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Elionorya Lloyd -
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MessageSujet: Elionorya Lloyd - Elionorya Lloyd -  EmptyMer 30 Juil - 16:03




[Elionorya Lloyd]

I don't even know what I'm doing here ...

And I don't care.

Elionorya Lloyd -  967200Sanstitre6


Je me prénomme Elionorya Heather Lloyd, mais on m’appelle juste Eli. J'ai 17 ans, même si généralement on me donne au alentour des quatorze ans. J’suis américaine mais ça on s’en tâte largement puisque maintenant, semblerait que j’fasse partie du  Mont Olympe.
J’héberge à mon grand damne Thanatos, un Dieu désagréable. Autre ça, j’entends souvent dire que je ressemble à Takane Enomoto mais j’sais absolument pas qui c’est. Et je m’en fous un peu en fait. Ah. Avant de me draguer renseigne toi, j’suis hétérosexuelle et difficile d’accès.



PHYSIQUE ET CARACTERE



Une chevelure brune aux reflets ébènes, des prunelles noisettes à la teinte rubis, un teint porcelaine aux abords inquiétants : ceci correspond à la description de la demoiselle. Celle-ci se contemplait comme chaque matin devant son miroir. Avec, toutefois, un dépit flagrant et une lassitude épuisante. Les cernes creusées par la fatigue sur son frêle visage accentuait cette expression blasée et renfrognée qu'elle affichait constamment. Sans l'ombre d'un sourire, un voile sombre recouvrait entièrement la potentielle allégresse enterrée au plus profond d'elle-même. A peine cherchait-elle simplement à arranger cette aura déplaisante ornant son être. Elle s'en fichait simplement. Cette fille petite - " moyenne " la qualifiait-t-on couramment lorsqu'elle était susceptible d'entendre, fine avec certes quelques kilos en trop, peignait simplement une expression constamment neutre. Neutre. Ou vide. Toutefois, elle ne parait nullement méchante. Ses cheveux nouées en deux couettes hautes la rend abordable - elle brise certes le rendu niais pouvant s'échapper d'une telle coiffure, mais ne se pare aucunement d'une expression hautaine ou agressive. Véritablement, seuls ces cernes tracent sur son fin visage un air exaspéré et las. Peut-être son regard l'est-il. Peut-être l'est-elle simplement. Peut-être n'est-ce qu'une impression attisée et exacerbée par quiconque. Mais dans tous les cas : et alors ?




Munissez-vous d'un bloc note, notez toutes les qualités parant les mortels de ce monde, pour venir à entièrement toutes les rayer. En leur quasi-intégralité. Aucun de ses adjectifs ne sauraient correspondre à la forte tête que représente Elionorya. Ou alors, de manière bien frivole. Attentionnée ? Oui. Elle l'est. Uniquement pour sa personne. Ainsi, cet attrait s'oriente envers un désagréable narcissisme. Généreuse ? Bien sûr. Elle consacre pleinement son temps à autrui : elle s'en sert pour semer la discorde entre amitié et amour, n'est-ce pas aimable ? De même pour son attention : elle est attentive à toute chose pouvant se révéler compromettante à quiconque lui aurait paru bien désagréable. Fouillez éternellement au tréfonds de ses pensées, creusez dans le vide abyssal de ses tendres sentiments, vous n'y décélérez qu'une large palette de rancune, de jalousie, de haine ainsi que de, désespoir. Pourtant, au fond d'elle perdure ses souvenirs. Des souvenirs bienheureux. Ceux, où la fille anciennement allègre, sourirait, riait : profitait pleinement de la vie. Mais ses souvenirs, narrent éventuellement, le déclin de sa sanité d'esprit. Ainsi n'en résulte que cette personne antipathique, continuellement blasée qui profère sans pudeur, d'acerbe mot peu caustique. Elle n'est pas méchante. Juste, prisonnière du passé. Dénuée d'inspiration, elle ne parvient à tourner l'actuelle page relatant son enfance. Elle guette sans cesse, l'arrivée d'une main charitable. Une main qu'elle ne déclinerait pas. Une main chaleureuse, chevaleresque et . . . bienveillante ?

Elle ne la méritait pas. Elle était capricieuse. Alors, elle espérait. Mais, elle ne faisait rien.
Elle guettait juste.

Parce qu'au fond, elle était restée cette enfant naïve.


Peut-être, saura-t-elle changer.




