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Asthon Cooper Thompson △ We are wild, we are like young volcanoes
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MessageSujet: Asthon Cooper Thompson △ We are wild, we are like young volcanoes Asthon Cooper Thompson △ We are wild, we are like young volcanoes EmptyMer 25 Juin - 13:48




[Asthon Thompson]
Don't wanna be
an american idiot

Asthon Cooper Thompson △ We are wild, we are like young volcanoes 323323Icone3Asthon Cooper Thompson △ We are wild, we are like young volcanoes 642295Icone1Asthon Cooper Thompson △ We are wild, we are like young volcanoes 829987Icone2



J'm'appelle Ash(ley)ton C(alypso)ooper Thompson, mais pour toi chéri ce sera uniquement Ash. J'ai 17 ANS, mais que j'sois ou non ton aîné, tu me dois le respect c'est comme ça qu'ça marche. J'suis Los Angeler mais de toute façon on s'en branle puisqu'aujourd'hui j'fais partie des s.
Mon dieu c'est , et il est bien plus beau que le tien. D'ailleurs, moi aussi je suis beau, tu trouves pas que je ressemble à Freckled Jesus ? Et d'ailleurs, si tu veux me draguer, sache que je suis demisexuel.



PHYSIQUE ET CARACTERE
MIDDLE FINGER UP


D'abord, Ashton, il faut te rendre justice. Tu fais de ton mieux.
Tu fais réellement de ton mieux pour tout camoufler, pour mener ta vie comme tu l'entends.
Tu es une tête brûlée, tu es tout feu tout flamme, tu irradie la chaleur humaine sur des kilomètres. Tu as sûrement trop cramé sous le soleil Californien. Ça vous massacre le cerveau, tant d'UVs. Enfin, ça a ses avantages : tu es chaleureux comme un jour d'été à Los Angeles. Fonceur, hyperactif, plein à ras bord de bon sentiments. Tu as cette sale manie de te jeter dans l'action sans réfléchir aux conséquences, avec ton rire communicatif et tes petites fossettes. On verra bien le reste après, tu répètes. Avec toi, c'est du au jour le jour. Spécialiste des retards, maître des hors sujets, grand gourou du « mais sacrebleu, cette phrase n'a aucun sens », tu aimes amuser la galerie avec ton décalage et ta bonne humeur. On s'adresse souvent à toi, parce qu'il n'y a pas grand chose de plus rassurant que des tâches de rousseurs sur pattes, riante, réputées serviables, qui hurlent fort à travers les couloirs du lycée pour parler à leurs potes, qui se font coller toutes les heures et qui organisent tout ce qu'il faut comme glossolalie pour maintenir une classe en vie. Ton esprit très pratique, plutôt ingénieux, doublé d'une imagination totalement débordante, tout dans ton caractère t'as assigné à la place de clown. Tu n'es pas toujours une bonne influence, puisque tu es toujours partant pour les pires glossolalie et les meilleurs délires, que tu ne sais pas t'arrêter ou te restreindre. Mais on t'apprécie souvent, parce que tu es fidèle et terriblement humain, même quand on ne connaît pas le fin fond de l'histoire. Des fois, ça ne colle pas, bien sûr. Tu gueules fort et toute la journée, tu passes ton temps à bouger, tu te mets souvent en avant, même si c'est jamais avec une mauvaise intention, il y a des gens qui ne supportent pas ce genre de personne, c'est tout à fait compréhensible.
Tu as une passion pour le street art, une passion dévorante. Tu peux passer des nuits entières avec tes potes sur des toits d'immeubles pour finir une peinture. Tu dessines beaucoup, et tagues encore plus. Sûrement, tu vas en faire ton métier. Tu ne sais pas encore. Tu te vois bien graphiste, depuis que tu as ta tablette graphique, tu fais pas mal de truc dessus. Mais tu es aussi beaucoup attaché au mot « street » dans « street art », et tu adores le skate, le BMX, le parkour. Tu es bien moins doué dans les deux derniers que dans le premier, mais qu'importe, ça t'éclate autant. Tu es accro aux vertiges des immeubles et aux courses de vitesse quand il faut se barrer vite pour ne pas se faire chopper. Tu adores voyager et visiter de nouvelles villes, tu aimes bien l'architecture, aussi. Qu'est ce qu'on te rend heureux, si on te laisse vagabonder dans une ville inconnue ! Tellement de truc qui t’intéresse, c'est pas possible ! D'ailleurs, tu es ce genre de personne qui adore voir les autres personnes passionnées. Tu danses comme une huître des Galapagos malade, mais si quelqu'un ADORES la danse et t'en parles avec plein de petites étoiles dans les yeux et en faisant des grands gestes, il y a 200% de chances que tu l'écoutes de toutes tes oreilles décollées.
Enfin, il n'y a pas que ça, ta vie est ce qu'elle est, on ne peut pas dire que tu sois tout le temps droit dans tes pompes. Tu es à fond pour ne rien laisser te rattraper, mais c'est horrible, comme sensation. Le problème, avec toi, c'est ce que les anglais appellent « dysphoria ». La différence entre ce qu'on t'as foutu entre les jambes à la naissance et ce que tu te sens. C'est en même temps pour toi une grande souffrance et une honte horrible. Il n'y a pas de miroir dans les salles de bains, chez toi. Tu déteste te voir nu. A une époque, ça te donnait une sévère envie de vomir. Maintenant, tu l'acceptes un peu mieux. Tu commences à comprendre et à voir tout ça comme une épreuve surmontable. Tu as fait des progrès. Tu comprends que tu n'es et ne sera jamais comme les autres. Tu comprends que tu devras avoir recourt à la chirurgie pour finalement voir ton corps et ton esprit s'accorder. Et que la plupart des gens te rejetteront dans l'état actuel où tu es. Alors, tu te caches. Personne d'autres que tes amis proches ne savent.
Mais, évidemment, il y a des dommages collatéraux. Quand on aime pas son corps, on l'abîme. Tu es limite parano par rapport à ta transexualité, tu ne laisses que peu de personnes rentrer dans ta chambre. Émotionnellement, tu es fragile, et il ne vaut mieux pas t'avoir en ami si on aime pas être collé, parce que tu développes vite des dépendances affectives. Enfin, tu es d'une jalousie maladive. Et bien sûr, avec un dieu dans la tête, c'est encore moins simple, on va pas se mentir.
Mais bon, tu fais du mieux que tu peux.



