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Chapitre 0.1: La collocation amiable de deux êtres dans un seul et même cerveau [OS]
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MessageSujet: Chapitre 0.1: La collocation amiable de deux êtres dans un seul et même cerveau [OS] Chapitre 0.1: La collocation amiable de deux êtres dans un seul et même cerveau [OS] EmptyDim 28 Fév - 21:58
Chapitre 0.1: La collocation amiable de deux êtres dans un seul et même cerveau

feat Fergal O. Galeson


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Je me suis retenu à grande peine durant tout le discours du vieux mais la....
"Espèce d'encuARRRRGGGHHH"
Douleur, douleur, j'ai mal p'tin. La salle tangue, je sens ma tete retomber contre le sol lourdement. J'ai p'tin de mal! Mon crâne! Bor*el de merde MA TETE !
*Tu vas la fermer oui?*
La douleur s'accentue. Je me roule en boule la tête dans les mains. Malgré la douleur je discerne le Directeur s'approcher de moi. P'tin mais qu'est-ce qu'il ma fait cet sodomite. Ça fait mal....
*Tu n'as pas écouté ce qu'il a dit? Je vais te répéter: tu es dorénavant mon jouet.*
Tout devient noir... J'ai arrêté de hurler, enfin je pense...  je n'entends plus rien... je ne vois plus rien... Juste cette douleur présente partout.  Je ne veux plus... je ne veux plus rien sentir...
*Non! Qu'est-ce que tu fais! Tu ne peux pas t'évanouir comme ça !*
J'entends des voix maintenant... Je veux juste me déconnecter... Je veux juste tomber...
*Non! Non! Non! Je t'interdis de t'évanouir! Tu m'ente...*
..........................
Ça fait combien de temps que je tombe? Un jour ? Une semaine ? Un mois? Je sais plus... En soi ce n'est pas grave. Je n'ai plus mal. J'entends plus cette voix qui me tourmentait. Probablement une nouvelle tumeur qui a dû se développer  dans mon cerveau... comme si celle qui y était déjà ne suffisait pas à altérer suffisamment mon comportement... Heureusement ici je n'entends plus rien.
*Je suis encore là et tu vas te réveiller  de suite !*
J'ouvre grand les yeux... du moins j'essaye. La lumière m'éblouit à peine sont ils entre ouverts. Je sens que je suis allongé  dans un lit.
*Enfin... Bon on va pouvoir reprendre notre petite conversation*
"Ta gueule"
Je retrouve la réalité... la maladie à gagner du terrain encore une fois apparemment...  J'arrive enfin à ouvrir les yeux. Je dois être dans une sorte d'hôpital  vue tous les ustensiles éparpillés  sur la tablette à coté de mon lit. Depuis combien de temps je suis ici?
*12 heures, 26 minutes, et quelques secondes d'après l'horloge.*
"Mais il va se la fermer le schizo . Tu es juste un effet secondaire d'une tumeur à la con."*... tu te souviens de rien de ce qu'a raconté le vieux ?*
"MAIS TU VA LA FERARRRGGHH"
La douleur. La même que celle que j'ai ressentie avant. Qu'est-ce qui se passe p 'tin. C'est comme si l'autre pouvait me faire souffrir à volonté.
*Tu commences à comprendre petit. Mais malheureusement pour toi, tu n'es qu'une enveloppe dont j'ai besoin et avec laquelle je peux jouer à volonté .*
"Va te faire foutre" arrivai-je à articuler entre mes dents.
*Oh? Toujours aussi tenace a ce que je vois... Augmentons la dose pour voir si tu continues toujours à me tenir tête...*
Je pousse à nouveau un hurlement en sentant mon crâne se compresser encore plus qu'il ne l'était avant. Je perçois brièvement de l'agitation autour de moi, mais je n'arrive pas à discerner quoique se soit. La douleur redescend brutalement. Je reprends contrôle de mes sens. J'entends des gens parler.
"Qu'est-ce que l'on peut faire pour lui ?"
Je reconnais alors la voix du Directeur.
"Rien, si ce n'est attendre que l'équilibre se fasse..."
"Vous aviez promis de me soigner!" m'exclamai-je dans cet élan de lucidité. "Je me retrouve à  souffrir encore plus qu'avant à cause de vous, espèce de ARRRRGGGHHHH"
La douleur reprend de plus belle.
*Je ne vais pas te laisser te suicider en insultant ce cher monsieur, j'ai encore besoin de toi vivant si je veux sortir d'ici. Alors maintenant ouvre-moi les portes de ton cerveau!*
"VA TE FAIRE FOUTRE CONARD!"
*Tsss, Tsss. Mauvaise réponse... On va continuer à jouer jusqu'à ce que tu me donnes accès à ton cerveau. Sauf que cette fois je vais pas te faire tomber dans les pommes maintenant que je connais ton seuil  critique...*
"Attachez-le. Je ne souhaite pas qu'il se tue accidentellement. Ils pourront être utile s'ils réussissent à s'entendre."
"NON, attendez! Ne me laissez pas seul avec se tarer! Arrrrrrgggggggghhhhhhh"
Hausse de la douleur a un seuil critique , je me sens vaciller, au bord du gouffre. Puis la douleur diminue progressivement. Redevient soutenable. Puis de nouveau hurlement, avant de redescendre.
*Ouvre-moi*
"VA CREVER"
*Je ne peux pas mourir... c'est moins sur pour toi par contre... Voyons jusqu'où tu peux aller..."
............................
L'avantage de la torture, c'est que tu perds assez rapidement la notion du temps. Tu restes conscient qu'il existe mais ça ne t'importe plus autant qu'en temps normal... En soi, torturer ce n'est pas compliqué... Douleur, pause, question, un "Va te faire foutre Sifflotin" mécanique, et on recommence. La solution c'est de ne pas lâcher en fait. Comme ça tu vis éternellement dans ton esprit et tu ressens pas la vieillesse. C'est peut-être ça le remède à la mort en fait...
*Tu vas arrêter de raconter des conneries ? Ferme-la un peu! Quelqu'un approche, je veux entendre ce qu'ils disent.*
"Va te faire foutre Sifflotin..."
Je ne sais même pas si j'arrive encore à prononcer les mots. Soudain, je me rends alors compte que je ne souffre plus. Et bizarrement l'autoproclamer, Esprit serpent de Chine, 'fin le truc qui skouate dans ma tête d'après le vieux, ne m'a pas renvoyé une dose de souffrance psychologique. Je sais même pas si je la sentirai de toute manière... Au bout d'un moment on ne crie même plus, on devient un légume qui...
*TA GUEULE, ça parle de nous...*
Intrigué, je tend l'oreille. 'Fin façons de parler, je ne contrôle plus aucune partie de mon corps depuis un moment. Comme si mon cerveau était un être a part.
"... fait une semaine maintenant..."
"...toujours aucune stabilité..."
"...le garçon tient bon mais..."
"...demain..."
*Merde...*
"Qu'est-ce qu'il se passe Sifflotin ? On dirait que tu as l'air contrarié  ? Ce n'est pas comme si tu me torturais depuis deux  trois jours et que je deviens un légume mais je comprends plus rien à ce qui se passe. "
*Écoute-moi bien Fergal...*
“Tient? Tu m'appelles par mon prénom maintenant? Mais c'est qu'il est gentil le Sifflotin.”
*Ta gueule. Je ne veux absolument pas retourner dans cette salle tu m'entends? Et si possible m'en éloigner le plus loin possible. Sauf que j'ai besoin d'un corps pour me balader dans ton monde donc...*
"Ouuuuuuhhh Sifflotin a peur. Sifflotin a peur. Sisisiiiiiiiiifflotin à peuuuuurrrrrr! ERFF garrgggg. "
Je sers mes dents en sentant la douleur fusee à travers mon cerveau.
*Tu vas m'écouter maintenant?*
Je grogne. Finalement je l'ai bien senti...
*Ils prévoient de t'exécuter demain si tu ne vas pas mieux d'ici la. Je te laisse le choix, soit tu m'ouvres l'accès à ton cerveau et tu survies demain. Soit tu meurs.*
Je prends le temps de réfléchir à ce qui vient d'être échangé par les 2 personnes, puis aux affirmations que Sifflotin vient de me refiler. Quelque chose ne va pas et ma vie est en jeu c'est clair. Pourtant... je ne me sens pas en danger... comme si cela ne m'importait pas. En soi mourir de suite ne ferait qu'accélérer le processus que la nature a déjà bien entamé sur moi...
*Qu'est-ce que tu racontes Fergal ?*
Je soupir. Le fait que je ne sois plus sous torture permanente me fais du bien je dois l'avouer. Je récupère peu à peu mes moyens de raisonnement.
*Mon cher Sifflotin, vue qu'apparemment tu es dans ma tête j'imagine que tu entends ce que je pense aussi ?*
*... comment vous dites à cette époque déjà ? Ah oui : Bravo captain Obvious. Mais ça ne répond toujours pas à mes 2 questions...*
*D'ici 1 ou 2 ans ce corps va décéder Sifflotin... Je sais pas si tu es vraiment un dieu ou quoi mais tu n'es clairement pas devin. Je suis atteint d'une maladie génétique à la fois rare et instable. Instable dans le sens ou les tumeurs qui apparaissent dans mon corps sont pour le moment inoffensif... ou presque. Sauf qu'il existe une grande probabilité que celles-ci mutent en quelque chose de moins inoffensif. J'ai déjà des crises de colère à cause d'une située dans le cerveau... Donc je sais pas ce que tu planifies de faire avec mon corps si je te le donne mais ça ne durera pas longtemps. Donc dans les 2 cas je vais mourir, juste l'une va m’éviter de mourir lentement et en souffrant. En d'autres mots, va te faire voir esprit de pacotille.*
Je ferme les yeux et serre les dents en anticipation de la décharge habituelle de souffrance.
*...*
*pas de poison ?*
Je sens alors un léger picotement à l’arrière de mon crâne, mais celui-ci disparaît très rapidement. Je ne peux alors pas m’empêcher de provoquer mon cher skouateur.
*bah alors ? Fatigué Sifflotin ?*
*Non, juste que je viens de voir que tu n’étais pas un abruti fini. Tu as un peu de jugeote petit. Et tu t'accroches malgré la petite semaine que je viens de te faire passer do...*
*Une semaine ?!*
*Oui une semaine, c'est pour cela que le directeur prévoit de m'extraire demain. Ce qui revient à ta mort par choc psychique lors de la séparation de nos esprits mais également à mon retour en prison avec quelqu'un que je souhaite éviter à tout prix... Mais je comprends pas pourquoi le directeur t'a sélectionné...*
*Pendant une semaine tu m'as torturé... À aucun moment tu t'es dit que ça fonctionnait pas, et donc qu'il fallait essayer autre chose ?*
*TsTsTsTs, la torture finit par payer qu'une fois l'esprit de la personne détruit. Pour cela il faut continuer bien plus longtemps que 1 semaine. Malheureusement je n'ai pas cette luxure. Explique-moi pourquoi tu as été sélectionner pour la possession...*
*Sélectionner ? Pfoua elle est bonne celle-là. Ce cher écornifleur de vieux a promis à mes parents ma guérison complète dans des délais très brefs. En échange de quoi ils acceptent de lui laisser mon éducation dans son pensionnat mondialement reconnu. Mes parents n'ont pas hésité une seconde. Ils faisaient une pierre deux coups. À la fois ils se débarrassaient de cet enfant qui les gênait dans leur progression de l’échelle sociale tout en récupérant le prestige que mon placement ici pouvait générer sur leur entourage professionnel... Au final il voulait juste un p'tin de bouc émissaire pour ses petits dieux perdus sans corps...*
*Où alors il a vu ce que tu es capable de faire avec cette volonté de survie qui t'habite... Fergal, même si tu dis t'en foutre de mourir demain ou dans un an, tu ne lâches pas prise. Tu aurais pu te suicider depuis longtemps, mais tu ne l'as pas fait. Toute cette semaine je t'ai torturé sans même te laisser dormir, ton corps est au bord de la rupture, et pourtant tu continues à te battre en me refusant le contrôle de ton corps.*
*hmmf vachement utile lorsque je vais décéder prochainement...*
*Cela reste à voir... sache qu'il existe des dieux pouvant soigner n'importe quelle maladie... Ça devait être l'espoir du vieux pour te soigner et obtenir un de nous à nouveau dans le monde actuel... Malheureusement, je ne fais pas partie de ces dieux. Mes talents sont, disons, d'un autre domaine.*
*Ça change rien au fait que demain je suis mort...*
*Non... tu m’intéresses Fergal. J'avoue que je n'ai pas été d'une communication des plus amicale depuis qu'on c'est rencontrer, mais je n'avais pas envie d’écouter les conneries d'un autre idiot de réceptacle sans cervelle pendant quelques jours avant qu'il se suicide parce qu’il sait pris6 un râteau par la première fille qui lui est passé devant... Or il se trouve que tu n'es pas un idiot, donc je vais gentiment te laisser faire ta vie tant que tu me promets le contrôle de ton corps quand je te le demanderai. Qui sait, je pourrai peut-être trouver un moyen de régler ce petit souci de santé que tu as...*
*Je le sens pas ton deal... mais genre vraiment pas... Ai-je vraiment le choix ?*
*On a toujours le choix Fergal... *
Je soupir. Certes je vais échapper à la mort encore un peu plus longtemps. Mais à quel prix ? Celui de ma liberté probablement... En soi est-ce vraiment important ? Ce n'est pas comme si j'aspirai à grand-chose de toute manière... Qui sait ? Accompagner un dieu peut être marrant.
*Ok Sifflotin, mais jure-moi que tu n'essayeras plus de me tuer...*
*Tststs si ça te fait plaisir petit, je jure ne jamais essayer de te tuer. Maintenant tu vas te reposer sinon tu ne seras pas capable de répondre aux questions du vieux demain.*
À ses mots, je sens la fatigue m’assommer. Une semaine de torture portant ses fruits j'imagine... Je sombre dans un sommeil agité.
…...................
"Fergal réveille-toi"
J'ouvre les yeux progressivement, je me sens bizarrement bien. Bizarrement dans le sens où je ne ressens plus aucune douleur mais que je me sens quand même très faible physiquement. P'tin mes paupières sont tellement lourdes... Je vois le directeur penchant sur moi.
"Alors marmotte ! On dort un jour entier ? On ne crie plus ? J'avoue que c’était assez rigolo d'entendre des gémissements venant d'une forte tête comme toi"
En temps normal j'aurai explosé, mais finalement je préfère me taire et de me redresser. Du moins  j'essaye. Il semblerait que je n'ai pas encore tout à fait récupérer le contrôle de mon corps.
*Désolé petit, mais tu vas devoir attendre encore un jour ou deux avants de pouvoir te déplacer normalement.  Et concernant tes sautes d'humeur, je vais tenter d'enrayer tout ça. *
"geg..." Je m’étrangle en essayant de parler. Ma gorge est tellement sèche.
"Qu'est-ce que c’était que ça Fergal ? On aurait dit un bébé ! C'est si mignon ! Tiens boit ça. Ça ira mieux après."
*Ne fait pas attention à ce vieux. Il est toujours comme ça. Il adore s'amuser...*
*Je vois ça*
Je sens alors quelqu'un m'aider à me redresser puis à me faire boire doucement le liquide verdâtre et amer du Directeur. Je tousse, merde depuis combien de temps je n'ai pas mangé correctement ?
Nouvel essai : "Comment aller vous ?". Ma voix est tellement faible que je me demande si j'ai vraiment réussi à parler.
"Oh ! Pas d'insulte ou de crise de rage qu'on peut habituellement avoir de ta part ? Du progrès c'est bien, c'est bien... Oui très bien même. Bon signe. Si mes corrélations sont bonnes..."