Once Upon A Time . . .
I'm feel so lonely



Parents mariés. Enfant studieuse et attentive. Calme même. Pas de problème en perceptive. Le voisinage qualifiait simplement ceci comme " une famille sans problème et aimante. " Généralement, ce qui se démontre le plus véridique, se révèle comme " falsifié. " Une image trafiquée de toute pièce, dévoilée toutefois aux prunelles enfantines de leur progéniture, ce couple anciennement soudé et dépourvu de dispute s'entredéchirait de seconde en seconde. Vint alors finalement, le moment où le sablier devait se retourner - si ce n'est pas finalement se briser. Divers évènements s'enchainèrent et troublèrent un peu plus la jeune enfant âgée de six ans à ce moment là. Et, plus l'aiguille s'avançait jusqu'à dessiner en son cadran un nombre imposant de jour déjà écoulé, plus la situation empirait. Dispute sur dispute. S'enchaîna alors le divorce avec une énième embrouille. Avec cette fois-ci, elle comme thème : sa garde. Niaise comme elle était, à ce sujet elle n'avait simplement répondu un " Je veux rester avec Maman. Et Papa. " Aujourd'hui, de ce simple et frivole souvenir, elle n'en tirait plus qu'une grimace désagréable à cette réplique stupide et mielleuse.

Facilement. Voilà comment cette histoire avait fini. Facilement, et rapidement. Sa mère, beaucoup trop téméraire pour lâcher l'affaire, avait remporté sa garde - mais devait céder sa progéniture à son ancien mari durant les vacances scolaires. Les premiers jours furent difficiles, tous comme les semaines voir même mois. Mais, finalement vint cette inévitable routine qui emprisonne fermement la moindre de ses proies : ça devenait, finalement normal. Même, cette douloureuse confrontation l'était devenue. Cette solitude qui survenait à chaque fin de journée : sa mère, chirurgienne et principalement de service de nuit, ne disposait que de peu de disponibilité. Adieu les promenades. Adieu, cette relation si soudée. Place à l'ennui fatale et l'angoisse permanente - en plus d'une paranoïa étrangement développée qui survenait à n'importe quel bruit anormal résonnant sourdement à ses oreilles. Finalement, sans demander au préalable l'avis à sa génitrice, l'enfant alors âgée de dix ans se rendait chez son père et passait de plus en plus souvent - jusqu'à y séjourner pratiquement tous les soirs.  Mais cette routine, vint aussi à se briser. D'abord effritée avec pour cause, sa nouvelle petite amie, elle vint à entièrement se détruire avec la venue de son nouvel enfant : un garçon. Cet amour, cette attention vouée à son estime, fut alors décliné pour être destiné à son demi-frère. Si ce dernier se faisait - à l'usure du temps, et au fils des âges, un plaisir de passer du temps avec sa " Grande-Choeur ! " celle-ci, presque haineuse développait une jalousie sans nom. Vint alors, simplement, la fin de ses visites adressées à son père. Fin, qui signa le retour de la routine effarante de la solitude couplée à la paranoïa.

Pas d'ami. Désagréable au possible, elle éloignait quiconque dotée de bonne volonté. Sans la moindre pitié elle balayait d'un regard l'allégresse d'innocents enfants. Elle les trouvait stupide.

Eux, ils ont tous ce qu'ils veulent. Ils sourient, c'est facile pour eux.

C'est ... naturel.

Elle les écrasait. Elle les piétinait. Elle les brisait. Haineuse, rancunière, méprisante, elle continuait inlassablement de répandre son poison sur diverses personnes. Elle brisait des amitiés, des amours et accumulait un peu plus à l'usure du temps, une aversion sans limite à son égard. Cette inimité grandissante croissait jusqu'à germer et s'épanouir. A tel point, que l'arbre de l'animosité bourgeonna donnant ainsi lieu à des graines. Les graines de la discorde. En elle, fleurissaient les émotions négatives cultiver de ses mains à présent, souillées. Atteinte par le fruit même de la jalousie, l’Poulpyénation faisait à présent entièrement partie de son quotidien - pour ne pas dire, en tant que ligne directrice des moindres de ses faits, et gestes.


Pour elle aussi, c'est normal. Naturel, même.