Le réveil sonne tous les jours à six heures et demi, alors qu'Ash a cours à huit heures. Une heure et demi pour se préparer, c'est pas mal.
Il a toujours une tête affreuse, en se réveillant. Les cheveux en bataille, les cernes sous les yeux et la trace de l'oreiller imprimée sur la joue. La poitrine nue, aussi. Il n'y a aucun miroir, dans cette pièce, nul part où sa silhouette fine et musclée, rendu carré par les années de pompes et d'abdos matinales, avec ces seins qui n'ont jamais été gros, mais qui malheureusement, ont toujours été présent, puisse se refléter. Sa peau basanée, héritage hawaïen, est couverte d'une voie lactée brune, des tâches de rousseurs qui le couvrent des pieds à la tête, qui courent sur ses jambes, ses bras, son dos, pour venir s'échouer sur ses joues et son nez. Il mesure un mètre soixante-quinze, ce qui est correct mais pas extra pour un mec. Il aimerait bien être un peu plus grand. Il a quelques cicatrices, dues au sport ou à autre chose, des tatouages blancs sur sa peau brune. C'est un corps androgyne, qu'il a, un corps un peu bâtard, pile à la frontière entre le masculin et le féminin, on ne saurait pas trop dire.
La première chose qu'il fait en se levant, c'est enfiler une brassière de compression, qui lui écrase la poitrine. A la fin de la journée, ça fait un peu mal, mais c'est tellement génial de ne voir aucune forme sous ses t-shirt ! Avant, il faisait un truc dangereux, il s’enveloppait dans des longues bandes... mais ça faisait tellement mal, et puis ça peut entraîner des problèmes d'os, son père l'a forcé à arrêter.
La seconde chose, il avale ses hormones. La troisième, il va se débarbouiller le visage.
La salle d'eau, c'est la seule pièce où il y ai un miroir. C'est juste une petite glace au dessus de l'évier, où il voit son visage. Imberbe, évidemment, couvert de taches de rousseurs brunes, qui traversent son visage en diagonales, d'une de ses oreilles décollées à l'autre. Il a des traits légèrement asiatiques, dus à son métissage, des yeux noirs et amande, une bouche fine et des pommettes saillantes. Il s'ébouriffe toujours les sourcils, pour qu'ils paraissent plus épais. Heureusement, il n'a pas beaucoup d'acné, mais ça arrive qu'il ai des surprises le matin. Ses cheveux, c'est une masse sombre et désordonnée, des mèches un peu crépues qui partent de tous les cotés de sa tête, jamais coiffés. Il a une undercut depuis peu, il trouve que ça lui va super bien.
Après s'être rincé le visage à grands coups d'eau froide, il retourne dans sa chambre s'habiller. Il est assez frileux, donc c'est rare qu'il ne porte pas un de ses huit cent vingt sweats. Il en a de toutes les couleurs, de toutes les formes, de toutes les marques. Avec, il met des t-shirt trop larges et des jeans plutôt serrés, avec des grosses basket de skate. Même en été, il ne sort pas en débardeur, ses brassières de compression l'en empêche. Enfin, ça ne le dérange pas trop, il a l'habitude de supporter plus chaud, à LA. Sinon, il porte pas mal de casquettes et de bonnets, mais il est encore plus décoiffé après.
Il claque la porte en sortant.



