui aura tout faux, puisque sans corps, biiiim tu meurs ! Rien qu'à cela, Set pouffait de rire intérieurement. Mettez deux teignes hautaines et belliqueuses ensemble, dans le même corps, et vous obtenez ce magnifique couple Thor/Set.
Un silence et une atmosphère d'agacement planait donc, le Dieu avait finit son speech, et Set lui répondit par un long bâillement, avant de reprendre, un ton froid.
"J'ose, et j'oserai toujours paratonnerre. Faudra t'y faire. On est là, à se supporter l'un et l'autre, alors adaptes-toi. Regarde, moi j'm'adapte bien à ta MAGNIFIQUE personne. Et tes dons ? Je m'en contrefous que tu ne me le permette pas. Le fait est là, j'en use, regarde."


Un autre éclair, que Set prenait bien le temps de faire passer sous ses yeux; lentement, pour que le Dieu puisse voir. Aucune réaction immédiate du Dieu, il semblait lassé, ou avoir perdu sa langue, oooh ? Le suédois ria légèrement, cessant d'user de ses foudres, c'était le cas de le dire, tien.

"T'as perdu ta langue, paratonnerre ?"
Une courte pause, le jeune homme expira, blasé.
"Je vais bosser paratonnerre, si ça peut te faire causer. Tu le sais aussi bien que moi, je ne peux me permettre d'être en bas de l'échelle. Il compte sur moi."

Un rire du Dieu.
"Tu t'excuses donc, mortel ?"
"Pff, si ça peut te faire sortir de longs et ennuyeux discours sur ma situation, ouais, plus ou moins."

Il équivalait au petit frère de Set, Jörgen; qui l'attendait, quelque part en Suède, dans une famille d'accueil, malade et ayant besoin de soins coûteux. Alors Set, au moment de partir à Immortalia, s'était arrangé pour trouver un boulot, pas loin; à Galway. Il était un simple barman, mais peut importe ça rapportait. Quel est le rapport avec son boulot scolaire ? Les notes, oui. Set restait et restera dans les meilleurs, qu'importe. Il visait ce genre de carrière prestigieuse, qui te rapporte un max de blé. C'était bien le seul point, où, les deux teignes s'accordaient. Enfin presque.

"Ton frère, est-ce cela, Set ?"
Le Dieu semblait à son écoute, comme concerné par le sujet. Le Set le prouvait. Avait-il sûrement vécu quelque chose comme ça, qui sait ?

"Tu le sais bien, pourquoi le demander ?"
Thor avait un sens de la famille assez poussé, trouvait le suédois. Contrairement à lui, où seul son frère compte. En même temps, pas le choix. Le Dieu l'ignora, comme Set faisait avec lui à son habitude. Saleté, pensa-t-il, amusé. Puis une soudaine envie pris le jeune homme, qui avait envie de faire rager le Dieu.
"Thor, en fait pour les excuses, tu avais tords."
"Que... COMMENT OSES-TU, MISÉRABLE ?!"

Jeu de mot pourri, et un Dieu furax, jackpot !



Les erreurs passent, il n’y a que le vrai qui reste. // Set 1418516302-set-fiche-prez-bas-1Les erreurs passent, il n’y a que le vrai qui reste. // Set 1418516302-set-fiche-prez-bas-2Les erreurs passent, il n’y a que le vrai qui reste. // Set 1418516302-set-fiche-prez-bas-3

Maaaah I'm a Lamaaaaaaaaaa


C'est Auen, eh ouais ! è.é
I'm back :ornot: e.e
En espérant que ce petit DC vous plaise e.e
Et Jaime ne l'aura que trop dit, le code est bon ! :3


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MessageSujet: Re: Les erreurs passent, il n’y a que le vrai qui reste. // Set Les erreurs passent, il n’y a que le vrai qui reste. // Set EmptyVen 12 Déc - 10:25
Omg omg, j'avais lu qu'une partie de la fiche, son intégralité est géniale...

Hâte de me faire martyriser <3
Nathanaël J. Pryam
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MessageSujet: Re: Les erreurs passent, il n’y a que le vrai qui reste. // Set Les erreurs passent, il n’y a que le vrai qui reste. // Set EmptyVen 12 Déc - 13:52
Reboot en cours, loading... Huhu
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MessageSujet: Re: Les erreurs passent, il n’y a que le vrai qui reste. // Set Les erreurs passent, il n’y a que le vrai qui reste. // Set EmptyLun 15 Déc - 0:07
Tu as eu mes impressions en direct XD ! Mais je le redis ici : WOW, QUELLE FICHE CatEyes Vivement que Set arrive dans la partie RP, miaou ! Et un lien OBLIGE OBLIGE soexcited Comment Thor et Loki vont exploser de fureur nyaaahhhhh soexcited


Tu es validé !


Te voilà maintenant validé ! Ton rang t'a été attribué en fonction du dieu qui te possède. Il te sera probablement plus facile de nouer des liens avec les autres membres de ton groupe, car vous devrez concourir contre les autres.

Tu peux donc, dès maintenant, commencer à jouer dans la partie RP. Pour trouver un partenaire, tu peux envoyer des MP aux membres qui t'intéressent ou faire une demande de RP. Lorsque tu auras fait plus ample connaissance avec les élèves, tu pourras aller faire ta fiche de liens, ainsi que créer ton répertoire de RP.

N'oublie pas de surveiller régulièrement le secrétariat d'Osiris, ou tu risquerais de passer à côté d'informations importantes.
Pour tout renseignement supplémentaire, nous te conseillons de jeter un œil à Asgard, qui regroupe toutes les choses à savoir et à se souvenir. Et si tu as la moindre question, l'accueil de l'Olympe est là pour que tu puisses la poster. Mais si tu préfères l'envoyer en MP à un membre du staff, n'hésite pas, nous sommes là pour ça !

Toute l'équipe du Pensionnat Immortalia te souhaite un excellent jeu ! CatEyes

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MessageSujet: Re: Les erreurs passent, il n’y a que le vrai qui reste. // Set Les erreurs passent, il n’y a que le vrai qui reste. // Set EmptyLun 15 Déc - 0:48
Haaaw merci !!! >w<
Oh mais t'inquiètes, un bon tyran arrivera toujours à l'heure !
Et pour les deux ectoplasmes asgardiens, ÉVIDEMENT !! ♥3♥
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MessageSujet: Re: Les erreurs passent, il n’y a que le vrai qui reste. // Set Les erreurs passent, il n’y a que le vrai qui reste. // Set Empty
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Les erreurs passent, il n’y a que le vrai qui reste. // Set
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