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Et sinon, tu veux être mon ami? (Auen Sorensen) [ABANDONNE]
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MessageSujet: Et sinon, tu veux être mon ami? (Auen Sorensen) [ABANDONNE] Et sinon, tu veux être mon ami? (Auen Sorensen) [ABANDONNE] EmptySam 6 Déc - 23:24

 

«Tout le monde fait des bêtises. Le fin du fin, c'est de les faire au moment où personne ne regarde.» By Peter Ustinov


Lundi. Jour de cours habituel, rien d'anormal. Jusque là du moins.

Paris se trouvait en cours d'histoire, une des matières les plus importantes, et semblait étrangement assidu. Il écrivait sans cesse, grattait son papier comme si sa vie en dépendait, et d'une façon si sérieuse que ça ne lui ressemblait pas. Ses voisins de table lui jetaient quelques regards furtifs,surpris de cette nouvelle attitudes, et le professeur tout aussi étonné semblait bien heureux qu'enfin Paris Sirius Adiathésìa puisse montrer un peu de sérieux pour sa matière, et en était limite fier d'avoir pu enfin intéresser un élève aussi perturbateur, après d'innombrables échecs.

Paris relevait à peine la tête de ses feuilles de cours, et tout ce qu'il écrivait était en grec. Il aimait le fait que personne ne pouvait ainsi décrypter ses frasques qu'il préparait plus que soigneusement, manigançant ainsi de nouvelles idioties. Car oui, au lieu de s'ennuyer à rien faire, autant travailler sur un nouveau projet pendant que ce prof si ennuyeux blablatait dans son coin. Et quel travail que celui de Paris. Cette fois, en ce début de nouvelle année, il comptait mettre la gomme, et après un moment il décida même de faire le grand saut, et de prendre son courage à deux mains: s'associer.

La sonnerie retentit, et alors que les autres rangeait leurs affaires Paris se leva, et toujours de son air grave alla se poster devant une personne bien précise. Ils étaient dans la même classe depuis le début de l'année, mais Paris n'était pas toujours très doué pour se faire vraiment des amis. Disons qu'il attirait l'attention, les gens le trouvaient cool, mais au final personne ne s'attardaient vraiment sur sa personnalité.

Ceci étant dit, il se trouvait devant la personne à laquelle il ressemblait le plus, physiquement comme moralement. En effet, si Calypso et Paris étaient comme le jour et la nuit alors qu'ils étaient jumeaux, Auen Sorensen et Paris se ressemblaient comme deux gouttes d'eau alors qu'ils ne se croisaient qu'en classe.

- Yo. 'scuz, mais ça fait un moment que j'y réfléchis, et j'aurai besoin de te parler en... Privé.

Il attendit que les autres sortent, et le professeur en franchissant la porte eut l'air de s'inquiéter de les voir tous deux se parler. Seuls, ils étaient gérables, mais qu'est-ce que cela donnerait une fois ensembles...? Étrangement, le professeur ne sembla pas vouloir savoir et pressa le pas pour s'éloigner de la salle de classe, ce qui arrangeait bien Paris. Il continua donc.

- Voilà, je pense qu'on est chacun super bon dans le genre fou et bien déjantés. Je pense que notre réputation respective est tout à fait honorable, mais que penserais-tu de faire équipe, et d'ainsi exceller dans notre domaine? On deviendrait connus et tous les étudiants connaitraient nos noms. Indissociables dans la grandeur et la débilité, ça te tente?

Il avait sorti de bien belles phrases, assez préparées pour essayer de mettre toutes ses chances de son coté, mais s'ils se ressemblaient vraiment comme il le soupçonnait, il ne devrait pas y avoir de véritable difficulté.

- Ah, et j'aurai une première idée pour déclarer notre alliance à tout le pensionnat... Si tu accepte.

"And with all that, disait Oengus dans ses pensées,you should at least be the kings of this high school... Or at least I hope so."

Spoiler:

C'est ce que cherchait aussi Paris, et ainsi dépasser la popularité de sa soeur.



(c)LOKIA
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MessageSujet: Re: Et sinon, tu veux être mon ami? (Auen Sorensen) [ABANDONNE] Et sinon, tu veux être mon ami? (Auen Sorensen) [ABANDONNE] EmptyDim 7 Déc - 18:12

Les Rois des Âneries, ça s'ra nous !



I am a mess.
I've made a huge mess,
I can't control myself.


Le lundi matiiiiin, quelle joie, n'est-ce pas ? ♥
L'air réveillé du Norvégien, sa nonchalance, cette tête si ennuyée que l'on pourrait penser qu'Anubis le possède totalement, en disait bien long sur ce qu'il en pensait, du lundi matin, lui !
Cela aurait pu être en effet la tête habituelle du norvégien, si cette fois-ci il ne dormait pas profondément sur sa table. La tête mollement posée sur sa table, les bras devant, il dormait du sommeil du juste, rêvassant tranquillement, tandis que le professeur d'histoire, parlait. L'histoire, oui. Cette matière était l'heure de sieste favorite du bleu. Si ennuyeuse, barbante, à mourir littéralement. Autant être guillotiné, ouais. En parlant de ça, le norvégien rêvait, justement. Rêvait de ses loooongues plaines blanches immaculées de sa tendre Norvège, et lui les parcourant sur un cheval, habillé en Prince. Qu.. . QUOI ?! C'était quoi ces rêves ? Eh bien, les rêves habituels du gosse qu'il est. Tout se déroulait donc bien, galopant toujours sur son fidèle destrier, avant qu'il ne se vautre violemment parterre, s'éclatant la tête la première dans le neige bien fraîche. Le jeune homme se réveilla en sursaut, poussant involontairement sa table.
"Punaiiiise c'est froiiid !"


Un énorme blanc. De toute la classe. Auen regardait autour de lui, hébêté, voyant que ce n'était qu'un rêve et que là il était bel et bien réveillé. Même le professeur poussa un soupir, le regardant de son air sévère et avant qu'il puisse lui sortir le moindre mot, le norvégien se saisit de son livre, le mettant sur sa tête, puis prenant une pose digne d'un grand général, il dit d'un ton grave et ferme :
"Caporal Auen au rapport, Napoléon ! J'ai parfaitement dormi et je vous remercie de vous en soucier, Général !"
Un ton provocateur, accompagné de son sourire, avant que les élèves autour n'éclatent pour la plupart de rire, amusé de la répartie de l'ex-blond à Napoléon qui n'était d'autre que le professeur en question. Il fallait vraiment être ailleurs pour ne pas voir une telle ânerie de la part du jeune homme. Voyant que le prof ne riait pas, il se rassit, une mine boudeuse au visage, soupirant.
"Aucun humour, vraiment..."
"Auen, un peu de respect veux-tu ?"
Le ton posé du chacal laissait deviner qu'Auen était soit disant en faute, mais oui. Comme si taquiner un prof était grave quoi. Que des coincés, pff.