HISTOIRE
Thanks for the memories



Le soleil Californien brûlait la maternité de Los Angeles, le 16 juillet où Ashley Calypso Thompson naquit.

Elle avait un père, un Hawaiien natif au cœur aussi grand que ses yeux noirs. Elle avait une mère, une femme blondes aux lèvres éternellement pincées.
Avec le recul, on ne comprendra jamais comment ces deux personnes ont bien pu s'aimer au point d'avoir un enfant ; ils étaient différents, et d'abord sur la grandeur d'âme et sur l'ouverture d'esprit, ce qui posait déjà bien des problèmes dans le couple. Mais faire l'historique de ce couple dysfonctionnel ne nous intéresse pas ici : c'est le produit de cet amour qui doit retenir notre attention.

Ashley avait les yeux de son père, le nez de sa mère, et, jusqu'à ses douzes ans, une vie relativement heureuse. Gamine survoltée, hyperactive, joyeuse et épanouie, elle vivait au rythme de l'école et du surf avec son père et ses amis. Très jeune, elle se découvrit une passion dévorante pour le sport, pour l'art et pour l'inconnu, pour le danger en général. Grandir à Los Angeles, c'est grandir sous l’égide des meilleurs surfers, skaters et BMXers du monde, dans une ville où tous les tricks sont permis. Déjà, elle se montrait très doué pour les activités physiques et en art.

Mais très jeune aussi, elle senti que quelque chose n'allait pas. A sept ou huit ans, elle était incapable de mettre un nom dessus. C'était juste une vague malaise, une sensation que quelque chose était à la mauvaise place dans sa vie. Son père, lui, commençait déjà à sentir venir les choses : sa fille refusait de mettre des hauts de maillots, elle n'était amie qu'avec des garçons, elle avait un comportement typiquement masculin. L'homme était loin d'être fermé d'esprit ; si une fille, si sa fille voulait bricoler, courir,  surfer, s’intéresser aux Hotwheels plutôt qu'aux Barbies, mais qu'elle fasse ! Si ça la rendait heureuse, c'était tout l'important !
Ce comportement de garçon manqué, par contre, était loin de convenir à sa mère. Si elle avait eût une fille, c'était bien pour pouvoir jouer à la poupée avec, l’emmener voir ses amies !  Elle avait du mal à supporter qu'Ashley se comporte comme un garçon, et se mettait dans des colères folles quand la gamine lui déclarait qu'elle voulait "être un garçon" ou "s'habiller en chevalier pour la fête de l'école". Ce comportement mettait Ashley extrêmement mal à l'aise : elle ne voulait ni décevoir sa mère, ni abandonner ce qu'elle estimait être son comportement normal. On se disait alors que de toutes façons "ça lui passerait".
Mais évidemment, rien ne passa. Aux douze ans d'Ashley, son père sût que ça ne passerait probablement jamais. Elle s'opposait de plus en plus à tout ce qu'on voulait lui imposer comme traces de féminité. La puberté commença, quel ne fut pas le choc de la jeune fille quand elle se regarda dans la glace un matin, et remarqua qu'elle avait de la poitrine ! Même si elle portait les cheveux en carré désordonné et qu'elle était aussi musclée qu'une surfeuse croisée skateuse peut l'être, elle devenait une "vraie femme" ! Il y eût alors une période charnière, pendant un peu plus de six mois, où elle ne savait plus où se mettre. Tiraillée entre son esprit et son corps qui s'opposaient de plus en plus, elle se laissait emporter par un malaise flottant et presque indéfinissable. Elle abandonna le surf, ne pouvant plus en faire dans la même tenue que les mecs, et resta désœuvrée, assise au bord de son perron avec son skate.

