AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  PublicationsPublications  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  


 

Le Deal du moment :
Jeux, jouets et Lego : le deuxième à ...
Voir le deal

Jaime S. Farseer - Le monde est plein de mensonges. On ne peut que croire en soi.
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas

 :: Gestion du personnage :: ◄ Fiches de présentations :: ► Les Enfers
MessageSujet: Jaime S. Farseer - Le monde est plein de mensonges. On ne peut que croire en soi. Jaime S. Farseer - Le monde est plein de mensonges. On ne peut que croire en soi. EmptyLun 9 Juin - 13:48




[Jaime Soren Farseer]
Freedom is life's
greatest lie

Jaime S. Farseer - Le monde est plein de mensonges. On ne peut que croire en soi. HopeICON3Jaime S. Farseer - Le monde est plein de mensonges. On ne peut que croire en soi. Hope01Jaime S. Farseer - Le monde est plein de mensonges. On ne peut que croire en soi. Hope_animation_by_serahfarron96-d4mfjn8



J'm'appelle JAIME SOREN FARSEER, mais pour toi, chérie, ce sera uniquement JAY. J'ai 18 ANS, mais que j'sois ou non ton aîné, tu me dois le respect c'est comme ça qu'ça marche. J'suis ANGLAIS mais de toute façon on s'en branle puisqu'aujourd'hui j'fais partie de ETERNELLE ASGARD.
Mon dieu c'est LOKI, DIEU DU MENSONGE, et il est bien plus beau que le tien. D'ailleurs, moi aussi je suis beau, tu trouves pas que je ressemble à HOPE DE FINAL FANTASY XIII ? Et d'ailleurs, si tu veux me draguer, sache que je suis BISEXUEL.



PHYSIQUE ET CARACTERE
Personality is only ripe when a man has made the truth his own.



J'ai toujours été physiquement petit pour mon âge. Maigre, et pas vraiment musclé, non plus. Jamais je n'aurais pu faire baver des filles à la plage, tellement j'étais chétif. D'ailleurs, mon visage est, malgré mes dix-huit ans, encore très enfantin et plutôt féminin. Mon teint est très pâle, comme si je n'avais jamais pris la peine de mettre le nez dehors. Pourtant, j'adore passer mon temps dans la nature. Très rêveur, je me surprends sans cesse à imaginer un monde alternatif, où je serais une sorte de roi, de dieu parmi les Hommes. Mon lieu préféré, pour ce faire, est souvent près de plans d'eau, entouré d'une végétation abondante. Je m'y sens bien, en sécurité, et mon imagination se décuple. Je pense que de tels lieux ressemblent à la maison de mes grands-parents paternels, qui ont un jardin gigantesque avec un bassin d'eau douce et un nombre incalculable d'arbustes et de plantes exotiques. A mon avis, comme je me sens libre chez eux, je dois rechercher des lieux qui me procurent les mêmes sentiments d'accomplissement, d'autonomie et d'ambition impossible.
Du fait de mes escapades à l'extérieur, peu importe la température et l'heure, j'ai développé une résistance extrême aux éléments. Je n'ai que très rarement froid ou chaud et la pluie glaciale et battante ne me dérange pas, au même titre que le soleil brûlant sur mon dos. Ce dernier éclaircit chaque été mes cheveux, à l'origine châtain clair. Lors de ma période de rébellion adolescente, aux alentours de mes treize ans, j'ai décidé de me les décolorer entièrement. Agréablement surpris par le résultat, qui me donnait un visage plus doux du fait de mon teint blafard, je conservai cette couleur argentée qui me caractérise désormais. Mes larges yeux en amande sont d'un bleu vert très clair, et me donnent une expression très douce, autant que mon caractère. Gentil comme un agneau, je suis toujours présent pour aider mon prochain, peu importe les conséquences que ce soutien aura sur moi. Je suis, en vérité, très réservé de nature, et n'ose pas refuser le moindre service, de peur que les autres me renient une énième fois. Je suis aussi très naïf, sensible et fragile psychologiquement, et cela ne fait qu'accentuer mes problèmes lorsque je suis victime du caractère impétueux des autres. Cependant, lorsque je suis subjugué par mes émotions, je peux exploser de colère ou de frustration. Têtu, il devient alors difficile de me faire changer d'avis. Je dépend beaucoup de mes amis, pour me soutenir, mais aussi pour m'éclairer lorsque je suis assailli par le doute ou la peur.
Mon style de vêtements n'est pas vraiment défini, je m'habille en général par ce qui me tombe sous la main. Mes cheveux sont souvent ébouriffés car mon apparence extérieure m'importe peu.