Et enfin, la libération. La sonnerie retentit, laissant les élèves quitter la salle un par un, sous le regard du prof', attentif. Auen aurait bien eu envie d'hurler "DOBBY EST UN ELFE LIBRE !!", mais il n'avait personne pour lui passer le vêtement de la libération snif. Il était d'humeur taquine et à faire une montagnes d'âneries. Il plaignait déjà les autres en son fort intérieur, huhu. Puis là, un éclair de magie, oui, oui. Un gars qui semblait lui ressembler comme deux gouttes d'eau, mais genre tout pareil, même le physique, vint le voir, un air grave. Quoi, un décès ? C'pas ça ? Ah...
- Yo. 'scuz, mais ça fait un moment que j'y réfléchis, et j'aurai besoin de te parler en... Privé.
Il marqua une courte pause, attendant de voir la salle complètement vide, même le prof, et repris :
- Voilà, je pense qu'on est chacun super bon dans le genre fou et bien déjantés. Je pense que notre réputation respective est tout à fait honorable, mais que penserais-tu de faire équipe, et d'ainsi exceller dans notre domaine? On deviendrait connus et tous les étudiants connaitraient nos noms. Indissociables dans la grandeur et la débilité, ça te tente?

Le bleu fit un large sourire, complètement branché par la proposition (et surtout parce que tant de compliments si vrais...). Mais attends son jumeau lui propose de foutre le bazar, en plus l'est aussi bien foutu que lui, et semble en vouloir ! Mon dieu, comment s'est possible ? Il existe en double, mais c'est aaaaah... !
"Auen c'est pas plutôt parce que tu peux te voir toi-même que tu vas accepter, hein ?"
Un point pour le chacal, mais chut. C’est toujours agréable de se mater soi-même, quoi. Pff, L’Oréal, cherches pas.
- Ah, et j'aurai une première idée pour déclarer notre alliance à tout le pensionnat... Si tu accepte.


Mais volontiers, qu'il allait accepter ! Il lui afficha son plus beau sourire colgate et sa plus magnifique gueule angélique, pour calmer le prof qui semblait les surveiller de très loin, en fait, puis passant sa main dans ses cheveux, afin d'y voir mieux, répondit avec un ton plus que tonique :
"Ah mais carrément ! J'suis toujours partant moi ! T'as prévu quoi ? Une idée ? Si possible, autant marquer le coup, et faire bien comme il faut, en beauté ?"

Si c'était possible, on verrait des étoiles briller dans ses yeux, tel un enfant, tellement il était heureux de savoir que sa matinée allait bien se dérouler ! Le gars en question, son jumeau, était Paris. Le frère jumeau de la grande perche blonde, sisi. Le pauvre. Auen l'avait plus ou moins remarqué mais n'étant pas un grand visagiste et mémoire, il avait un peu zappé. Il savait juste que le pauvre avait une sorte de sœur jumelle un peu prout prout j'me crois la plus belle etc. La plaie absolue. Sûrement pas méchante, mais chiante. Regardant donc plus attentivement Paris, il jubilait sur place, et courait bien partout pour exprimer sa joie, avant de rire doucement.
"Puis... Si j'me goure pas, ça n'embêterait pas ta grande perche blonde, hein ? ♪"
Sourire colgate et une expression amusée. Taquin, jusqu'au bout.
"Je suis juste partant, quelle est donc cette merveilleuse idée, associé ? ♥"
Il lui tendait la main, comme pour marquer cette alliance, un visage à mi-chemin du provocateur et de l'enfant taquin pressé de faire sa grosse bêtise.
"Auen, tu ne vas tout de même pas..."
"J't'enteeeeends paaaas, Anu, on a été coupééééé !" lâcha-t-il mentalement, pour couper court.
"Quel gamin..."
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MessageSujet: Re: Et sinon, tu veux être mon ami? (Auen Sorensen) [ABANDONNE] Et sinon, tu veux être mon ami? (Auen Sorensen) [ABANDONNE] EmptyDim 7 Déc - 20:40

 

«La démocratie, c'est aussi le droit institutionnel de dire des bêtises. » By François Mitterrand


Le sourire et le regard de ce nouvel ami en disait long sur sa réponse. Paris, rassuré quelque part de voir qu'ils se ressemblaient bel et bien autant qu'il espérait, lui offrit à son tour un sourire carnassier en écoutant sa réponse.

-Ah mais carrément ! J'suis toujours partant moi ! T'as prévu quoi ? Une idée ? Si possible, autant marquer le coup, et faire bien comme il faut, en beauté ?

Il avait l'air aussi enthousiaste que lui à l'idée de foutre la cacostomie... C'était la première fois qu'il se sentait aussi heureux depuis bien longtemps!

-Puis... Si j'me goure pas, ça n'embêterait pas ta grande perche blonde, hein ? ♪

Surpris qu'Auen connaisse le lien de parenté qu'il avait avec Calypso, bien que ça n'ait jamais été un secret, il baissa la tête, d'un air boudeur, avant de finir sa tirade par un grand sourire:

-Gnagnagna... Mais j'espère bien que ça la fera sourire...

il rit un peu, voyant qu'il était compris par son complice, se disant qu'il n'aurait pu trouver mieux que lui, vu que ça n'existait probablement pas. C'était son double, son vrai jumeau tout aussi maléfique que lui même.

-Je suis juste partant, quelle est donc cette merveilleuse idée, associé ? ♥

Enfin la question qu'il attendait tant, et la main de son allié tendue vers lui, il n'hésita pas à la lui serrer. C'était dit, ils étaient prêts à présent à commencer le tout. Il sortit les feuilles qu'il avait gratter pendant toute la durée du cours, écrites en grec pour éviter qu'elles ne passent entre toutes les mains.

-Alors voilà le plan.

Il prit une nouvelle feuille et dessina les étages du bâtiment consacré au lycée.

Je pense qu'il y a moyen, grâce aux toilettes du dernier étage, d'inonder au moins le dernier étage voir aussi celui d'en dessous. Je suis capable de ralentir le temps pendant que les autres sont au self.

Il regarda sa montre, d'ici dix minutes tout le monde aurait rejoint la cantine, et ils n'auraient plus qu'à mettre en marche le plan.