Elle regardait la ligne d'horizon en entendant sa mère crier, et peu à peu, Ashley mourrait. Elle mourrait doucement et peu à peu, petit bout par petit bout, elle se désagrégeait. Et c'est sur sa tombe qu'Ashton est né.

Si on a des personnes à remercier, dans l'histoire, c'est Alex et Chris, Chancey, et les autres. Eux, ça faisait longtemps qu'ils connaissaient à Ashton, et ils furent heureux de le voir enfin prendre le pas sur Ashley. Skaters acharnés, gamins chahuteurs, ils furent d'une intelligence que malheureusement beaucoup d'adulte n'ont pas, à se dire "C'est un mec, et je m'en branle, c'est mon pote avant tout.". Ils permirent à Ashton de vivre sa vie comme il l'entendait, entouré et protégé par ses amis. Tous ensembles, ils commencèrent à taguer. Ce fut une grande révélation pour Ashton. Tout Los Angeles devenait sa toile,  il n'allait pas se gêner pour peindre ! Peu à peu, avant ses seize ans, il s’intégra peu à peu à la vie nocturne de la ville. On le connaissait comme squatteur de skatepark, comme street-artist, comme ce mec qui triquait tout le monde en parkour. Bientôt, il y eu quelques unes de ses images sur les blogs de street-art.

Même une fois seul devant son miroir, sa peur et son malaise n'arrivait pas à reprendre le dessus. Il était un mec. Quelqu'un avait foiré quelque part dans la distribution des corps, il était sûr et certain de ne pas être une fille. Ça se réglerait, il y avait des chirurgies, des recours légaux. Mais pour le moment, qu'est ce qu'on s'en foutait. Il y avait les tags, le sport, les soirées sur la plage ou devant la console. Il y avait ses potes.

Mais si tout lui souriait de ce coté là, s'il suivait sa scolarité sans trop de problèmes, il n'en était pas de même pour sa famille. Ce ne fut pas son père, préparé depuis longtemps aux évènements, qui posa un problème ; ce fut sa mère. Rendue aigrie par les année et le tournant bizarre que prenait sa famille, elle s'était mise à faire crise sur crise à son mari et à son fils. Ashton avait presque dix-sept ans quand elle quitta les deux hommes, qui cherchaient seulement à vivre du mieux possible. Elle laissa derrière elle son mari dévasté, sa maison remplie de ses cris et de ses insultes, et son fils coupable.
Ils vivotèrent après son départ dans une sorte de brouillard. Bien que son père ne s'arrêta jamais de lui répéter le contraire, Ashton se sentait horriblement coupable. Il se considérait fautif de la devastation de sa famille, des larmes de son père comme des cris de sa mère. Bien que tous ses amis firent de leurs mieux pour l'épauler, il laissa les moqueries et les racontards du lycée prendre le pas sur lui. Ce furent ses potes qui ne lui laissèrent pas le choix : il fallait qu'il aille quelque part d'autre. Il devait s'en aller, se vider l'esprit quelque part, faire le point, ou il allait devenir fou. Pile comme cette décision commençait à faire son chemin dans son cerveau, les pubs pour Immortalia commencèrent. Discrètes au début, puis de plus en plus insistantes, nombreuses. Il ne savait pas trop pourquoi lui, mais son père et ses amis s'en foutaient : c'était inespéré, comme occasion, il fallait sauter dessus sans hésitation ! Un pensionnat au fin fond de l'Irlande ? Personne ne le connaîtrait, là bas.

Son père, assis à la table de la cuisine, appela le directeur.  Oh, il avait l'air d'un homme tellement gentil ! Tellement compréhensif ! Il accepta sans retenu qu'Ashton aie une chambre individuelle, qu'il soit dispensé des cours qui le gênent, qu'Ashley ne soit mentionnée nulle part. Bien sûr, oui, seul le corps enseignant serait au courant, évidemment.
L'histoire fut bouclée en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. Il y eût beaucoup de larmes à l'aéroport, parce qu'Ashton n'avait envie de quitter personne, mais c'était un soulagement, aussi. Tout recommencer serait peut-être -sûrement- bénéfique.