HISTOIRE
A happy ending depends on where you stop your story.



Je suis né un soir de 24 janvier, où la météo était agréablement clémente pour la saison. Mes parents, venant tous les deux d'une petite ville dans le sud de l'Angleterre, avaient souhaité vivre à Londres pour me donner plus de chance qu'eux dans la vie. Mes grands-parents étaient des paysans relativement pauvres : mon père avait tout juste réussi à finir le lycée avant de travailler en tant qu'artisan, mais ma mère n'avait pas vraiment eu accès à une éducation en bonne et due forme. Ils se battaient tous les jours pour me donner, à ma sœur aînée et à moi, un arrière-plan familial suffisamment correct pour nous permettre d'aller à l'université, d'être instruits et d'avoir le métier de nos rêves. Moi, je voulais travailler dans les relations internationales. Parler des langues étrangères tous les jours avec les plus grands de ce monde, les chefs de gouvernement, les ambassadeurs, les journalistes, les entrepreneurs à succès. Ma sœur Lynn, la dernière fois que je l'ai vue, voulait être chercheuse en médecine. Elle aurait aimé aider les populations pauvres et sans instruction à leur apprendre les premiers soins, à se faire vacciner, à avoir accès aux soins plus élaborés pour une somme beaucoup plus modique que les médecins actuels ne nous le permettaient.
Depuis tout petit, je me suis toujours distingué par ma maturité hors normes. Mais qu'est-ce que la norme, de toute façon ? J'étais un bébé très éveillé, toujours attiré par les choses que je n'avais jamais vues. Un nouvel objet rapporté par mes parents suffisait à me distraire pour des jours entiers. La famille, les amis s'extasiaient devant moi, devant mes sourires alors que j'étais normalement trop petit pour savoir le faire, devant ma frustration évidente de leur incompréhension face à mes babillements qui étaient pleins de sens pour moi. Dégoûté par leurs actes, je n'ai plus prononcé un mot jusqu'à mes deux ans et six mois, où j'ai dit mon premier mot. Enfin, mes premiers mots. Ma première phrase. Mes parents, étonnés et soulagés de voir que je n'étais pas un être incapable, me louèrent de compliments jusqu'à l'arrivée des prospectus pour le pensionnat Immortalia, seize ans plus tard.
Je n'ai jamais travaillé, à l'école. Jamais révisé pour les devoirs, jugés toujours trop faciles. Jamais fait les exercices donnés par les professeurs, jugés inutiles. Pourtant, je me caractérisais par mes notes qui frisaient l'excellence. Personne ne comprenait quel était mon secret : ils pensaient que je travaillais jours et nuits, mais que mon insolence et ma fierté m'empêchaient de l'avouer. J'étais l'exclu de la classe, celui qui sortait des rangs, celui qui avait de bonnes notes, celui à qui on n'osait pas parler, alors celui de qui on se moquait.
Adulé à la maison, repoussé à l'école, j'évoluais sans cesse entre deux mondes totalement différents. Ma sœur ne représentait pas beaucoup, pour moi. Je l'aimais vaguement, pour respecter les liens de famille qui s'étaient noués entre nous. Alors quand les publicités pour le Pensionnat Immortalia sont arrivées en masse, j'ai sauté sur l'occasion pour me défaire de ces mondes dans lesquels je n'étais pas moi. Je n'aurais néanmoins jamais pensé que je n'aurais plus jamais pu être uniquement moi. Est-ce que je regrette ? Non. Jamais. Je me suis au contraire rendu compte que j'étais fait pour ne pas rester seul en moi. Je me délecte de partager mon esprit avec une divinité suprême: nous nous apportons mutuellement des idées, du réconfort, de la colère. Il fait désormais partie de moi autant que je fais partie de lui.