Ce comportement était normal. Elle ne faisait pas pitié. Elle n'était pas jalouse. C'était les autres. Toujours les autres. Toujours leur faute. Cette majorité méprisante. Qu'importe les événements, ils avancent un sourire fixé aux lèvres. Parce qu'ils sont supérieurs à ça. Ils pensent l'être. Mais ne le sont pas. Elle les méprise. Comme ses camarades. Ils viennent toujours avec cette bonne humeur la voir. Elle les hait tous. Avec leur rire. Avec cet enthousiasme. Elle veut les voir pleurer.

Pleurer comme elle l'avait fait.

Qu'ils tombent dans leur tristesse. Qu'ils sombrent dans les abysses de leur sentiment. Qu'ils coulent dans ce flux dangereux dont le débit ne cessait d'augmenter. Qu'ils se noient dans leurs larmes. Qu'ils s'étouffent de leur hypocrisie. Qu'ils suffoquent.


Qu'ils ... Crèvent ?


« - Crève ! Crève ! Crève !»

Inlassablement. Cet unique mot poignardait inlassablement son esprit, la torturait pour s'échapper d'entre ses fines lèvres et résonner dans l'immense pièce paradoxalement, dépourvue de meuble. Dénué notamment d'une quelconque joie, chaleur. Simplement, de vivacité ou plutôt : d'âme.

« - Si tu n'étais pas né ... Si tu n'étais pas né, papa aurait continué de me regarder, de me sourire, de m'emmener avec lui, de me porter ... Mais maintenant ... »



Je n'existe plus . . . ?


Elle aimait qu'on la regarde. Elle aimait qu'on réagisse à sa présence. Elle aimait, simplement se sentir suffisamment importante pour qu'on exprime un avis sur sa personne. Péjoratif ? Mélioratif ? Rien à foutre du contenu : juste se convaincre que le monde tourne autour d'elle lui convient.

Une famille unie. Une famille unie n'existe plus. Seule perdure, une famille disloquée. D'un côté : refait. D'un autre, inexistant. D'un côté, un père aimant, une mère attentionné, et un adorable fils. D'un autre, une mère talentueuse pour son absentéisme, délaissant pour son travail une enfant devenue insomniaque suite à l'accumulation de tortionnaire sentiment négatif. Élevée à l'ombre, attisée par la haine, délaissée au détriment d'un autre, forcée d'être autonome à ses six ans, de cette enfant n'en résultat qu'un puits infini de tourment, de rancune, et de mépris.

~

Même des années après, elle n'avait toujours pas changé. Elle demeurait la même, et perdurait toujours coincée ainsi : entre deux murs. Elle refusait pleinement de retirer ce voile dont elle se parait face à cette vérité que toutefois, elle connaissait déjà bien et ce, depuis à présent, longtemps. Quelque part, elle restait la naïve enfant qu'elle était : elle espérait continuellement parvenir à reconquérir un jour cette ancienne affection ne résidait toutefois là, plus qu'un rêve. Un rêve, inachevé. Et, éventuellement, inexistant à présent. Tout du moins, c'est ce qu'elle laisse paraître. Paraître à sa propre personne. Peut-être, le désire-t-elle réellement. Peut-être que non. Chose sûre, ce n'était plus un sentiment doucereux et écœurant qu'elle nourrissait à l'adresse de sa famille. Non. De l'indifférence. Une indifférence totale pour leur existence. Le souhait ouvert de les rayer de sa vie.

Sans la moindre considération, son père l'avait envoyé dans un pensionnat. Sans la moindre désapprobation, sa mère avait écouté et approuvé cette idée.

Elle les détestait. Mais les aimait. Elle les maudissait. Mais les bénissait. Elle les désirait malheureux. Elle les désirait heureux. Un flux contradictoire de souhait égoïste. Une partie d'elle, les méprisait. L'autre, les chérissait.

Cette partie. Cette dernière partie d'elle, cet âme d'enfant naïve, attentionnée, adorable encore présente mais enfouie au plus profond d'elle ne murmurait qu'une chose. Inlassablement.


Je suis si seule.





OH MONDIEU ET TEST RP
Et vas-y qu'on s'engueule, chéri ~



« - Thanatos ? Genre, le mec qui jette de la poudre dans la gueule des mioches chiards ?
- Non.
»

Las, le Dieu ne su réprimer un soupire exaspéré à l'entente de la réplique de son " réceptacle. " Il n'osait entièrement se l'avouer - histoire de conserver un brin d'espoir au plus profond de son être - ou âme pour être plus juste, toutefois, il savait d'avance que sa patience allait en prendre un coup.