Il consistait principalement à ouvrir toutes les vannes des toilettes, garçons comme filles, et à boucher toutes les bouches d'évacuation.  L'inondation commencerait donc au dernier étage, pour petit à petit se répercuter dans les étages inférieurs. Il avait déjà fait du repérage et trouvé les canalisations à casser pour que l'eau ne soit plus coincée par les vannes et se déverse seule grâce à toute la pression qui ne sera plus retenue. Il faudrait aussi faire en sorte que le personnel ne puisse pas arrêter tout de suite l'arrivée d'eau, et donc pour ça coincer l'ouverture/fermeture du sas, près des égouts. Et il faudrait faire tout ça en peu de temps, mais ça, Paris savait gérer le temps. Ou du moins Oengus.

Paris expliqua donc tout cela à son complice, sans même omettre le contrôle du temps qu'il possédait et qui lui avait plutôt bien servi dans toutes ses frasques jusque là. Oengus qui aimait souvent voler, l'aider donc à faire ses glossolalie plus débiles les unes que les autres, et ça c'était un bel atout.

- Alors? Ça te va comme baptême de bêtise commune? ♥

Il en était assez fier, et seul, il n'aurait pu le faire vu qu'il fallait à la fois être en haut, à déboucher les vannes, et en bas, à casser l'empêcheur d'arrivée d'eau.



(c)LOKIA
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MessageSujet: Re: Et sinon, tu veux être mon ami? (Auen Sorensen) [ABANDONNE] Et sinon, tu veux être mon ami? (Auen Sorensen) [ABANDONNE] EmptyDim 7 Déc - 21:57

SOUS L'OCEAAAAN ♪



I am a mess.
I've made a huge mess,
I can't control myself.


Paris semblait autant aux anges que lui. En même temps, entre frères jumeaux de conneriies, obligé, quoi. Il riait, affichant ce même grand sourire qui signifiait qu'ils allaient bien s'éclater, obligé.
A sa remarque sur la grande perche blonde, il eu un instant de gêne, comme si il était vraiment mal à l'aise avec ça. Y'avait pas de quoi, s'il l'était aussi classe que lui, y'avait pas de souci à se faire, 'causeTHEY'RE SO FABULOUS !
-Gnagnagna... Mais j'espère bien que ça la fera sourire...


Auen fût vraiment surpris, il avait franchement pas à s'en faire autant pour la grande perche !
Puis il sortit un papier, avec du grec, s'il avait juste; marqué dessus, digne d'un plan pour un temple Inca. Ils allaient jouer à Indiana Jones ?! Oh cool ! Puis nan. Il dessina ce qui semblait être les bâtiments du pensionnat, avec les différents étages, puis des petites remarques. Un vrai plan, quoi. La classe ABSOLUE.
-Alors voilà le plan. Je pense qu'il y a moyen, grâce aux toilettes du dernier étage, d'inonder au moins le dernier étage voir aussi celui d'en dessous. Je suis capable de ralentir le temps pendant que les autres sont au self.

Auen était émerveillé par ce qu'il voyait, il commençait à comprendre. Ce magnifique plan consistait tout simplement à faire du pensionnat, une piscine municipale !! Qu'imaginer de mieux ?! Même lui n'aurait pas eu ce trait de génie qu'avec eu son frère bleu. Sérieusement, il sautillait sur place comme un enfant. De plus avec la capacité du grec à ralentir le temps, cela allait faciliter la tâche. Certes Auen n'avait pas ce genre de don utile a ça, mais ça ne l'avait jamais empêcher d'exceller dans ce domaine. Puis une fois les explications finies, son frère jumeau le regarda avec ce même sourire commun avant de lui dire d'un ton aussi enjoué qui disait tout :
- Alors? Ça te va comme baptême de bêtise commune? ♥


Auen souriait toujours, regardant mieux Paris. Faut le dire, c'était réellement son portrait craché, un poil plus jeune, mais sinon, tout y était. Même le caractère. Rien ne pouvait rendre le norvégien plus heureux. Puis laissant un silence planer, il mis sa main sur son menton, relevant légèrement la tête et plissant les yeux, lui donnant une tronche assez épique, prouvant son légendaire sérieux; enchaînant d'une voix grave et profonde.
"Ce plan est juste magnifique Sherlock ! ♥ Mais... si l'un va en haut et l'autre en bas, il faudra que l'on fasse diversion ! De même qu'on ne va pas péter ces mignons petits tuyaux à mains nues ! Enfin, je suis pas Hulk moi, pas toi ? ♫"


Il riait, taquinant le bleu, en le tapotant sur son épaule. Auen avait bon avoir du muscle, péter du tuyau, il avait jamais testé ! Il lui fallait donc trouver de quoi tuer ses méchants tuyaux. Il allait devenir plombier, Mario ?! ROOOOHWAI ! Sautant comme le ferait Mario, justement il lâcha d'un ton enfantin :
"Here we GO ! Je vais nous chercher de quoi péter ces p'tits tuyaux, tu vas voir ! Le local là-bas devrait avoir de quoi nous satisfaire !"
Un rire étouffé, puis regardant Paris, il enchaîna :
"Qui fait le second ? Toi ? Moi ? Courte paille ? Pas le resto hein..." Des rires, nan ? "J'me tais, j'ai pigé !"
Le jeune homme ria bêtement, comme un coon, avant de se tourner en direction du fameux local, seul espoir de leur future ŒUVRE.
Laissant échapper un léger soupire, il zieuta autour de lui, voyant une ombre au loin, prenant tou d'un coup une expression exagérée, censée représenter quelqu'un qui chuchote :
"On a de la compagnie, Bro !"


Sur ces mots, il fit un pas vers le local, riant ne détachant pas pour autant son regard de Paris. C'était comme se regarder lui-même, dur de ne pas nier une telle classe. Et blabla Anubis allait lui dire qu'il avait des chevilles aussi grosses que le soleil, mais osef ! Il le valait bien, L'Oréal is back, AGAIN. Voyant que le bleu ne perdait pas son enthousiasme aussi, il allait espérer que leur plan marche. Mais il restait chiffonné par l'expression qu'avait montrée son jumeau, plus tôt. Sa soeur blonde était donc si importante pour lui ? Ça le motivait à mettre la gomme et à prouver à son Bro', que ensemble ou non, ils déchiraient ! Et que Paris avait bien plus de classe qu'il ne le pensait déjà...
"Eh t'sais, pour la perche Blonde, crois-moi, elle sera contente. Quitte à taper fort, inondons l'étage féminin ! Avec ça, elle te verras forcément !"
Une pause digne de Naruto avec son "Je deviendrais Hokage", avant de filer comme une ombre chercher une clé à molette ou une bêtise du genre dans le local. Ce qu'il y trouva était ENCORE mieux ! DEUX clés à molette ! Oui, DEUX ! Il revint tout fièrement vers Paris, brandissant les clés comme Arthur brandirait Excalibur, agitant les bras. Pas discret, il le savait, et avec cette ombre qui rôdait, qu'il avait remarqué plutôt, il prenait des risques, mais s'en foutait. A lui seul, il gère. Alors avec le génie qu'est son jumeau, ils seront imbattables !