OH MON DIEU ET TEST RP
For a moment, just a moment, I belong.



Je sentis mes jambes tenter de se dérober sous moi alors que le Directeur me faisait entrer dans cette salle habituellement fermée où l'on n'avait accès qu'une seule fois. Je n'avais pas honte de le dire, j'avais peur. Peur de ce qui se passerait une fois dedans, peur pour mon intégrité, pour ma vie.
J'avais déjà presque dix-huit ans lorsque je fus accepté dans le Pensionnat Immortalia. Profitant de cette occasion pour me sortir d'un monde qui ne m'acceptait pas, j'y allai sans hésitation, comptant sur le niveau excellent de l'académie pour mieux m'instruire que mes précédents collège et lycée. Mais je ne connaissais personne ici, personne pour m'expliquer concrètement quelle était cette sorte de cérémonie apparemment obligatoire. J'avais peur, comme tout le monde, de l'inconnu, de la douleur, de la mort. Je pensais à mes parents, qui seraient probablement anéantis si je venais à disparaître. Je n'étais pas venu ici pour me tuer. Il n'y avait pas beaucoup d'élèves dans le pensionnat, mais leur présence signifiait qu'ils n'avaient jamais perdu. Peut-être était-ce une épreuve, et si j'échouais, le Directeur allait probablement me renvoyer chez moi, ce qui n'était pas une mauvaise chose, finalement. La vie reprendrait son cours normal, mais je vivrais avec le poids de l'échec et du regret enfouis profondément en mon cœur. Je n'étais pas sûr de vouloir cela. J'inspirai tout l'air que pouvaient contenir mes poumons, et l'expirai doucement. Comme j'aimerais avoir quelqu'un à mes côtés pour me rassurer ! Un trou béant s'ouvrit dans ma poitrine et mon cœur battit la chamade alors que le Directeur fermait la porte derrière moi.

Alors que je m'avançais pour découvrir ce qui se cachait en son sein, la pièce se mua en une sorte d'amphithéâtre, où des silhouettes se pressaient pour prendre place. Lorsque j'essayai de bouger, je compris que j'avais perdu connaissance, sûrement de peur, et que c'était un rêve. Un bien étrange rêve.

Mes yeux papillonnèrent alors que je tentais, tant bien que mal, de retrouver mes repères. Soudain, j'eus mal à un endroit auquel je ne pensais pas qu'on puisse avoir mal. C'était une sorte de mélange entre un mal de cœur et un mal de ventre. Je ne comprenais pas trop, mais j'essayais de me relever, lentement, pour ne pas retomber. Hélas, je fus tellement surpris par le sentiment qu'on me regardait, quelque part dans cette pièce, que je dus m'asseoir à même le sol. J'étais très inquiet, je ne savais pas du tout où, quand, comment. J'étais perdu dans les méandres de mon esprit. Mon cœur battait, battait à m'en faire mal, et je sentis quelque chose s'agiter au fond de mon cerveau, au fond de mon esprit, au fond de moi.
« Arrête donc de paniquer ! Tu vas finir par me faire me sentir mal. Allez, calme toi. La pagaille n'a même pas encore commencé ! »
Je me figeai d'horreur alors que je comprenais que la voix émanait du plus profond de moi. Une voix assurée, mesquine, masculine. Je n'étais plus seul dans ma tête, et j'avais peur. J'avais tellement peur de connaître celui qui partageait désormais mon corps. Tout tournait dans ma tête, je ne savais plus qui j'étais, ce que je faisais ici. Je revis le sourire narquois et énigmatique du Directeur lorsqu'il m'emmena ici. Je m'adossai à un mur se trouvant à quelques mètres de là. La tête dans les mains, je hurlai à m'en brûler les poumons.