« - La personne que tu décris là, n'a rien à voir avec la mythologie. C'est le marchand de sable. Une histoire humaine plutôt stupide, forgée dans l'unique but d'effrayer les plus crédules.
- Prends moi donc pour une imbécile. Faut être stupide pour jeter du sable dans les yeux de quelqu'un en espérant qu'il dorme !
»

Ouvertement, elle se mit soudainement à se bidonner de rire - un rire fort et puissant, quoiqu'un brin mauvais et malsain. La pensée même d'observer quelqu'un agoniser sur le sol à se tordre de douleur suite à l'ajout sournois de multiples grains de sable dans les yeux d'une personne qu'elle haïssait suffisait à emplir entièrement sa personne d'une allégresse sans nom. Ce scénario sadique fut alors ponctué par un soupire exaspéré de la divinité - celle-ci, énervée de ne pouvoir achever ses explications avec cette gamine irritante et dépourvue de manière.

« - Eh bien, si tu me laissais finir, peut-être ne mènerions-nous pas une telle discussion ...
- Dis, tu parles toujours de façon aussi relou ? C'est chiant. J'ai l'impression de parler à ma grand-mère. Et encore, elle, elle m'fout pas un mal de crâne aussi intense.
»

Si un corps, une forme concrète lui était attribuée dans l'immédiat, il se serait très certainement frapper le front avec la paume de sa main. Néanmoins, actuellement, seule la possibilité de préserver autant que possible sa patience douloureusement atteinte lui s'offrait à lui : il inspira fortement, comme pour se parer pour le dialogue prochain.

« - Je suis Thanatos, Divinité chargée des Morts.
- Sérieux ? C'est trop daaark. Répondit-elle ironiquement, les mains dans les poches et les sourcils levées avant de reprendre, un peu moins moqueuse. Attends, tu veux dire que tu butes qui tu veux ? Genre, d'un claquement de doigt ? Joséphine Ange Gardien voilà ton jumeau maléfique ! Bouhaa !
»

De tous les élèves qui côtoyaient le pensionnat, il fallut que ce soit sur cette adolescente aux humeurs changeantes - un brin instable, sans un semblant de caractère " fixe " qu'il tombe. Elle ne semblait pas mauvaise : disons simplement, que de ce qu'il captait de ce flux de pensée, elle était dépourvue de repère. Ainsi, bercée dans la noirceur de ses propres songes, elle s'idéalisait elle-même à tel point qu'elle en devient un cas vraisemblablement dérangeant, agaçant, irritant et tant d'autres adjectifs qui sauraient qualifier cette gamine à l'allure de gosse gâtée et bercée trop près du mur. Mais autre ses nombreux points péjoratifs dont ses désirs sombres oscillant entre jalousie, mépris et haine pur - cette haine, la véritable, celle où mentalement elle tuait à de multiples reprises des êtres à l'existence véritable : des proches - elle, ne semblait pas avoir mauvais fond. C'était naïf. Elle était mauvaise. Elle ne changerait pas. Et, il devait se farcir une telle corvée - un boulet presque, une adolescente immature sans fondement, sans base, et s'armer de patience pour inculper une éducation manquante à cette abrutie finie.

« - Prendre entière possession de son corps serait d'une telle facilité avec sa conscience totalement instable et vidée qu'une quelconque harmonie ... Souffla-t-il face au désastre que représentait la possédée, toutefois il soupira simplement pour la énième fois sûrement et s'adressa à la détentrice véritable du corps, Je ne fais rien de tout cela. Si mon jumeau représente le sommeil lui-même, je ne suis qu'un supplément de cet élément : vous vous endormez un beau jour, toutefois, sans vous réveillez.
- Ouais, donc ça craint quoi. Tu parles d'un Dieu de la mort. Même Hadès depuis son taudis minable au fin fond des souterrains claque plus !
- La mort n'est jamais une chose plaisante. On en parle avec effroi, avec des pincettes. On s'arme, on se pare, on se munie de finesse pour en converser : on n'en rigole pas. Devoir stopper la respiration, le souffle d'une personne paisible durant son sommeil n'est pas " amusant " ou même " cool. " Je ne fais simplement qu'achever le travail entamer par les Moires. J'amène uniquement avec moi, les âmes des personnes prédestinés à mourir d'une mort dite, naturelle.
- Mais c'est génial !
»