"Brooooo, voici l'objet de notre Destinée !!! Avec ça, on s'ra les Rois des conneriies, crois-moi !! ♥"
"Auen, plus ça va, plus je me dis que je serais mieux mort..."
Un ton blasé, le chacal était dépité, une fois de plus, pauvre chéri. Auen l'ignora, donnant fièrement les clés à Paris, les yeux tout illuminés. C'était quoi la suuiiiite ?
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MessageSujet: Re: Et sinon, tu veux être mon ami? (Auen Sorensen) [ABANDONNE] Et sinon, tu veux être mon ami? (Auen Sorensen) [ABANDONNE] EmptyDim 7 Déc - 22:55

 

«On ne fait pas de bêtises sans amis, et on n'a pas d'amis sans bêtises!» By Moi


-Brooooo, voici l'objet de notre Destinée !!! Avec ça, on s'ra les Rois des conneriies, crois-moi !! ♥

Il était vrai qu'il n'avait pas eu le temps (étrange venant de lui) de vraiment chercher de quoi les détruire. Mais oui, avec les clés à molette que venait de trouver Auen, tout ça avait des allures de rêve. Ils allait devenir riches connus! Tout le lycée ne parlerait plus que de ça! Il devait avouer que pour le coup, impressionner Calypso n'était plus que dans un coin, de sa tête, rangé dans un tiroir, et que s'amuser avec son nouvel ami commencer à sérieusement emplir toutes ses pensées. Son grand sourire ne s'atténuait pas, Auen était vraiment doué pour trouver tout ce qui manquer pour que leur coup réussisse!

- C'est parfait! Peu m'importe de qui fait quoi, après tout on le fait à deux, on se complète!

Il claqua des doigts, une idée lui revenant en tête.

- Il faut juste couper l'électricité avant, pour éviter les incidents plus grave, pour eux comme pour nous. J'aimerai quand même pas qu'on s'électrocute alors qu'on a de l'eau jusqu'aux genoux, sinon on va nous accuser de plagiat sur Clauclau.

Il lui fit un clin d'oeil, et lui assura qu'il irait couper l'électricité juste avant d'inonder, pour que le personnel n'ait pas le temps de remettre les compteurs en route. S'il coinçait bien la manivelle dans les égouts, le bâtiment du lycée serait probablement plus accessible pour au moins trois jours.

- Bon, c'est parti, pour commencer faut bloquer tous les endroits où l'eau pourrait s'échapper, lavabo, petite plaque d'évacuation. J'ai pensé aux tapis de douche antidérapant qui est en caoutchouc. Y'en a plein dans les vestiaires et du coup je les ai mis dans mon sac ce matin avant de partir.

Il les sortit. Comme le tapis ne glissait pas au contact de l'eau et était totalement imperméable, c'est qu'il trouvait de mieux pour éviter que le bouchon ne finisse par partir de lui même.

Paris alla donc au dernier étage en invitant son double avec lui. Il adorait la sensation de se sentir compris quelque part. De sentir comme devant un miroir. Ils arrivèrent aux toilettes des garçons, et vérifiant avant qu'il n'y avait personne, Paris se mit à boucher les évacuations. Il montra à Auen où se trouvait les canalisations d'arrivée d'eau, qui étaient exactement les mêmes dans les toilettes des filles. Après avoir tout bien bouché, découpant les tapis de bain en caoutchouc et les mettant bien contre chaque grille et goulot des lavabos chez les garçons comme chez les filles, Paris se redressa et essuya sa sueur du front. Il regarda sa montre.


- Plus que dix minutes. Oengus va ralentir le temps, ça nous donnera du coup quarante minutes pour le faire. ça aura ainsi le temps de bien s'inonder avant que quelqu'un ne vienne s'apercevoir du problème.

Paris se fit craquer les doigts et passa ensuite la main sur sa nuque. Le challenge allait vraiment commencer maintenant, et ne serait pas des plus faciles. Il prit un bout de papier et y écrivit une liste de chiffres.

- Tiens voilà mon numéro de téléphone. Envoies moi le tiens comme ça je te préviendrai dés que tu pourras dévisser les vannes. Faut que j'aille éteindre l'électricité et casser la fermeture de la vanne des égouts.

Il lui fit un grand sourire, tellement pressé de voir ce qu'aller donner leur première bêtise commune, et laissa Oengus prendre totalement possession de son corps pour qu'il puisse modifier le temps à sa guise. Un léger voile doré emplit ses yeux et Oengus fit un clin d'oeil enjôleur à Auen, avant de se préoccuper de sa mission. Il n'eut pas besoin de bien longtemps, et laissa à nouveau la place à Paris, qui sourit de nouveau.

- Cette fois, here we go! T'as besoin d'autre chose?

On ne savait jamais, peut être que Paris aurait pu oublier quelque chose, et c'est bien pour ça qu'il voulait aussi s'associer. Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités, et il ne voulait pas d'un Robin, mais plutôt d'un deuxième tortue ninja. Oui il voulait un pied d'égalité, et pouvoir bouffer de la pizza entre potes!



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MessageSujet: Re: Et sinon, tu veux être mon ami? (Auen Sorensen) [ABANDONNE] Et sinon, tu veux être mon ami? (Auen Sorensen) [ABANDONNE] EmptyLun 8 Déc - 20:39

Listen up, turn it up and rock it out !



I’ve got another confession,
I fell to temptation.
And there is no question,
There was some connection !


- C'est parfait! Peu m'importe de qui fait quoi, après tout on le fait à deux, on se complète!

A cette phrase, Auen savait déjà, il savait déjà qu'un destin et une amitié plus qu’exceptionnels l'attendait, derrière ce jumeau. Et cette œuvre qu'ils allaient créer à deux. Il trépignait sur place, impatient de connaître la suite de ce plan de génie. Lui-même réfléchissait à comment le rendre mieux, ou pire aux yeux des futures victimes. On ne vise pas haut avec lui, on VISE LE SOMMET. Le sommet oui, LES sommets même ! Il ne court pas après la popularité, il vous dira avec son sourire Colgate qu'il la déjà, il court après l'amusement et sa réputation du plus gros orchestrateur de bêtises du pensionnat. En un an et demi qu'il traînait dans les couloirs, il en avait mis sur pied des âneries, et comptait bien marquer cette alliance d'un coup de fer rouge sur les bâtiments de ce pensionnat. Oh crois-le, Immortalia, Adiathesia et Sorensen seront des noms que tu vas haïr à présent, oh oui ! Le claquement de doigt de son double le sortit de ses idées, celui-ci lui faisait un clin d’œil expliquant petit à petit la suite de ce coup de maître.