Et il atterri à Limerick, prit le bus pour Immortalia. A son grand soulagement, le Directeur tint ses promesses ; il vécut comme bon lui semblait, dispensé de cours de natation, vivant dans une petite chambre de bonne sans personne pour le voir.  Il ne peux plus vraiment taguer, et d'ailleurs taguer seul c'est bien moins drôle. Mais il dessine beaucoup sur ses cahiers ou sa tablette. Il appelle à LA tous les soirs. Il se remet sur pieds.

Mais évidemment, on a rien sans rien. On a pas la tranquillité sans un dieu, dans son cas.



OH MONDIEU ET TEST RP
Ain't it fun ?



" Il est l'heure, ASHTON !

Tu ouvres les yeux, regardant le plafond, auquel tu as accroché plein de photos de tes potes et de dessins imprimés sur internet.

" Lug, il est cinq putains heures du matin.

" Justement, ASHTON. Le futur appartient aux gens qui se lèvent tôt !

Le futur appartient aux gens qui se lèvent à une heure normale, tu as envie de répondre, mais tu te retiens. Lug ne plaisante pas avec ses proverbes à la jocrisse. Lug ne plaisante pas trop, en général.

" Le futur ne m'appartient pas. A toute à l'heure.

" ASHTON.

" Laisse mooooi dormir...

Tu te retournes dans ton lit, frottant tes taches de rousseurs contre ton coussin.

" Quelqu'un accueillant l'esprit de Lug polytechnicien ne peux pas se permettre de se lever si tard !

" Mais il est pas taaaaaard, Lug, sérieux ! Et p'is t'es obligé d't'donner tes titres tout seuls ?

" Bien évidemment !

Tu as un long soupir :

" Si j'avais sû, j'serais pas v'nu...

" Pour l'amour d'une rose, le jardinier est serviteur de milles épines.

" Da fuck ?

Ouais, ça peut plutôt bien résumer ton état permanent face à Lug.

" On a rien sans rien. Il y a contrepartie pour tout. Tu sais de quoi je parle.

Ton visage blanchit un peu.

" Je sais, ouais...

Tu sais bien, que c'était un contrat tacite entre ce sacrebleu de directeur et toi. Abriter un dieu contre ta tranquillité. Lug doit se rendre compte de ton malaise, puisque sa voix grave se fait plus basse :

" Mes excuses, je ne voulais pas retourner le couteau dans la plaie...

" Ouais, ça va, tranquille.

Il y a un instant de silence dans ta tête, puis, doucement, le polytechnitruc s’éclaircit la voix et repris :

" J'ai bien conscience que ça te fait énormément souffrir, Ashton... Et je m'excuse d'être balbutiant quant à ça. Comme tu sais, autre temps autres mœurs, ce n'est pas exactement le type de problèmes auxquels mes sujets, du temps où j'étais en activité, faisaient face en priorité, c'est pour ça que je...

" Pitiii-éééé, je veux pas de séquence émotion de la part d'un dieu de genre, 3000 ans.

C'est à peu près le dernier truc dont t'ai besoin, à dire vrai.

" C'est pour ça que je n'ai pas encore les aptitudes à gérer ce genre de soucis. Tu comprends bien que quand, après des milliers d'années à lutter pour survivre, je vois la possibilité d'une réincarnation et que je deviens l'hôte d'un jeune homme transexuel passionné de graphisme mural, j'ai besoin d'un temps d'adaptation, avant que nous ne puissions faire de toi un véritable héros.

Oui, parce que vous deux, c'est surtout un MEGA conflit des générations.

" Ah, fessier en culotte de cheval de cacostomie, tu vas pas repartir là d'ssus !

Silence.

" J't'ai déjà dis : ton délire des héros, c'était valable au temps des celtes. J'veux juste vivre de ma passion et m'éclater. C'est pas assez héroïque pour toi ?

" Non, tu es la nouvelle forme de Lug poytechnicien. De grands pouvoirs impliquent de grandes responsabilité.[/color]

" J'peux pas croire que t'ai cité ça.



Asthon Cooper Thompson △ We are wild, we are like young volcanoes LIEN DE TON ICONEAsthon Cooper Thompson △ We are wild, we are like young volcanoes LIEN DE TON ICONEAsthon Cooper Thompson △ We are wild, we are like young volcanoes LIEN DE TON ICONE

Aletheie


Je suis l'alpha et l'omega.


(c) MEI SUR APPLE SPRING

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