En voilà une. De violente claque mentale pour Thanatos. L'envie irrépressible d'exécuter ne serait-ce qu'un mouvement intimidant ou menaçant pour Elionorya lui frôla l'esprit. Cependant, autre tenter une quelconque possession n'était en sa capacité - et actuellement, ceci ne représentait pas son " but. " Des morts, tous les jours il devait y être confronté et à chaque fois, contre sa volonté - parfois, il aurait désiré se retrouver à la place de son frère et n'être " que " le sommeil. Alors, s'il pouvait éviter d'annihiler par sa simple " existence " l'âme du corps dans lequel il est hébergé, ça le rassurerait. Rien qu'une fois. De ne pas avoir, à posséder plus de sang sur les mains qu'il n'en préserve déjà au creux de ses paumes blanchâtres - et dorénavant " immatérielle. "

« - Tu comptes élire domicile dans mon corps, longtemps ?
- Je me le demande.
- Erf, trop cool. Je vais devoir me bourrer la gueule de doliprane avec toi dans mon crâne.
- Peut-être que si tu étais moins désagréable, toute l'exaspération que tu apportes ne remonterait pas.
- Très drôle. Apprends à intimider, à foutre les pétoches, à imposer, et après, p'tre que je songerais à fermer ma gueule pour t'écouter piailler.
»

Respire : inspire, expire. Intimement, il se convainquait de répéter à diverses reprises ses deux mouvements pourtant simples - même si, physiquement ça lui était impossible ou si, mais valait-il mieux pas réfléchir au confort de vie du Dieu une fois piégé dans un espace aussi clos et limité que le corps d'un faible et médiocre humain - idiot et bourré de divers défauts qui plus est. Puis, de toute évidence, des deux, elle serait la première à craquer. A moins que ce ne soit simplement son corps qui s'y résigne. Si le mental pouvait perdurer à une épreuve aussi hardie avec un équilibre aussi inexistant, la souffrance intérieure endurée, elle, se répercuterait physiquement.





Aliya Rose


Les vacances d'été dernières, je faisais partie d'un forum RPG à présent délaissé et à l'abandon, ainsi je n'ai pas pu continuer à m'y consacrer par la suite, une fois la vacance passée. Je n'ai ainsi donc pas énormément d'expérience dans cet univers - j'espère ainsi donc m'améliorer, et éventuellement, pouvoir continuer à converser une fois les jours de repos, écoulés. C'est toujours désagréable de s'attacher à quelque chose pour finalement, se résigner à le lâcher définitivement. Je désire notamment, parvenir à nouer des liens avec vous. Autre ça, je dirais simplement que je suis âgée de quinze ans et que je me prépare à bientôt faire mon entrée en première littéraire.


(c) MEI SUR APPLE SPRING

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MessageSujet: Re: Elionorya Lloyd - Elionorya Lloyd -  EmptyMer 30 Juil - 21:19
....
...
.....
*explosion de joie*

SOIS LA BIENVENUE SUR LE FORUM  chat KeirAshton directeur ashton dumbledorenaked faint lov marilyn 

Je suis vraiment très contente que tu l'aies choisi pour recommencer à RP. Et ne t'inquiète pas, avec un peu d'entraînement, tu y arriveras très bien, vu ton niveau maintenant ! J'aime beaucoup le début de ta fiche, c'est fluide et tu as un style très agréable ** il y a juste des coquilles de temps en temps, mais j'imagine que tu te reliras une fois qu'elle sera terminée  partyhard 

Encore une fois, sois la bienvenue ! J'espère que tu prendras du bon temps ici  soexcited 
Si tu as n'importe quelle question, n'hésite pas, les boîtes à MP du staff sont grandes ouvertes -enfin, surtout la mienne, pour le moment, car les autres admines sont un peu occupées >w<

Bon courage pour la suite de ta fiche, j'ai hâte de te lire !

Juste une petite question, pour m'aider dans la pub du forum : comment l'as tu trouvé? :)
Alum S. Cleary
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MessageSujet: Re: Elionorya Lloyd - Elionorya Lloyd -  EmptyJeu 31 Juil - 10:54
O...M...G. J'ai le droit de baver et tout en disant que j'adore ta manière d'écrire ? *w* j'ai vraiment hâte de lire la suite, parce que sérieux j'adore !! Accessoirement j'ai vu que tu étais en L, c'est cool ça aussi :p