- Il faut juste couper l'électricité avant, pour éviter les incidents plus grave, pour eux comme pour nous. J'aimerai quand même pas qu'on s'électrocute alors qu'on a de l'eau jusqu'aux genoux, sinon on va nous accuser de plagiat sur Clauclau.
Bon, c'est parti, pour commencer faut bloquer tous les endroits où l'eau pourrait s'échapper, lavabo, petite plaque d'évacuation. J'ai pensé aux tapis de douche antidérapant qui est en caoutchouc. Y'en a plein dans les vestiaires et du coup je les ai mis dans mon sac ce matin avant de partir.



Le coup de Clauclau l'acheva, et le norvégien ne pu difficilement se retenir d'éclater de rire, à en pleurer. Mais il n'eut à peine le temps de se remettre de ses émotions que Paris le traina aux étages supérieurs afin de mettre à bien leur œuvre : couper l'électricité et couvrir toutes les fuites d'eau. Bien chef ! En même s'ils ne le faisaient pas, Adieu belle piscine ! Paris l'invita donc à mettre les tapis en caoutchouc partout dans les douches, puisque c'était bien l'un des endroits pouvant faire foirer comme maximiser leur plan. Ce mec était un pur génie ! Il avait prévu les tapis et se mettait fièrement à l’œuvre, l'ex-blond l'aidant tout en le regardant admiratif. C'était comme magique, de se trouver avec son double, de pouvoir faire un dialogue, une bêtise avec ce soit-même si vrai. Il n'était pas du genre à s'attacher ni même à être un grand sincère des relations, mais là, pour le coup, il était sur le cul. Il l'était entièrement, pas sur le cul, hein.  C'est en essuyant son front et faisant craquer ses doigts pour le suite que le bleu donna un papier au norvégien.
- Plus que dix minutes. Oengus va ralentir le temps, ça nous donnera du coup quarante minutes pour le faire. ça aura ainsi le temps de bien s'inonder avant que quelqu'un ne vienne s'apercevoir du problème.
Tiens voilà mon numéro de téléphone. Envoies moi le tiens comme ça je te préviendrai dés que tu pourras dévisser les vannes. Faut que j'aille éteindre l'électricité et casser la fermeture de la vanne des égouts.


Paris avait cette chance de pouvoir laisser son Dieu le posséder, contrairement au bleu, qui savait que si lui faisait ça avec le chacal, il finirait avec une tonne de médoc dans l'estomac et une lame de rasoir dans les mains. Oui, vous avez parfaitement compris. Paris lui souriait avant de laisser le Dieu faire son boulot, Dieu qui lui fit un clin d’œil ravageur auquel le jeune homme ne sût que répondre à part un retour de clin d’œil et un sourire Colgate des plus beaux. Paris de retour au bout d'un court moment, c'te chance, lui demanda avec son même sourire Colgate, (lui aussi, punaise, sont jumeaux jusqu'aux dents ouais !) d'un ton aussi enjoué que le sien :
- Cette fois, here we go! T'as besoin d'autre chose?


Auen fit mine de réfléchir, oui vous savez, cette tête totalement faux-cul avec la main sous le menton, avant de danser débilement devant Paris, et il savait, il se démerdait bien en danse, en chantant d'un ton volontairement faux :
"Alexandrie ! Alexandra ! ♫"
Il n'avait pas oublié cette magnifique vanne sur Clauclau, et lui répondait. Sont jumeaux, non ?
"Auen... Vas-tu bien ?"
Plus que bien pensait-il, continuant sa danse ridicule avec un ton de plus en plus faux.
Puis soufflant un peu, il s'assit, posant son sac de cours, un air légèrement pensif derrière son visage si enfantin. Puis secouant son sac, il laissa tomber la totalité de ses affaires de cours, en gros que dalle, à part un  bloc-note et une trousse. Mais surtout, laissa tomber le plus IMPORTANT. Ses bouteilles de bière ! Il en avait toujours 2 ou 3 dans son sac, vous savez la super bonne bière norvégienne ? Comment il les avaient ? Disons que le norvégien était débrouillard et passait des commandes en douce qu'il expédiait dans un village pas loin à des amis, à qui il venait les chercher en faisant le mur au pensionnat. Sur les 3 bouteilles, l'une était vide, un cadavre, oups. Mais c'était juste parfait pile ce qu'il voulait. Il commença donc à décoller lentement l'étiquette de la bouteille vide. Cela fait, il ouvrit les deux autres des dents, pleines, avant de regarder Paris avec un air étrangement sérieux, montrant la bouteille vide.

"Voilà ce qu'il manque. Une diversion, un alibi. Ce plan est presque parfait. Mais on n'a pas pensé aux conséquences. Ils sont pas bêtes, le personnel. Qui fait d'aussi grosses conneriies que nous, ici ? Personne ! Donc, cette petite bouteille va servir de diversion. On la balancera dans un endroit où ya du monde, afin que ça alerte le personnel. Pendant ce temps, il faudrait qu'on descende causer à des gens histoire de ce faire un alibi béton du type des gens nous on vus, c'est pas nous, tu vois le truc, Bro ?"

Il était étonnamment sérieux, puis poussant l'une des bouteilles pleine du doigt vers le grec, sur laquelle il avait collé son numéro de téléphone entre temps; c'te classe, hein ? Il but une gorgée de la sienne, (il avait intérêt à aimer la bière norvégienne le Bro' !) avant de continuer sur un ton énergique suivit de son grand sourire du "Vous allez tellement morfler, que l'enfer à côté vos semblera être une promenade de santé" :
"Qu'en penses-tu ? Et quitte à faire bien, on ouvrira les vannes, et si tu le peux, ralenti le temps et on ira se caler sur le toit, histoire d'admirer notre œuvre ?"
Il ria brièvement, avant de lever sa bouteille, comme la statue de la liberté :

"A notre succès, A NOUS, BRO ! ♥"

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MessageSujet: Re: Et sinon, tu veux être mon ami? (Auen Sorensen) [ABANDONNE] Et sinon, tu veux être mon ami? (Auen Sorensen) [ABANDONNE] EmptyMar 9 Déc - 23:53

 

À nous la partie de surf!


HRP : sorry j'ai pas eu le temps de mettre en forme, je le ferai demain quand j'aurai un peu plus de temps :) Ah et... Après le boulot, j'ai aussi un dégâts des eaux chez moi... Je crois que ce RP a une drôle d'influence sur ma vie... >.< Bonne lecture!

C'est surpris que Paris écouta ce qu'avait son compagnon à suggérer, après avoir chanté et même dansé, tout guilleret, sur du Alexandri Alexadra! Il venait de trouer la faille de son plan en un clin d'œil et l'avait résolue tout aussi rapidement! Il est vrai que l'alcool était prohibé au sein de l'établissement et tout écart était en général puni. Il suffisait qu'une bière soit trouvée, par exemple dans le dortoir des filles ou autre endroit qu'ils ne sont pas censés occuper, pour faire diversion. Ils pourraient aussi tout aussi bien la lancer en l'air au self pendant que l'endroit est bondé, et tous devraient ainsi répondre de leurs actes devant le personnel. Enfin, il était peu probable que ça aille plus loin qu'une légère annoncé comme quoi la bière était interdite, mais c'était toujours ça.

Mais le point où son plan planchait vraiment, c'était au niveau de l'alibi. Avoir des dizaines d'heures de colle, Paris était habitué, alors ça ne le dérangeait pas plus que cela. Le soucis, c'est que s'ils n'étaient pas accusés, personne ne saurait vraiment que c'est eux qui l'avaient fait, et tout le monde pourrait se vanter de leur exploit. Paris hésitait du coup.

- Hm, t'as pas peur que personne ne sache que c'est nous, si on ne le dit à personne? On risque de rester dans l'ombre et que tout cela reste anonyme… Mais t’as peut être raison après tout, j’aimerai éviter qu’on se fasse virer définitivement!

Il prit alors la bière, ne sachant pas s’il aimerait puisque n’en ayant gouté que de très rares fois, et jamais de cette marque nordique. Il la leva et lui répondit, avec un grand sourire immaculé:

À nous !

Il apporta le goulot à ses lèvres et goûta la substance à petite gorgée, prenant soin de savourer ce goût au fond de sa gorge. En effet, il n’était pas déçu, et à vrai dire il approuvait même le choix de son frérot sur cette marque, vraiment excellente!

Hmmm, c’est vraiment pas mal du tout! J’en avais jamais gouté!

Il lui sourit et sirota un peu sa bière, avant de repenser à leur plan. Il fallait agir tant qu’il en était encore temps. Il attrapa la bouteille vide, d’un air plus sérieux.

Je vais balancer ça dans le self, ça devrait suffire. Juste après on coupe le courant, l’un de nous remonte dévisser la tuyauterie, et l’autre bloque la vanne d’arrêt d’urgence. Enfin, on ferme bien les portes, et pendant que l’eau monte, nous on va se faire un alibi. Et d’ici à ce que quelqu’un aille rouvrir les portes, l’eau se déversera dans tous les étages!




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MessageSujet: Re: Et sinon, tu veux être mon ami? (Auen Sorensen) [ABANDONNE] Et sinon, tu veux être mon ami? (Auen Sorensen) [ABANDONNE] EmptyVen 12 Déc - 21:06

Listen up, turn it up and rock it out !



I’ve got one confession
A love deprivation
I’ve got a jet black heart
It’s all fucked up and it’s falling apart.


Paris écoutait attentivement, pendant que le norvégien buvait sa bière d'une traite. Non, ce n'est pas un poivrot, quoi que... Auen tient très bien l'alcool, et ne s'en cache pas d'aimer ça ! Être bourré ? Connait pas. Être déchiré à moitié nu dans la rue, en hurlant comme un jiyeux luron, ah, ça ! Il connaît ! Il est fêtard, et c'est l'une de ses activités favorites. Pas se bourrer la gueule, hein, sortir. Tu ne crois pas Anuuu ? Pourquoi personne ne le croit ? Pour en revenir à ces chacals, pardon, moutons, le grec semblait très bien avoir compris les enjeux du plan, et le regardait avec attention. Quelque part ça semblait lui plaire, et d'une autre non. Cette hypothèse fût confirmée quand il regarda mieux le bleu, avec un air dubitatif avant de lui tendre une remarque.

- Hm, t'as pas peur que personne ne sache que c'est nous, si on ne le dit à personne? On risque de rester dans l'ombre et que tout cela reste anonyme… Mais t’as peut être raison après tout, j’aimerai éviter qu’on se fasse virer définitivement!


Le succès, c'est vrai. Auen lui, avait "perdu" l'habitude. Sa réputation l'avait très bien suivit, et même s'il ne faisait rien, on croyait encore et toujours que c'était lui ! Même quand il dort, on l'accuse d'être le responsable de toutes les âneries du pensionnat qui se déroulent pendant son sommeil ! Du coup, vu cette féroce et hargneuse réputation, il avait pris l'habitude de se forger des alibis béton, agaçant plus qu'autre chose le personnel qui galérait à l'accuser même s'ils ne se gênaient pas pour l'hurler sous tous les toits, renforçant de plus en plus sa réputation. Ainsi, il pouvait tout faire et ne rien faire, sans se soucier puisque cette réputation le suivrait toujours. Mais Paris, lui, était "nouveau" dans le milieu contrairement au jeune homme qui pourrissait ce pensionnat depuis plus d'un an voir deux. Si il les couvraient, Paris ne serait jamais révélé au grand jour, et il sait que trop bien que son Bro serait fort déçu.


En temps normal, ça ne l'aurait pas gêné, mais là, ce n'était pas en temps normal. L'ex-blond regardait le sol, pensif, sirotant sa bière, toute joie perdue. Le souci était le suivant : son dossier. Il avait un lourd dossier suite à son passé, ses différentes familles, ses accès de violence qui l'ont bien souvent mené près du gouffre. Scolairement les notes suivaient mais pas les appréciations. Auen était comme une "racaille" sur dossier. Le gars quand on lit le dossier on se dit c'est un cassos, voilà. Et là, Auen ne savait que trop bien, au fond de lui, que le moindre dérapage lui serait fatal pour son dossier, et même pire, sa vie. Etant déjà trop âgé, il n'a plus de famille, chose qu'il supporte en se taisant. Alors s'il se fait virer ou une cacostomie du genre, pu d'école, avenir foutu, maison de rééducation, et il en passait ? Tout cela l'effrayait, il n'aimait pas se l'avouer, mais sa liberté, il l'aime plus que tout ! Le voilà donc devant un dilemme. Son Bro' ou sa petite vie. Quelle poisse ! Il soupira bruyamment, avant de boire une longue gorgée.
"Auen, la question ne se pose même pas... Tu dois faire l'alibi comme tu l'as dit. Paris aura bien d'autres occasions."
La voix de la sagesse, ce chacal, mon Dieu... Il l'ignora, se confortant dans son silence, avant que Paris, qui souriant, buvait la bière enchaînant la suite du "A NOUS". Il semblait content et plutôt décidé.  Souriant, il avait attrapé la bouteille vide, lui faisant comprendre que tout ne faisait que commencer.


