Sujet: Kimberley A. Fitzgerald { Le passé est suivi d'un avenir • FINIE Ven 3 Oct - 22:03
Kimberley A. Fitzgerald
Si l'on n'est pas saisi dans sa jeunesse par un espoir, fût-il illusoire…
que reste-t-il ? Rien.
J'm'appelle KIMBERLEY ASLINN FITZGERALD, mais pour toi chéri ce sera uniquement KIM. J'ai 16 ANS, mais que j'sois ou non ton aînée, tu me dois le respect c'est comme ça qu'ça marche. J'suis d’origine inconnue, mais j’ai grandi en IRLANDE mais de toute façon on s'en branle puisque aujourd'hui j'fais partie des NORDIQUES .Mon dieu c'est FREYR, et il est bien plus beau que le tien. Et d'ailleurs, si tu veux me draguer, sache que je suis HÉTÉRO.
PHYSIQUE ET CARACTERE
Réécrivons les règles…
Murs, cloisons. Tout ce que Kimberley s’était efforcée de bâtir durant tout ce temps, avec beaucoup de mal. Enfance difficile, effets secondaires qui en résulte, fourrure hérissée de pointes, Hérisson. En grandissant, ce syndrome d’enfant adopté traumatisé s’est un peu estompé, mais pas tout à fait. Œil froid, regard hautain, style peu soigné, air masculin, se débrouiller pour n’appartenir à rien, ne s’attacher à rien. Un jour ou l’autre, elle s’en irait comme elle était venue, dans un endroit où elle n’avait pas sa place, comme elle n’en avait jamais eu. Quoi ? Qu’est-ce que t’as ? Tu me regardes ? Tu veux ma photo. Voilà mon poing ! Un penchant un brin tourné vers la violence, la jeune fille a de l’autorité, et sait se respecter. Elle obtient toujours ce qu’elle veut, de n’importe quelle manière. Elle a aussi tendance à très vite s’énerver. Kim est une fouineuse. Elle fourre son nez un peu partout, mais discrètement subtilement, silencieusement. Il se pourrait qu’elle garde les plus gros dossiers sur chaque membre de l’établissement… Kimberley aurait pu être populaire. Jolie, grande, caractère affirmé. Pourtant elle traînait au collège que rarement avec des gens, ou avec les pires loubards qu’il soit, quoi qu’il en soit, toujours avec un intérêt derrière. Elle connaît les mots qui font mal. Elle fait toujours mal où elle passe, volontairement ou non, avec une réciprocité douloureuse sur elle-même. Sèche, froide, Kimberley est peu bavarde. Elle a une grande faculté d’écoute, elle entend, retient tout sans participer, gardant pour elle tout ce qu'elle a assimilé. Elle se fout des règles. Plus il y en a, moins elle les respecte, les réécrit même. Elle a une douce attirance pour l’interdit… Elle a une haine plus poussée encore pour les gens trop bavards et les cruches. Kim est plutôt intelligente – pas spécialement calculatrice – elle déteste être dérangée par ce type de personnes. Il faut dire qu’elle n’apprécie pas beaucoup les filles, d’où son caractère presque masculin. Elle n’a jamais eu beaucoup d’amis encore moins féminins : Kimberley les trouve peureuses, hypocrites et vicieuses. Elle préfère la relative franchise masculine. Les personnes fortes, se relevant à chaque fois, au détriment de celles qui étalées dans la boue pleurent, et attendent qu’on les relève à renfort de charmes ridicules. Peu de choses attirent son admiration, mais ceux qui savent rester tête haute et jambes fermes en font partie. Derrière une personne brusque, froide et sèche, se cache une enfant perdue en elle-même et au milieu du monde. Âme seule, incapable d’être comme les autres, différente, mais attendant un espoir, quelque chose lui indiquant sa place dans ce monde, quelqu’un de sincère pour lui tendre la main, quelqu’un qu’elle soit incapable de balancer au premier contact. Fragile, sensible aux sourires sincères et aux attentions, elle tente de cacher sa faiblesse derrière ses manières masculines, derrière des mots durs. Elle ne veut pas montrer qu’elle ne sait pas si elle se relèvera à chacune de ses chutes, ne veux pas montrer ce qu’elle est et qu’elle ne peut que nier. Nier le passé, le présent. Oublier qu’il y a un avenir, car elle se sent restreinte à ce qu’elle voit, ce qu’elle sait et qu’elle peut faire. Elle voudrait être parfois extravertie, jolie, cruche comme les autres presque, et ne plus se prendre la tête. Mais ça, même à elle-même elle ne l’avouera pas. Nier paraissait bien plus attrayant.