Je débranche. Il va probablement refaire un discours comme quand Sifflotin est rentré dans ma tête. *Tiens d'ailleurs c'est quoi ton prénom Sifflotin ?*
*...*
*Aller dit moi, ce n'est pas comme si on était dans le même corps après tout.*
*Je n'ai pas de nom Fergal... Les gens m'appelaient Esprit du Serpent ou Votre Majesté *
*... Sifflotin ça te va ?*
*À force de t'entendre m'appeler comme ça pendant la petite semaine de joie que je t'ai fait subir je me suis habitué... *
* Je vais prendre ça pour un oui alors.*
"Dit moi Fergal je t’ennuie ?"
Brusquement ramener à la réalité par la voix menaçante du directeur, j'oublie brièvement Sifflotin et me concentre sur la conversation qui se passe en dehors de ma tête.
"Excusez-moi... Je pensais à autre chose..."
Le directeur me regarde avec attention. Je soutiens le regard avec une expression la plus neutre possible.
"Je disais que tu as passé le premier test : tu as réussi à cohabiter avec le dieu qui est maintenant en toi. Ça a pris une semaine mais tu as réussi ! Tu vas maintenant reprendre les cours avec tes camarades en Terminale M. Tu verras, ils ne sont pas méchants..."
*Tsssss suffirait de tomber sur quelqu'un posséder par un dieu qui peut tuer ou torturer et on verra s'ils sont toujours aussi gentils...*
Légèrement inquiet par ce que viens de me dire Sifflotin, je préfère me concentrer sur ce que le vieux me raconte : "ah et tu vas partager une chambre avec Nathanaël. C'est la 213."
"heu... ok ?" dis-je. Je ne savais pas qui était ce Nathanaël ni même où était la 213 mais peu importe. Je sais me débrouiller.
"Sur ce, je te laisse encore un ou deux jours pour te remettre sur pieds. Bienvenue chez toi Fergal !"
Je le regarde quitter la pièce. J'ai beaucoup de questions concernant pas mal de choses. Mais ça attendra. Je me laisse tomber dans mon lit en réponse au sommeil qui m'appelle.  Finalement je m'en sors vivant de tout ce bor*el...
…....................
*Aller Fergal ! Cette fois ça va le faire.*
J'inspire une bouffe d'air et puis me mets debout... et réussi à tenir en équilibre. Mer*e enfin... Après 2-3 essais je suis enfin capable de claudiquer autour de mon lit. L'effort me fait du bien. Ne pas être capable de bouger les muscles pendant quelques jours est horrible. *Sifflotin, la prochaine fois que tu dois torturer quelqu'un évite de le pétrifier.*
*Effet secondaire du poison, je n'y peux rien...*
*C'est ça... et le cœur et les poumons fonctionnes tout seul sans muscles...*
*Tstststs bien vue Fergal, bien vue*
Je continue à marcher autour de mon lit. Puis je tente de traverser la salle. Plusieurs fois je manque de m’écrouler contre le sol dur et froid de l'infirmerie. Mais à chaque fois Sifflotin, qui semble énormément s'amuser de me voir galérer, me retient en prenant le contrôle de mon corps. La première fois ça fait peur... Mais on s'habitue vite, il faudrait juste pas que ça devienne une habitude...
*Espèce de gosse ingrat*
Après une journée entière a marché en rond et a m’étirer pour réveiller les muscles de mon corps. Je me sens d'attaque pour faire ma première sortie dans ce pensionnat.
*Attrape le scalpel... *
*Le scalpel ? Mais pour faire quoi ?* répondis-je étonner.
*Je te l'ai déjà dit. Je ne suis pas le seul dieu à être sorti de la salle. Et certains ne sont pas aussi sympa que moi. Si jamais un réceptacle perd le contrôle. Il vaut mieux que tu aies de quoi te défendre. On remplacera ça par une arme plus adapter plus tard.*
Je hoche la tête. *Sympa toi ? Pffff avec la semaine que tu m'as fait passer je te classerai pas dans ce groupe-là... Mais ok je vais le prendre.*
Je vérifie que personne ne me regarde, mais personne n'est dans la pièce donc j'attrape le scalpel accroché au mur a côté de la porte et le cache dans ma poche pantalon. Après une légère hésitation, j'attrape mon pull encore posé  sur mon lit, l'enfile et sort de l'infirmerie.

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