- Je vais balancer ça dans le self, ça devrait suffire. Juste après on coupe le courant, l’un de nous remonte dévisser la tuyauterie, et l’autre bloque la vanne d’arrêt d’urgence. Enfin, on ferme bien les portes, et pendant que l’eau monte, nous on va se faire un alibi. Et d’ici à ce que quelqu’un aille rouvrir les portes, l’eau se déversera dans tous les étages!


Le norvégien lâcha un léger sourire à cette phrase. Dégouté que Paris renonce à sa célébrité. Il se leva, balançant sa bouteille de bière maintenant vide, contre le mur; nerveusement. Il l'aura son succès, son Bro' ! Et rien que la bouteille brisé de l'ex-blond contre le mur, ferait une diversion supplémentaire. Regardant Paris, ré-affichant son sourire provocateur, afin de camoufler ses pensées, il saisit Paris par le bras, et commença à le trainer vers le self. Ils allaient procéder autrement, une petite course ?
"Ok, on balance la bouteille, quitte à ce qu'on nous voit, et on fonce défoncer la tuyauterie et on mate notre piscine ! Tu l'auras ton succès, Paris ! Parole de Bro' ! ♪"

"Parole de Bro... Es-tu fou, Auen... ?"
"Ferme-la, Anu. Si ça fait plaisir à Paris, alors ça me va."
Lui lança-t-il mentalement, de façon sèche. Le norvégien était décidé, et lui décidé, vous pouvez vous manger son mur pour le convaincre de l'inverse !
Ils arrivaient aux portes du self, se postant devant regardant Paris, amusé. Puis posant sa main sur la bouteille pour qu'ils la tienne à deux, il lui lâcha enjoué :
"Alors, qui ouvre les festivités, Bro ? ♥"


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MessageSujet: Re: Et sinon, tu veux être mon ami? (Auen Sorensen) [ABANDONNE] Et sinon, tu veux être mon ami? (Auen Sorensen) [ABANDONNE] EmptyMer 17 Déc - 10:54

 

«Quitte à être pendu, mieux vaut que ce soit pour avoir volé un dragon plutôt qu'un mouton» Mrs Figgs



Paris remarqua très vite le changement d'expression du Norvégien. Quelque chose clochait, et s'il tentait de lui cacher, Paris connaissait très bien ce genre de moment pour en avoir eu des tonnes: il était en plein dilemme.
Bien évidemment, prendre le risque d'inonder tout le lycée ne serait pas sans conséquence sur leur vie, et si Paris n'avait jamais eu le moindre remord, peut être que les conséquences de leur petit jeu en causerait à son camarade s'il se faisait attraper.

Paris ne savait pas pourquoi, mais un fort sentiment de culpabilité naissait en lui à force de le regarde. Sans vraiment comprendre pourquoi, il tenait déjà à son nouveau frère jumeau... Il ne voulait pas le perdre dés le début, alors même qu'il n'avait pas appris à bien le connaître!

Paris, plus déterminé que jamais, venait de prendre sa décision. Il ne laisserait personne lui enlever Auen. Et si quelqu'un y touchait, il se prendrait un Adiathésía dans la tronche. De préférence Calypso. ( Huhu )

C'est alors que son complice attrapa son bras, et l'entraîna en courant avec lui après avoir cassé une bouteille, tandis que le bleu n'avait pas même finit la sienne. Il avait lui aussi fait son choix. Alors quitte à se montrer, Sirius devait s'assurer qu'ils ne seraient pas renvoyés, et pour cela, il n'avait pas encore d'idée. Pourtant, il fallait faire vite, le moment critique approchait à grand pas. S'ils n'avaient pas leur année, ils seraient tous les deux dans la mouise, et quelque chose lui disait qu'Auen le serait encore plus.

Ils arrivèrent en courant devant le self, où tout le monde était rassemblé et mangeait déjà. Quelques uns faisaient encore la queue pour avoir leur portion, des retardataires, et le personnel enseignant se trouvaient dans un coin un peu plus calme, avec de meilleurs plats aussi.

C'est alors qu'il le vit, leur parfait gilet de sauvetage (c'était le cas de le dire). Dans la file d'attente se trouvait un homme, un peu sombre, portant des vêtements trop grands sur le lui.

- Auen, attends moi là une seconde, j'ai une idée.

Il alla rejoindre l'homme qui semblait ne pas vouloir qu'on le remarque, mais qui étrangement attirait l'attention sur lui. Paris le connaissait un peu pour avoir plusieurs fois fait affaire avec lui. Il faut dire que Paris n'écoutant pas en classe, la marchandise que ce vendeur sous le manteau lui offrait était particulièrement précieuse à ses yeux. Il tapota sur son épaule, et chuchota.

- Pst, tu as des trucs sur toi?

L'homme ne se retourna pas, et se contenta de lui répondre à voix basse:

- Oui, mais je fais pas affaire dans le self, c'est trop risqué!

- Allez s'il te plait mec, je te le revaudrai promis, j'ai juste besoin d'un de tes arcs...

Le vendeur, un peu surpris, se tourna vers lui.

- Tu parle d'une urgence, tout ça pour aller draguer. J'aurai pas cru que t'en avais besoin Paris...

Il lui fila un petit arc, discrètement, tandis que Paris lui refila son dû rapidement, jonglant entre sa bière qu'il devait cacher, et sa monnaie.

"until then I was following you. But why buy this arc?"

Le dieu avait du mal à comprendre toutes les pensées qui lui venaient en tête et dont l'excitation du moment les avait mises en grand foutoir dans son petit cerveau (petit mais optimisé!). Paris retourna ensuite auprès de son complice.

- C'est bon Auen, je suis prêt! On peut y aller. Dés qu'on a lancé, on se sépare, tu vas dévisser la tuyauterie là haut et je coupe le courant. Je file dévisser l'arrêt d'urgence, et enfin on va admirer notre oeuvre sur le toit!

Il lui fit un clin d'oeil et finit sa bouteille de bière cul sec, pour qu'ils aient chacun la leur à balancer.

- Ensemble ?