Particularité du personnage > Adore les animaux, particulièrement les félins, elle peut s’exprimer auprès d’eux bien plus qu’auprès d’êtres humains, compagnons affectueux, calmes et tranquilles. > Ne supporte pas d’écouter de la musique avec des oreillettes ou un casque. La perspective d’entendre des sons qu’elle est la seule à percevoir la remplit de terreur, cette dernière liée à son enfance dont les séquences repassent dans sa tête régulièrement, comme des cauchemars dont elle est prisonnière. > Kim n’a absolument pas peur des petites bêtes, choses gluantes ou autre mais déteste les clowns et les poupées, qui l’effraient au plus au point.
Nous sommes dans la même classe. La première fois depuis la 6e, vague souvenir pour moi, et pour elle surtout, la première fois que j’ai vu apparaître sa petite tête rousse dans l’embrasure d’une porte verte. Des années d’espoir depuis cette première année du collège à se dire « l’année prochaine » sans la revoir pour autant et continuer à broyer du noir à chaque pensée de cette alternative gâchée. J’arrive un matin. Une rentrée ordinaire, maussade. Encore un an. Une seconde qui s’annonce lourde à mourir, encore un an à être harcelé par les devoirs, les obligations, l’orientation. Qu’est-ce qu’on sait ce qu’on va devenir, à 15 ans ? C’était pareil pour elle aussi, pour tous. Ah ouais, alors je m’amène. La classe est pleine, ce n’est pas vraiment pour un cours, juste une heure des formalités pour tout redémarrer encore une fois. Je scrute les gens, je repère des potes « Salut, ça va ?» Et elle. Elle est là, avec ses cheveux roux comme un coucher de soleil d’hiver, plein de chaleur inaccessible à travers les flocons glacés, et c’est exactement l’effet que ça fait. Elle ne sourit à personne, mais regarde tout le monde avec ses yeux gris noyé dans un joli brun semblable à des paillettes au fond de ses iris. Elle embellit chaque année, mais reste fidèle à elle-même, froide, hautaine, mais terriblement jolie. Une beauté assez spéciale, plongée dans un caractère confirmé. Je m’installe derrière elle. Elle sent bon quelque chose d’indéfinissable, naturel et fruité, peut-être même un peu boisé, qui sait. Je distingue des mèches courtes, coupées surement d’elle-même d’un doigt maladroit, qu’elle passe dans ses cheveux. De belles mains, des ongles à longueur variables, des phalanges souples et puissantes. Elle repose sa main sur sa table, la manche de son débardeur glisse, elle le replace d’un geste brusque et impatient. Elle a toujours porté des débardeurs, sur lesquels elle balançait souvent des pulls ou des sweats trop grands. Elle se foutait de son style, mais tout allait à sa taille fine et puissante, à ses épaules et ses hanches carrées. Jupe, shorts, pantalons, tout se mariait sans grande précision avec ses bottes ou ses tennis, des converses hautes généralement. Elle avait un côté androgyne dans ses mouvements. Masculine, dans ses cheveux courts ou son attitude étrange, jusqu’à ses fréquentations, et son style peu soigné, ni maquillée, ni originale, aucun bijoux, même la plus simple gourmette au poignet. Elle ne cherchait jamais à être autre chose qu’elle-même, mais conservait dans ses airs fiers et impatients quelque chose de mystérieux.
Demain, je lui dirais. Elle m’accueillerait de son habituelle froideur, ses yeux gris bruns ouverts sur un monde que nul ne peut voir, son visage calme, ses traits fins coincés dans une moue froide et indéchiffrable. Même si je suis ignoré, elle saura. Elle voit tout. Rien ne lui échappe.
* * *
Elle n’est pas là. Sa place est occupée par une nouvelle personne, comme si elle n’avait jamais été dans cette classe, là, devant moi. Se creuse un trou béant dans mon esprit. Il n’y a plus personne. Elle a disparu, et ne reviendra jamais. Qui sait où elle est, froideur rayonnante du soleil couchant …
HISTOIRE
Un cauchemar tel un film d'horreur ...
Clac, clac, des pas légers et mal assuré sur du béton usé. Une fillette rousse, un escalier sombre. Clac, clac. Elle gravit ces sempiternelles marches d’une démarche claudicante. Rien n’indique le pays où la scène se passe, tant l’immeuble de se démarque pas par son architecture insalubre, un squat que l’on pourrait trouver dans n’importe qu’elle cité dans n’importe quel endroit du monde. Elle trébuche sur les marches. Elle a des bleus sur tout le bras, elle ouvre la porte. Un cri résonne. Écran noir. Sanglot dans l’obscurité. Plus rien.
Sa vie est comme un film composé de scènes se rejouant dans sa mémoire. Elle ne se souvient plus de grand-chose, comme si régulièrement tout en elle était effacé régulièrement. Puis longtemps, longtemps après tout revient par bribes, douloureusement. Elle se souvient d’une enfance dans un pays pauvre, un pays pourri jusqu’à la moelle, un pays et une famille que rien ne lui ferait regretter. Coups, méchancetés, dans sa famille ou dans les gens qu’elle rencontrait, cela était son quotidien, personne ne l’aimait, et plus elle était haïe plus elle était renfermée, et plus on la détestait. Un cercle vicieux qui ne cessait de tourner à l’infini, encore et encore… Blanc temporel. Elle avait atterri dans un orphelinat entre ces deux scènes, sûrement. Une famille irlandaise qui la recueille, elle a cinq, six ans peut-être, des gens roux comme elle. Elle aurait pu se sentir un peu chez elle, ce peu de temps qu’elle y a passé. Des gens qui lui ressemblaient, la chérissait, lui donnait ce qu’elle désirait, des repas où elle pouvait manger à sa faim, comme elle n’avait jamais pu le faire. Pourtant … Elle n’avait pas pu s’empêcher d’être méchante. Durant toute l’école élémentaire, elle ne manifestait aucune gentillesse, reconnaissance, politesse, pas le moindre sourire à cette famille qui l’avait recueillie, élevée, nourrie, soignée. Elle était une sale gamine qui hurle, pleure, mord, frappe, ni merci, ni pardon, et des parents d’une patience exemplaire, la relevant, qu’importe le nombre de coups reçus, qui se bornent à lui parler, la raisonner, sans aucun témoignage d’affection en retour. Pourquoi cela ? Elle ne désirait même pas faire tout ce mal, c’était d’elle-même à son insu, comme si elle ne pouvait pas se maîtriser. Elle ne haïssait pas ses parents, encore moins ses camarades de classes à chaque année où on la changeait d’école, de plus en plus loin, pourtant elle semait la pagaille et faisait du mal à tous ceux qu'elle croisait, de près ou de loin, son chemin. Ses crises avaient sûrement un nom, une origine, dont elle ignorait tout ; mémoire effacée à chaque épisode, comme un film sinistre jouant sur la psychologie, la sienne, dont elle ne comprenait rien. Parfois elle se réveillait dans le noir en pleurant, se demandant si elle était un monstre, si elle n’avait pas de conscience, se demandant qui elle était, qui ils étaient, pourquoi elle faisait. Elle se rendormait, cauchemardait du passé, et tout recommençait.