Depuis cette épreuve de cauchemar, quelques mois ont passé. J'ai pu faire la connaissance exceptionnelle de Loki, le dieu nordique de la discorde et du mensonge. Il m'a raconté avoir élu sa place dans mon corps, car il s'est retrouvé dans mes pensées. Il a estimé que je pourrais comprendre ses intentions, ses idéaux et ses actes. J'imagine qu'il ne voulait pas d'un corps partagé avec quelqu'un avec qui il ne pourrait pas s'entendre. Je dois avouer que j'aime bien la distraction qu'il me procure ; il est autant impulsif et irresponsable que malin et rusé. Il change sans cesse d'émotions, passant de la fureur à la malice. Je suis là pour le raisonner, mais il a aussi quelques mauvaises influences sur moi : parfois, il me pousse à mentir pour me couvrir, ou même pour rire ; je n'aime pas ce mode de fonctionnement. Mais la plupart du temps, je ne peux pas m'en empêcher, ni l'en empêcher. J'imagine que malgré le fait que nous formions un duo parfaitement équilibré, le côté sombre de chacun doit déteindre un peu sur l'autre. Même si l'autre est une divinité du grand panthéon, et qu'on imagine qu'il va nous prendre pour des fourmis à côté de sa puissance.
Mais non. Nous aimons discuter de tout et de rien –j'admire d'ailleurs sa culture–, même si mon sujet préféré reste sa vie avant de n'être plus qu'un esprit. Il m'énerve un peu quand il se met à raconter n'importe quoi, mais après des mois à le côtoyer de façon intime, je commence à savoir démêler le vrai du faux, chez Loki comme chez n'importe qui d'autre. Je pense que cette cohabitation m'apporte beaucoup, et ma peur ressentie les premiers jours, mon désespoir face à cette situation hors du commun, ont vite laissé place à la fascination. Je n'imagine plus ma vie sans lui ; il est le soutien dont j'avais tant besoin, mon meilleur ami, une partie de moi à qui j'ai donné ma confiance. Je ne serai plus jamais simplement Jaime, et s'il venait à quitter mon corps, je ne serais rien de plus qu'une coquille vide, sans âme, sans sentiments, sans mental.




Lokiaryu


Ashton a dit que c'était bon :3
Je suis un iguane femelle de 18 ans (oui ça fait vieux, hein? '-'), actuellement en école de commerce. J'habite dans les Pays-de-la-Loire, à la campagne ♥ mais bon, y a une bonne connexion internet, alors je me plains pas trop. J'aime manger, faire n'importe quoi sur Internet, jouer aux jeux-vidéos et RP. Mon plat préféré sont les sushis ♥


(c) MEI SUR APPLE SPRING

Alum S. Cleary
Alum S. Cleary

Me, Myself & I
Me joindre:
Pouvoirs:
Inventaire:
Eternel Asgard
Eternel Asgard
Messages : 1621
Revenir en haut Aller en bas
Jaime S. Farseer - Le monde est plein de mensonges. On ne peut que croire en soi.
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1
Sujets similaires
-
» Dans un endroit plein de douceur [PV Jaime] [TERMINE]
» Jaime ♦ They'll never be the same again
» Liens de Jaime
» [Pré-Intrigue] Chasse à la citrouille [Jaime & Nathou]
» Grand nettoyage! [Nathanaël/Lawrence/Jaime/Alix]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Pensionnat Immortalia :: Gestion du personnage :: ◄ Fiches de présentations :: ► Les Enfers-
Sauter vers: