Composition du groupe : Erin, Ethan, Ali caché sous une table et Ramsès II

Le Pharaon est, pour le moment, prisonnier des Hittites et ne doit pas mourir. A ses côtés sont flanqués deux gardes, Piyusti et Labarna, de 16 PV chacun, armés d'une lance.

Modération : Erin attaque le soldat
Erin: Seconde : 3/8 PV

Le soldat essayer de me poignarder mais l’allonge que me procurer la lance l’empêcha ne serait-ce que de m'effleurer. Il semblait de plus en plus faible, et ses mouvement ralentissait.
Le jeune homme profita de ce moment de faiblesse pour affermir sa poigne sur sa gorge. L'étudiant s'énervait et commençait a pester contre la résistance du garde.

« Mais p’tain, tu vas crevé ?! »

Je pris ça comme un signal pour lui redonner un coup de lance. Je retirai la lame, le sang s'écoulant de la plaie coulait le long de l'armure pour former un flaque visqueuse à ses pieds.
Puis dans un mouvement plus violent que le précédant, dans lequel je mis mes dernières forces, je m'élançai à nouveau vers lui, visant toujours son ventre.  

Composition du groupe : Erin, Ethan, Ali caché sous une table et Ramsès II

Le Pharaon est, pour le moment, prisonnier des Hittites et ne doit pas mourir. A ses côtés sont flanqués deux gardes, Piyusti et Labarna, de 16 PV chacun, armés d'une lance.

Erin: Seconde : 2/8 PV (échec)
Ethan: Étudiant : 5/11 PV (réussite)
Labarna : 3/16 PV (-3 Ethan)

Ethan avait réussi à attraper la tête de son ennemi pour lui briser le cou, mais ses mains glissantes avaient simplement réussi à lui donner un mal de chien sans en arriver à la finalité recherchée. Encouragé par son premier succès, Erin tenta d’aider le jeune homme en transperçant Labarna de nouveau, mais la lutte entre les deux hommes l’en empêchant alors que la lance glissait contre le flanc de son ennemi.
Pour sa part le soldat hittite, luttait de toutes ses forces pour se défaire de l’emprise de Shaw, envoyant sa dague vers l’arrière pour le poignarder de nouveau.  Il sentait sa fin arrivée, mais tout n’était pas encore perdu. L’acharnement des deux jeunes était, à la grande surprise du guerrier, respectable. Lui qui avait d’abord sous-estimé de par leur allure respectivement frêle et efféminé, commençait à réviser son point de vue. La chance ouais, c’était certainement la chance qui leur avait permis de l’emporter sur un guerrier tel que lui. Ils avaient de toute évidence les dieux de leurs côtés. Dans quel genre de guerre Mursili s’était-il lancé avec ses guerriers ? Étaient-ils tous condamnés ?

Voir le résultat de l’attaque contre Ethan avec le dé qui suit

Réussite

Ethan perd 2 PV pour avoir reçu un coup de dague supplémentaire.

Composition du groupe : Erin, Ethan, Ali caché sous une table et Ramsès II

Le Pharaon est, pour le moment, prisonnier des Hittites et ne doit pas mourir. A ses côtés sont flanqués deux gardes, Piyusti et Labarna, de 16 PV chacun, armés d'une lance.

Modération : Ethan maintient sa prise et tente de casser le cou de Labarna.

Ethan : étudiant : 2/11 PV (-3 PV Labarna)

J’avais une fois d’plus échoué à mettre fin à la vie d’se misérable. Si s’tait pas par moi ce s’rait par quelqu’un d’autre. On était dans un état lamentable tous les deux et j’espérais qu’la rouquine l’achèverais si j’y arrivais pas. Pas question qu’ce mec-là survive après tous ces efforts. J’me sentais toutefois m’affaiblir et malgré toute mon awesomness, cette fois j’tais pas certain qu’ce s’rait suffisent. Même si j’le butais, les risques d’infections étaient élevés. Ces sombres pensées n’étaient toutefois que bien pâle face à mes pensées actuelles alors que j’sentais à nouveau la dague s’enfoncer dans ma chair. Profitant de la douleur comme créatrice d’adrénaline, j’tentai d’renouveler mon expérience, je lui briserais le coup pour de bon. Il le fallait, mais cette fois, j'allais tenter de le faire s'abandonner à moi...le séduire pour me faciliter la tâche. J'avais jamais réussi ou même tenter l'expérience, mais si la possession pouvait m'servir une fois de mon vivant s'tait l'bon moment (-1 PV) (Wild surge si nécessaire?).

J'avais encore échoué, ma lance avait ricoché sur l'armure du garde. Je me reculai pour mieux observer la scène qui se déroulait sous mes yeux.
L'étudiant était encore accroché au soldat qui se débattait et lui assénât un nouveau coup de dague.
J'essayai de me calmer pour réfléchir à la situation, il fallait trouver une solution. Mon allier était trop blessé pour continuer et moi je commence à fatiguer et …

Mes pensées furent interrompue par un affreux craquement qui provenait du cou du soldat qui s'effondra à mes pieds. Son dernier souffle fuit son corps au moment où ce dernier heurta le sol dans un tintement métallique. Ses yeux vides me regardaient sans pour autant me voir. Une vague d'angoisse s'empara de moi et dans un réflexe de fuite je me reculai jusqu'à ce que je trébuche sur un obstacle inconnu.

Une vive douleur se réveilla dans le bas de mes reins, si forte qu'elle m'arracha un hurlement de souffrance. Je serrais les dents et tentai de me relever pour échapper au regard froid du soldat, mais quand je posa la main au sol, je sentis une étoffe de lin, sûrement celle qui m'avait fait trébucher. Je baissai les yeux vers l'endroit où ma main caressait le tissu blanc et là j'aperçus un nouveau cadavre appartenant sûrement à un convive qui se trouvait au mauvais endroit. Je me relevai pour m'éloigner le plus vite possible de lui et de son expression de terreux, mais les décharges dans mon dos me permirent à peine de me mettre sur mes jambes. Je passai mes doigts sur l'endroit douloureux et en les retirant j'y découvris un liquide qui les rougissait. Ma respiration s'accélérer tandis que je regardai de dos de ma robe, elle aussi, rougit de sang. Mon pouls s'emballait et ma respiration se faisait de plus en plus paniquée. Je ne sentais plus que la douleur qui s’emparait de moi. Les sons me parvenaient comme étouffer, même la voix de Nyx ne sonnait plus. Tous les visages autour de moi devenaient flou, je ne voyais plus personne, peu à peu mon univers devenait de plus en plus petit pour finir par ne se concentrer que sur cette douleur et sur l'idée que ma vie se finirait ici.
Mes jambes se mettaient à flageoler, mes mains tremblaient, je n'arrivais presque plus à respirer  et une nausée commençait à me soulever le cœur. Une vague de froid remonta le long de ma colonne vertébral dans un frisson terrifiant.
Tout se mit alors à tourner et mes jambes de coton s’affaissèrent sous mon poids et tandis que je tombais, un voile noir recouvra le monde autour de moi pour ne me laisser avec ma souffrance. Je me sentis heurter le sol sans bruit.

Puis plus rien, le noir total, les ténèbres...

Désespéré, j’avais senti une sorte de décharge rassurante, une présence si douce… séduisante… Aphrodite…S’tait pas la première fois qu’ça m’arrivait, mais la première fois que s’tait volontaire. J’l’entendis dans mon esprit m’remercier d’cette soudaine ouverture. L’accueillir ainsi pour la première fois si on voulait. Tenter l’utilisation d’mes pouvoirs pour une fois, lui donnait moins l’impression d’être impuissante et sincèrement, moi aussi. Le soldat s’était calmé, comme hésitant à l’idée de m’faire du mal et n’comprenant définitiv’ment pas cette soudaine vague d’émotion envers un inconnu tel qu’moi, même aussi séduisant. J’l’avais senti. L’espace d’quelques s’condes, j’avais été son crush et la position d’soumission dans laquelle il s’tait trouvé, bien qu’effrayante, avait semblé soudain’ment moins pénible pour lui, allant même jusqu’à apprécier l’contact d’nos deux corps ruisselant l’un contre l’autre malgré la souffrance. C’est alors qu’j’avais fait l’impensable acte d’trahison pour le cœur du pauvre garçon. Son affection pour moi, changeait en rien s’qu’il m’avait fait subir moi et j’avais profité d’la faiblesse d’son cœur pour lui briser la nuque.

Le soldat s’tait écraser au sol et j’avais suivit, mon corps gisant contre le sien, j’me sentais pas la force d’me rel’ver. La sueur brûlait mes plaies profondes et la dague était toujours dans ma seconde blessure. J’la r’tirai en étouffant à peine la plainte. Après un moment d’respiration haletante et douloureuse, j’me roulai sur l’côté, gardant l’contact visuel avec l’visage du soldat au cou tordu anormal’ment. J’plantai mon r’gard violacé dans l’sien.

« D’solé amour…fallait pas pousser sa chance avec moi…J'suis d'mauvaise augure y parait... »

J’me sentais pas bien d’avoir eu à faire ça, mais étrang’ment j’avais l’feeling qu’j’avais pas eu l’choix. S’tait moi ou lui, nu? Reste, s’tait bien la première fois qu’j’en arrivait là et j’en était pas fier. En r’vanche…j’avais certain’ment sauvé d’autres M qui y s’raient passé après en plus du Pharaon… Parlant des autres M, s’tait pas l’moment d’me préoccuper d’mes p’tites émotions, j’tournai la tête d’nouveau, mais cette fois, vers la rouquine qui semblait au bout du rouleau elle aussi. J’la vis pâlir et s’effondrer au sol comme une guenille, le bas du dos en sang.

« Fuuuck… », m’dis-je entre les dents.

J’me roulai sur le ventre, posai une main sur ma plaie qui s’y trouvais pour y faire pression et rampai difficilement, vers la p’tite en laissant une trainé d’sang derrière moi. L’atteignant j’lui attrapai la main, puis l’visage pour qu’elle m’regarde, en y laissant involontairement la marque d’ma main ensanglanté, et tentai d’l’interpeler.

« T’vas pas m’crever dans les bras après ça fillette…? T’es plus forte qu’ça hein!? RÉVEILLE B*RDEL!!!»

J’lui fichai une bonne claque. Rien d’tel pour créer des réflexes, mais rien. Elle était solid’ment partie. J’mis deux doigt sur son poignet pour m’assurer qu’son cas était pas peine perdu. S’qui était pas l’cas. Fallait la mettre en sécurité avec l’Pharaon.

« Al…Alistair… », fini-je par articuler faiblement, puis répétant plus fortement et avec urgence, la voix tremblotante.

Cela n’pris pas beaucoup d’temps avant qu’mon coloc sorte d’son trou. Il m’avait vu faire d’toute évidence et les combats s’réduisaient lent’ment et Ali profitais maint’n’ant d’l’occasion pour aider quelques survivants et ça impliquait, moi et la p’tite. J’lui fit signe d’s’occuper d’elle en premier et m’affairai à déchirer un morceau d’vêt’ment avec son aide sur un soldat mort pour m’faire une pression sur mes plaies un grognement d’souffrance. J’tais tremblant dû aux efforts qu’j’avais fourni, ruis’lant de sang et d’sueur et j’me doutais qu’le teint blafard d’la p’tite d’vais être similaire au miens. J’pouvais quand même pas en rester là...Eireen…Aislinn….Leila…elles étaient toutes au combat et j’les avais perdu d’vu d’puis l’début. Sachant qu’la rouquine était entre bonne main. J’décidai, d’tenter quelques pas en direction d’autres groupes d’combattant, r’marquant avec satisfaction qu’on avait l’air d’gagner peu à peu. J’attrapai la lance qu’la cocotte avait utilisé pour m’en servir comme appui et possiblement d’arme au b’soin et titubai dans la grande salle à la recherche d’un visage familier, malgré ma vision trouble et ignorant les supplication d'Aphrodite pour que j'reste avec Alistair. En même temps, j'savais qu'elle s'inquiétait pour moi, mais savait qu'j'pouvais pas laisser mes muses dans la merde sans rien faire. S'tait même pas garanti qu'j'passe la nuit, j'allais m'assurer qu'elles l'fassent au moins.