Je me nomme Ailill Orinn, mais il arrive que l'on me surnomme Ail (à cause de la sonorité de mon prénom), binoclard ou autre surnoms plutôt dégradants. J'ai 16 ans. Je suis irlandais et il semblerait que je fasse parti du groupe que l'on nomme Eternel Asgard. Le dieu, ou en l’occurrence la déesse, qui me possède est Snotra. Pour me représenter ma créatrice a choisi Leo Baskerville de Pandora Heart. C'est une information plutôt personnelle, mais puisqu'elle est demandé, je suis bisexuel.
PHYSIQUE ET CARACTERE
La notion de beauté est une chose relative.
Ailill n'est pas quelqu'un qu'on remarque particulièrement. Il est passe plutôt inaperçu avec sa petite taille, un mètre soixante-deux. Il a des cheveux noirs relativement longs et pas toujours bien coiffés. Son teint pâle trahis à quel point il ne favorise pas les sorties en plein air et la présence très fréquente d'un livre entre ses mains témoigne de sa forte tendance littéraire. De plus, sa taille fine prouve que les activités sportives sont loin de figurer parmi les passe-temps du jeune homme. À vrai dire, malgré ce qu'on dit, vous savez ce dicton "ne vous fiez pas aux apparences" ? Eh bien, malgré cela, on peut dire ce qu'on veut, mais l'allure générale d'Ailill ne ment pas sur lui. En effet, sa petite bouille d'intello', renforcé par ses habits généralement assez riches mais restant sobres et ses grosses lunettes rondes, le défini bien. Ailill est en effet plutôt un intellectuel qu'un sportif.
Ailill est, comme dit plus haut, un intellectuel et un grand littéraire. En effet, toujours un bouquin à la main, il s'est déjà forgé une grande culture à l'aide des livres. C'est sa plus grande force comme sa plus grande faiblesse. Si ses lectures lui offrent une grande culture générale et une certaine aisance dans l'art de la parole et de modérer ses mots, ainsi qu'une forte capacité analytique, elles ne l'ont certainement pas préparé à la vie en société, du moins, seulement en théorie et dans des situations fictives, romancées pour intéresser le lecteur donc, pas nécessairement réalistes à 100%. Ainsi, ce qu'Ailill sait de la société et du fonctionnement des autres est purement théorique, bien que souvent exacte. Par contre, il ne sait pas gérer la plupart des situations d'ordre social lorsqu'elles le comprennent directement. De bon conseil pour les autres, il s'avère bien peu débrouillard quand il s'agit de se sortir lui-même de l'embarras. D'un premier abord, Ailill est quelqu'un de calme, réfléchi, peu loquace et très solitaire, il peut aussi faire preuve de parfaite franchise. Il ne faut pas creuser beaucoup pour comprendre que sa solitude est due à une grande timidité. En effet, le jeune homme manque cruellement de confiance en lui et préfère de loin s'évader dans ses lectures ou dans la musique -il joue du piano- que d'essayer de s'intégrer parmi les autres, appréciant plus cette solitude que de risquer d'être ridicule. Il se peut qu'il ait relativement peur du regard des autres. En parlant de peurs, détaillons un peu les différentes phobies du jeune littéraire. Sa timidité fait aussi de lui quelqu'un d'assez craintif, sans pour autant qu'il n'ai peur de tout ! Pour commencer, il craint le ridicule et ne supporte pas qu'on se moque de lui. Il est gravement claustrophobe et légèrement agoraphobe, étant juste particulièrement mal à l'aise au milieu de la foule, sans pour autant avoir d'angoisses alarmantes. Une autre angoisse légère au début puis de plus en plus grande naît lorsqu'il se voit lié à Snotra : celle de perdre son identité. La peur d'être consumé, complètement dominé par la déesse, même si celle-ci ne manifeste pas de particulier désir de monopoliser le corps.
HISTOIRE
Chaque évènement forge notre être futur.
" Salut, Ailill, Doyle, bienvenue dans la famille. "
Mes souvenirs sont clairs quant à ce moment. Cet instant où j'ai rejoint ma nouvelle famille. En priorité, j'avais observé les membres de cette famille. Un homme, Orlando Orinn, sa femme, Lucie. Ils étaient seuls. Ensuite, mon observation se dirigeait sur la maison, une grande demeure très riche. Cela me changerait de ma maison d'avant. Enfin, je fixais Doyle. Mon grand frère semblait plus réservé qu'à son habitude. Je n'arrivais pas bien à déchiffrer l'expression de son visage. D'un côté, il semblait encore troublé par les évènements, d'un autre... Il avait l'air impressionné, ravi de toute cette richesse dans laquelle nous allions vivre désormais. On nous fit visiter la maison, cela me permit de cerner rapidement le couple. L'homme paraissant assez stricte, mais capable de plaisanterie vue les blagues qu'ils faisait parfois. Mon frère avait vite fait de le suivre tandis que je demeurais silencieux. La femme, elle, semblait douce et souriante. Elle ne parlait pas trop et nous regardait à peine, comme si elle avait peur qu'on le prenne mal, mais tout de même de temps à autre pour ne pas avoir l'air de nous fuir du regard. Cela m'assurait au moins d'une chose. Ils savaient pourquoi nous étions là. Mais ils n'osaient pas en parler, et encore heureux.
*******
" Ah ! On peut le dire, ça change du taudis dans lequel on était avant ! "
Je baissais la tête sur mon livre, sans lui répondre. Assis à califourchon sur mon matelas, je m'étais plongé dans la lecture de l'ouvrage d'un auteur qui allait vite devenir mon auteur favori. Sans le regarder, je sentais Doyle m'observer, probablement intrigué soit par mon silence dont il soupçonne que ça cache quelque chose, soit par l'ouvrage que je tenais, un petit livre fin uniquement remplis de nouvelles, mais fort plaisant. Sans prévenir, mon frère fini par saisir le livre et observait l'arbre bleu sur la couverture, puis le nom de l'auteur qui était écrit en caractères plus gros que le titre du livre. Je pensais alors que l’œuvre l'intéressait réellement... Mais non, il était temporairement intrigué, sans plus. Il revint vite au sujet.
" Ça ne va pas ? "
Je regardais le livre avant de baisser les yeux, songeant que je mourrais d'envie d'esquiver le sujet en replongeant dans ma lecture. De plus, en refermant le livre, Doyle m'avait fait perdre la page que je lisais.
" Si... Tout va bien. "
Je le sentais bientôt se pencher vers moi. Mensonge, lâcha-t-il avant de soupirer en constatant que je ne levais pas le regard. Il n'avait pas besoin d'en demander d'avantage, Doyle savait parfaitement ce qui n'allait pas. Cela l'exaspérait grandement, mais je n'y pouvais rien. Je n'étais toujours pas remis des derniers évènements et ne peinais que trop à m'intégrer auprès de la nouvelle famille.
" Ailill... Ça sert à rien de rester fixé là dessus... C'est fini, c'est tout ce qui compte. "
Je commençais doucement à sentir à quel point mon silence l'exaspérait.
" C'est fini Ailill... On nous fera plus de mal maintenant. "
Je ne parvenais toujours pas à lui répondre. Je ne voulais pas en parler avec lui. Ce que je voulais, c'était lire. Mais il avait toujours mon livre en otage.
" Dis-moi ce qui va pas... T'es pas bien ici ? "
Je ne suis pas à l'aise dans cette maison beaucoup trop grande avec ces parfaits inconnus... Avais-je pensé, sans oser parler.
*******
Nous avions découvert la même école, Doyle et moi. Il était juste quelques classes au-dessus de moi. Il s'agissait d'un grand bâtiment public qui offrait beaucoup d'options intéressantes. Me retrouver seul dans une toute nouvelle école, sans connaître personne, me faisait un peu peur. Une fois dans la salle de classe, le professeur m'avait demandé de me poster devant le tableau et de me présenter. Je... Comment dire... Je ne me suis jamais senti aussi ridicule de toute ma vie ! Je n'arrêtais pas de bégayer, d'hésiter, de jouer nerveusement avec mes mains et surtout, j'ai été incapable de donner le nom de mon ancienne école, de mon ancienne ville même. Me voyant blêmir, le professeur eut finalement pitié de moi et me demandait de rejoindre ma place. En m'y dirigeant, je m'étais pris les pieds dans le sac d'un autre élève qui était sur le chemin et je me suis étalé de tout mon long sur le sol, la chute ayant rayé mes lunettes. À cet instant, toute la classe s'était mis à rire, me laissant rouge de honte et encore plus mal à l'aise que je ne l'étais déjà.
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Le temps avait passé. Doyle avait beaucoup changé. Au collège, il était devenu populaire. Moi aussi. Mais, pas dans le même sens que lui... J'étais un sujet d’hilarité très populaire, disons. Si au début mon frère me défendait, il avait vite fini par faire comme s'il ne me connaissait pas, probablement pour éviter que l'on ne se retourne contre lui. Quant à moi, j'essayais tant bien que mal d'ignorer les moqueries qui courraient sur moi et m'isolait dans la lecture. Je préférais ne rien dire à nos parents adoptifs de la relation quelque peu dérangeante que j'entretenais malgré moi avec presque tout le collège, ne voulant pas les encombrer. C'était déjà assez difficile comme ça pour eux de m'avoir. Je ne souriais qu'en de rares occasions, prenait peur dès que le ton montais un peu trop, même si c'était joyeusement et m'isolait, dévorant des livres par centaine ! Je savais qu'au vu de la situation, ils comprenaient bien mon comportement. Mais cela ne devait pas être facile pour eux. Ils ne pouvaient pas avoir d'enfant et en voulait, ils les avaient eus, mais un des enfants qu'ils avaient adopté n'était pas capable de les aimer justement. Je m'en voulais énormément pour cela... Alors, je ne voulais pas les encombrer avec les problèmes.
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Le temps passait, mon silence persistait lourdement. Doyle était le seul au courant, mais il ne faisait absolument rien. Il était aussi probable que certains professeurs se doutaient de quelque chose sans pour autant faire quoi que ce soit. J'étudiais donc dans la solitude avec les moqueries omniprésentes de presque tout un collège sans que personne n'y change rien. Parfois, Lucie, ma mère adoptive, tentait de faire un pas vers moi, de me faire me sentir mieux. Mais je ne pouvais que la remercier d'un sourire faible qui lui indiquait que cela n'était pas possible. Pour elle la cause de ma peine appartenait à un passer qui me hantais. En vérité, il y avait aussi ce présent qui me poursuivait. J'étais passé de la souffrance physique à la souffrance psychologique, ayant la même réaction face aux deux : le silence et la résignation.
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Ce fut un peu un hasard si je me suis retrouvé au pensionnat Immortalia. À vrai dire, un matin où, par chance, il n'y avait pas classe, j'avais vu une brochure posée sur le coin de la table, avec d'autres publicités diverses à côté d'Orlando qui triait ce qui restait de courrier. Curieux, j'avais pris la brochure et l'avait lue. J'avais tout de suite été intéressé. L'établissement semblait avoir bonne réputation et offrir de bons résultats. Je m'étais dit qu'il devait s'y trouver des élèves sérieux dans un tel endroit. Du moins, dans les livres, la plupart du temps, les grandes écoles étaient remplies de bons élèves, donc des personnes qui, en théorie, devaient ne pas être aussi cruels que ceux de l'établissement où j'allais aller à la prochaine rentrée qui allaient être, pour la plus part, les mêmes que les années précédentes. Je refusais de revivre les humiliations que j'avais subies. J'avais donc demandé à rejoindre Immortalia. Ma demande fut reçue avec quelques réticences, car même si l'école se trouvait dans le même pays, elle était loin de la ville où nous étions. Mais finalement, j'avais réussi à convaincre Octave et Lucie.
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J'avais réussi. J'avais rejoint l'établissement ! Arrivé là-bas, j'étais partagé entre l'excitation et l'angoisse d'y rencontrer des problèmes. En effet, jusqu'à présent, je n'avais rencontré que des problèmes. Je me disais que c'était normal, que, comme dans les livres, tout allait finir par s'arranger et finir bien. J'espérais.
Au fond, ce qui allait suivre était si dingue que cela aurait pu constituer le contenu d'un roman ! Au bout de quelques jours après mon inscription, presque deux semaines, je crois, on m'avait conduit à une salle dont je n'oublierais jamais le numéro. La salle 3.4. Lorsque je m'étais réveillé, j'étais à l'infirmerie. Tout était flou, vague... On m'expliqua alors que j'avais été possédé un qu'un dieu résidait désormais en moi. Je crois me rappeler qu'à ce moment-là, une voix s'était laissé entendre. La voix d'une femme. Une voix douce et plutôt agréable...
Salut, toi. Je sens qu'on va bien s'entendre.
OH MON DIEU ET TEST RP
C'est une rencontre un peu particulière, n'est-ce pas ?
Salut, toi. Je sens qu'on va bien s'entendre. De toute façon, je ne te laisse pas franchement le choix. Après tout, ce ne serait pas amusant de cohabiter en ce corps si on ne s'entend pas, non ?
La voix me fait sursauter. Je regarde autour de moi, personne. Les paroles du directeur me reviennent tout doucement, mais je peine encore à y croire tant cela me semble incroyable, impossible, fou... Dis, tu as l'air plutôt maigrichon toi. Et un peu faiblard. T'as dormis super longtemps en tout cas.
Un sentiment d'exaspération profond me gagne.
Tu peux continuer à ne pas y croire, mais c'est vrai. Je suis bel et bien là.
" Soit... Dans ce cas... Je peux savoir qui vous êtes ? "
La déesse hésite à dire tout de suite au jeune homme qu'il n'est pas forcé de parler à haute voix pour communiquer avec elle. Elle l'imagine bien se mettre à parler tout seul au milieu des autres et passer pour un fou. Cette idée la fait ricaner légèrement, petit rire qu'Ailill peu entendre sans en comprendre l'origine. Ce qui perturbe légèrement le jeune homme qui ne peut s'empêcher de bouder. Qu'est-ce qui vous amuse..? demande-t-il.
Après encore une pointe d'hésitation, Snotra cède. Si tu penses je t'entendrais tout pareil, tu seras même moins ridicule.
Ces paroles ne manquent pas de faire rougir Ailill d'embarras. Il reformule sa question initiale sans parler.
Je peux savoir qui vous êtes ? Bien sûr petit humain ! Je suis Snotra, déesse de la connaissance et du contrôle de soit. Ravie de te rencontrer.
*******
Depuis que Snotra est dans mon corps... Je suis privé d'absolument toute intimité ! Au fil du temps, la déesse s'amuse de plus en plus à se moquer des situations embarrassantes dans lesquelles je me met parfois, et au vu de ma maladresse, cela arrive souvent. Elle se plaint du temps que je consacre à la lecture et tente de m'entrainer à aller d'avantage vers les autres... Un peu comme si elle était une mère telle qu'elles sont parfois décrites dans certains livres. Par ailleurs, que je compare tout à des situations littéraires l'agace profondément. Les livres ne sont pas la vie ! Gronde-t-elle souvent. Elle essaie de me dire que ce n'est pas dans les romans que j'apprendrais comment vivre en société. Sauf que... Elle a beau parler, je ne l'écoute franchement pas. Ce n'est pas une entité morte depuis des tas d'années qui va refaire ma façon de vivre. Si je veux m'isoler dans la lecture, je le ferais. Du moins, je pense... Il faut dire que Snotra sait se montrer assez insistante...
Allez ! On sort un peu ? Tu vas pas passer ta journée à lire quand même ! ... Allez ! Viens on va faire un tour ! Viens. Vieeeeeeeeeens ! Ailill ! Soit tu sors, soit je m'arrange pour te filer la plus grosse migraine de tous les temps !
Vous permettez ? J'ai du mal à lire quand vous parler aussi fort.
Ah ! Si c'est ça je vais continuer ! Alors, je vais parler jusqu'à ce que tu cède ! Alooooooooooooooooooooors....
Et généralement, quand elle commence comme ça, je me vois contraint de lui céder ce qu'elle demande, sans quoi je n'arriverais jamais au bout de mon livre.
Il est vrai que Snotra savait se montrer... Persuasive. Ou juste terriblement chiante. Quoi qu'il en soit, elle trouvait toujours, ou le plus souvent, un moyen d'arriver à ses fins. Ne pas contrôler le corps d'Ailill l'handicapait dans la liberté à laquelle elle aspirait, mais elle s'amusait beaucoup de sa cohabitation avec le jeune littéraire, sa timidité et sa maladresse lui apparaissant comme amusante et adorable à la fois. De son côté, Ailill la trouvait souvent agaçante d'essayer de diriger sa vie et de dicter ses actions, mais au fond, elle ne le dérangeait pas tant que ça. Au moins... Il n'était plus aussi seul.
Mellusa
Hello o/ Je m'appelle Mellusa, enfin c'est qu'un pseudo ça se devine je pense o/ Je suis une fanna de RP et j'ai vite été attirée par ce forum. J'ai 17 ans jusqu'en février où je deviendrais majeure. J'adore dessiner et écrire. La musique c'est la vie. Les sucreries aussi. Je balance des infos au pif, qui sait ça intéresse peut-être des gens o/ Mon auteur préféré est Bernard Werber, ce mec gère ! Quelques groupes de musique que j'aime : Linkin Park, Nightwish, RED, Flyleaf, Imagine Dragon, Thousand Foot Krutch et d'autres ! Quelques chanteurs que j'aime : Panaman, Mafumafu, Lollia, Lizz... Et je vais arrêter le lot d'info inutile ici.
NOTE : J'attends confirmation du staff pour mon dieu avant de poursuivre d'avantage ma fiche.
Okay, alors je t'adopte direct. Je je je... Bernard Werber, quoi ! Je t'aime quoi ! ♥ Et j'approuve, la musique et les sucreries, c'est la vie :D C'est la viiiie, on vous dit *o*
En tout cas, j'apprécie le début de ta fiche :$ Et le dieu que tu as choisi me plait beaucoup aussi hihi :3 ♥
Owi ! Bernard Werber est un fucking dieu de l'écriture /PAF Je sens que je vais t'aimer toi, papa (bah oui si tu m'adopte je deviens ta fille, assume 8D/PAF) Ravie que ma fiche plaise pour le début ^^ Je corrigerais les fautes une fois la rédaction finie, donc par pitié ne relevez pas les fautes D: (ce message s'adresse aux futurs commentaires /PAF)
Encore merci ~
Invité
Invité
Sujet: Re: Ailill Orinn [Fini ~] Sam 5 Déc - 5:35
Bienvenuuuuue ! *lui saute dessus pour l'étouffer de câlins !*
J'ai vu que tu avais fini ta fiche :3 Pour ma part, j'apprécie énormément ton personnage (un futur ami pour mon Nathou chéri? ), et tu écris bien :D
Pour le caractère et le physique, je n'ai rien à redire hihi ! Sauf peut-être que 1m60 et quelque c'est une taille moyenne pour un élève de 2nde je crois :$ Mais c'est vraiment un détail de chez détail ! Pour l'histoire, je ne vois pas non plus de problème. Pour le test RP... Je suis conquise :D La relation entre Snotra et ton personnage m'a fait rire !
A moins que Jaime ou Hansel ait quelque chose à dire à la suite, c'est avec grand plaisir que...
Tu es validé !
Te voilà maintenant validé ! Ton rang t'a été attribué en fonction du dieu qui te possède. Il te sera probablement plus facile de nouer des liens avec les autres membres de ton groupe, car vous devrez concourir contre les autres. Avant de pouvoir te mettre à RP, il va donc falloir recenser tout ce beau monde ! Il te faudra t'approprier ton Dieu, T'intégrer dans une classe, Choisir un stylo bic et surtout... Faire une photo de Classe !
Une fois cela fait, il te sera possible de jouer dans la partie RP ! Pour trouver un partenaire, tu peux envoyer des MP aux membres qui t'intéressent ou faire une demande de RP. Lorsque tu auras fait plus ample connaissance avec les élèves, tu pourras aller faire ta fiche de liens (nous avons d'ailleurs un très joli modèle) ainsi que créer ton répertoire de RP. Tu pourras faire encore plus de connaissances en rejoignant des clubs ou en trouvant un colocataire!
N'oublie pas de surveiller régulièrement le secrétariat d'Osiris, ou tu risquerais de passer à côté d'informations importantes. Pour tout renseignement supplémentaire, nous te conseillons de jeter un œil à Asgard, qui regroupe toutes les choses à savoir et à se souvenir. Et si tu as la moindre question, l'accueil de l'Olympe est là pour que tu puisses la poster. Mais si tu préfères l'envoyer en MP à un membre du staff, n'hésite pas, nous sommes là pour ça !
Toute l'équipe du Pensionnat Immortalia te souhaite un excellent jeu !
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Ton vava est magique (et vive les binoclards moi j'dis)
), et tu écris bien :D 