Et bienvenue chez les fous, au passage! J'ai hâte de te voir validée *o*

Mes votes ont peut-être portés leurs fruits haha :3
Nathanaël J. Pryam
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MessageSujet: Re: Elionorya Lloyd - Elionorya Lloyd -  EmptyJeu 31 Juil - 18:30
Jaime S. Farseer > Merci donc pour cette explosion de joie je ne m'attendais pas à un ... tel accueil ?  CatEyes 
En tout cas oui, j'espère m'améliorer à vos côtés et passer un bon moment ! Autre ça, merci c'est toujours agréable et enthousiasmant de lire un tel compliment à propos de son écriture - surtout que je possède la sale manie de ne pas me relire alors pardonne moi pour les horreurs que tu aies pu potentiellement lire. angel 

Sinon je te remercie encore ! Et à propos de ta question, eh bien si je me souviens bien c'était sur un des tops sites auxquels vous êtes inscrits, Obsession27 me semble-t-il. thinking 

Nathanaël J. Pryam > Na, t'as pas le droit de baver, qui va nettoyer après tiens ? êe :setue:
Plus sérieusement merci et j'espère moi-même, parvenir à écrire la suite  angel Sinon dire que je suis en L c'est bien large, puisque je m'apprête à goûter à partir de la rentrée trèèèèès prochaine à cette filière justement. Haha ... 35 livres à lire pour n'en présenter qu'un, c'est merveilleux ... Lalalalala dumbledorenaked
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MessageSujet: Re: Elionorya Lloyd - Elionorya Lloyd -  EmptyJeu 7 Aoû - 11:15
Oh ta fiche est superbe petit cœur! *w* (désolé j'aime bien t'appeler comme ça maintenant) Je vais essayer de faire aussi bien que toi!! >_<"...
Même si je t'avoue que je suis un peu perdue vu que c'est la première fois que je suis sur ce genre de forum x'D...
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MessageSujet: Re: Elionorya Lloyd - Elionorya Lloyd -  EmptyJeu 7 Aoû - 14:51
OHOHOOHO BIENVENUE **
omg en plus c'Takane ! o/
Ta fiche est tellement agréable à lire, même si bon Eli' en a pas mal bavé ;;
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MessageSujet: Re: Elionorya Lloyd - Elionorya Lloyd -  EmptySam 16 Aoû - 22:55
Merci o/

Et je pense avoir fini ma fiche ~
Invité
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MessageSujet: Re: Elionorya Lloyd - Elionorya Lloyd -  EmptyDim 17 Aoû - 20:42
AAAAH ENCORE UNE L, MAIS C'EST PAS POSSIBLEEEEUH. /rassemble ses cahiers de math et s'en va/
Re-bienvenu donc dans le monde du forum rpg, j'espère que tu t'amuseras bien ici, merci de faire partie de l'aventure dès le début ! Je te valide de suite, parce que tout est bon pour moi (Je me permets juste de te faire la remarque : les persos sombres sont bien plus dur à jouer en RP. Tu écris très bien, mais quelqu'un d'antipathique créera moins facilement des liens et des situations... Attention donc à ce coté là ! )
Ta couleur et ton rang arrivent dès que mon internet fini ses bugs !

Tu es validée !


Te voilà maintenant validé ! Ton rang t'a été attribué en fonction du dieu qui te possède. Il te sera probablement plus facile de nouer des liens avec les autres membres de ton groupe, car vous devrez concourir contre les autres.

On commence par trois petites formalités : aller recenser ton Dieu et ton avatar, ainsi que ta fiche personnage, dans ton profil.

Tu peux donc, dès maintenant, commencer à jouer dans la partie RP. Pour trouver un partenaire, tu peux envoyer des MP aux membres qui t'intéressent ou faire une demande de RP. Lorsque tu auras fait plus ample connaissance avec les élèves, tu pourras aller faire ta fiche de liens, ainsi que créer ton répertoire de RP.

N'oublie pas de surveiller régulièrement le secrétariat d'Osiris, ou tu risquerais de passer à côté d'informations importantes.
Pour tout renseignement supplémentaire, nous te conseillons de jeter un œil à Asgard, qui regroupe toutes les choses à savoir et à se souvenir. Et si tu as la moindre question, l'accueil de l'Olympe est là pour que tu puisses la poster. Mais si tu préfères l'envoyer en MP à un membre du staff, n'hésite pas, nous sommes là pour ça !

Toute l'équipe du Pensionnat Immortalia te souhaite un excellent jeu ! CatEyes
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MessageSujet: Re: Elionorya Lloyd - Elionorya Lloyd -  Empty
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Elionorya Lloyd -
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