Paris la lança le plus loin qu'il pouvait, et malheureusement, il avait plus de force dans les jambes que dans les bras. Elle atteignit tout de même une table du milieu du self avant de s'écraser et s'éclater, presque simultanément avec celle d'Auen. Maintenant il fallait déguerpir!



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MessageSujet: Re: Et sinon, tu veux être mon ami? (Auen Sorensen) [ABANDONNE] Et sinon, tu veux être mon ami? (Auen Sorensen) [ABANDONNE] EmptyMer 17 Déc - 11:53

Une mer... D'âneries ?



I’ve got one confession
A love deprivation
I’ve got a jet black heart
It’s all fucked up and it’s falling apart.


Auen se sentait comme à un spectacle, une pièce de théâtre, où lui et son jumeau allaient être les étoiles montantes de cette pièce, ceux qu'on ne verrait que dès lors, des Stars, oui. Il était aux côtés de son Bro', tous deux bouteilles à la main. Auen avait, malgré son empressement, pensé à prendre la bouteille censée divertir. Mais il semblait que son jumeau est ressenti le dilemme que se posait l'ex-blond. Il l'avait alors regardé avec ce sorte de regard qui te dit j't'ai grillé andouille, cesses donc de te questionner, et fonçons dans le tas ! Un regard sûrement fidèle à Paris. Certes, ils ne se connaissaient que depuis peu, mais un lien indestructible; composé de délires et âneries en tout genre venait de se créer. Auen adorait déjà la grec, et ne s'en cachait pas. Mettre le bazar seul c'est bien, à deux, c'est le pied !
Le self était plein à craquer, certains mangeaient, d'autres riaient, d'autres faisaient encore le queue pour se taper les restes (les pauvres...)... L'ambiance y était, d'une manière générale ! Parfait ! Auen s'apprêtait à ouvrir les festivités quand son jumeau le coupa.


- Auen, attends moi là une seconde, j'ai une idée.

C'était confirmé, le grec avait grillé son dilemme, et s'éloignait, s'enfonçant dans la foule. Auen restait planté là, attendant. Si paris partait seul, c'est qu'il avait un bon plan en tête, autant ne pas le suivre et le foutre en l'air. De même, évitons d'éveiller tout soupçons, car parmi cette masse noire d'élèves, certains les auront bien aperçu, c'est tellement beau de rêveeer. Puis deux beaux gosses comme eux, quoi. Ça se rate pas, l'Oréal ! Le norvégien soupirait, tentant de virer ses mauvaises pensées de son esprit. A faire croire que le chacal dépressif l’influençait, là. Il jetait quelques coups d'oeil par-ci et par-là, s'assurant que le personnel ou une moindre personne x ou y, n'allaient pas l'aborder et tout faire capoter. Au pire, il s'en foutait, il n'avait encore rien fait ! Mais ça ne serait tarder, non ? Paris semblait converser avec une personne un peu atypique, ce qui ne déplaisait pas au bleu, qui souriait, finalement. Son cerveau zappe vite les choses, Dieu merci !
Puis Paris revint vers lui, après avoir finit sa conversation, un air fier, oui, ou pressé de lancer le festival, qui sait ?

- C'est bon Auen, je suis prêt! On peut y aller. Dés qu'on a lancé, on se sépare, tu vas dévisser la tuyauterie là haut et je coupe le courant. Je file dévisser l'arrêt d'urgence, et enfin on va admirer notre oeuvre sur le toit!


Le norvégien esquissa un sourire un peu plus jovial que le précédent, finalement impatient de commencer. Leur oeuvre allait enfin naître ! Elle allait voir le jour !
Le grec le regardait, bouteille à la main, dans les starting-block, prêt à décamper dès les bouteilles lancées.

- Ensemble ?
Auen ne répondit pas dans l'immédiat et se contenta de balancer la bouteille en même temps que son jumeau. Un lancé digne d'une compétition olympique ! Les bouteilles s'écrasèrent avec une telle synchronisation sur une table plus loin, créant directement une agitation immense. Auen avait tiré aussi vite qu'il avait pu paris en dehors du self, afin que tout le monde ne les flinguent pas des yeux. Quelques personnes oui, le self entier, ça serait mauvais, trèèès mauvais !
Auen afficha un grand sourire à son bro, lui rendant son clin d'oeil, afin de lui donner une petite tape à l'épaule accompagné d'un :

"Bonne chance, Bro' ! On va gérer ! ♥"
Il se contenta donc de courir comme une flèche, enjambant marches après marches, pour se trouver à l'étage. Paris semblait avoir pris la direction basse, ils se rejoindraient sur le toit ! Heureusement que la condition physique du norvégien était à jour ! Même si dormir n'est pas un sport. Il serait médaillé d'or avec ça !


Arrivé à l'étage, Auen se mit à l'oeuvre donnant de violents coups de pied dans les valves. Dévisser ? C'est quoi cette langue ? ON DÉFONCE TOUT ! Ça c'est clair, au moins. L'eau commençait à se déverser, le norvégien l'évitant du mieux qu'il peut, voulant finir de "dévisser" à sa manière les autres tuyaux. A cette vitesse, l'eau allait très vite envahir les étages en dessous. Et si son jumeau à géré, ce qui est le cas, il en est sûr, piscine municipale, bonjouuur ! ♪
"Es-tu sérieux, Auen ?"
La voix morose du chacal laissait deviner qu'il désespérait. Pauvre chou. C'est ça de le supporter, hein. Puis... chacun son tour de "s'amuser" ! Même si s'amuser façon Anubis équivaudrait à "OOOH UNE CORDE !! WHEEEEEEEEE !!". Vous avez TREEEES bien compris.
Une fois la tuyauterie HS, l'ex-blond se dépêchait de remonter les marches, celles qui menaient au toit. Il les montait sur un air énergique, style musique épique à la The Lord Of The Rings ! Il était là, à moitié trempé, suant légèrement, les cheveux aux vent, un visage déterminé, franchissant la porte menant au toit, l'air fier, tel un Dieu. Un véritable dieu, oui. En même temps, c'est lui, aussi ! Cette mini-scène passée, Auen voyait que Paris l'attendait déjà. Le norvégien s'avança donc, se plaçant à côté de son jumeau, regardant l'eau couler, ravager tout, plus bas. Quelle vue !
Un léger soupir, suivit d'un long rire.

"Mon Dieu !! C'qu'on a géré, Bro' !! C'est juste... MA-GNI-FI-QUE !!! ♥"


Pour mi amor :


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MessageSujet: Re: Et sinon, tu veux être mon ami? (Auen Sorensen) [ABANDONNE] Et sinon, tu veux être mon ami? (Auen Sorensen) [ABANDONNE] Empty
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