Elle est entrée en 6e, dans un collège de quartier pourri, avec des parents désespérés, se demandant quand leur fille adoptive changerait, quand elle deviendrait douce, quand elle travaillerait sérieusement à l’école, quand elle leur témoignerait un semblant d’affection. Son caractère a fini par diamétralement changer. Elle n’était pas plus affectueuse qu’avant, mais elle était devenue quelqu’un de froid, distant, silencieux. Elle obéissait à sa famille, se montrait bien que peu sympathique envers ses camarades de classe, normale, comme elle ne l’avait jamais été. Elle parlait, était même capable de sourire, de rire, sans se lier pour autant.
* * *
« ▬ Hey, Kimberley ! » Je crois que c’est mon nom. Je n’aime pas l’entendre prononcer de sa bouche. Pourtant, je dois serrer les dents et répondre cordialement, amicalement même, car c’est ce que nous sommes censés être. Je ne l’aime pas, mais j’ai besoin de lui. Il sait certainement quelque chose sur les tracts que je reçois régulièrement un peu partout là où je suis, dans ma boîte-aux- lettres, dans mon casier, ma case, mon armoire, le bord de la fenêtre, la cage du lapin, … Il connaît tout et tout le monde. J’ai fait un effort en ce début d’année pour sourire aux gens, avoir l’air sympa, enfin plus ou moins, j’ai tapé sur moins de gens qu’au collège, et ça s’est moins ébruité, enfin bref. Je me sens toujours aussi froide, j’ai toujours l’impression d’ignorer les gens, de vivre dans mon monde sans en savoir la raison, mais je crois que ça va mieux. Peut-être trouverais-je une explication au comportement que j’ai traîné dix ans de ma vie, différent de ma volonté. Je me sens terriblement hypocrite. Un jour je suis sûre qu’il pourra me dire qui met ces papiers de façon récurrente dans ma boîte. Et si ce qui y est vanté existe, et où. Je pense que si tout cela est vrai, il faudra que je pense à y mettre les pieds un jour …
OH MON DIEU ET TEST RP
Freyr, Bogoss pervers professionel.
Freyr, c'est un sale pervers. Kimberley ignore tout de ce que son Dieu sait sur elle, mais elle le soupçonne d'entendre toutes ses pensées. Cela, c'est l'une des choses qu'elle déteste. Elle s'entraîne le plus souvent possible à créer une barrière mentale entre cette chose inconnue parasitant ses pensées et elle. Sans savoir si cela fonctionne infailliblement, bien sûr. Il parle trop. Surtout quand il ne faut pas, il se réveille aux mauvais moment. Quand elle veut dormir. Ou quand elle veut se concentrer pour bosser. Il lui raconte sa vie, ses amours, il lui dit qu'il est beau, un jeune homme blond aux yeux bleus, et à une légère tendance à tout étoffer un peu trop, cela agace la jeune fille qui a son grand désespoir ne peux rien tenter contre lui. Freyr est lourd et collant. Elle aime bien se ficher de lui, l'appeler par tout les surnoms stupides qu'elle connait. Elle s'est rendue compte que le vexer était un bon moyen de le faire taire. Il est persuadé que en faisant silence, il prive Kimberley de sa magnifique présence, la laisse dans une incurable tristesse et s'attend à chaque fois qu'elle le suppliera de se remettre à parler, non en fait celle-ci se délecte avec bonheur de ces moments de silence.
Freyr est le Dieu de la vie et de la fécondité. Étant possédée que quelques jours après les vacances de sa seconde année au pensionnat (à noter qu'elle est arrivée en plein milieu d'année scolaire l'année passée) elle n'a pas encore vu son Dieu manifester son pouvoir. Il n'a pas fait grand chose d'autre que l'agacer ou la complimenter sur ses mensurations, ou encore lui poser des questions gênantes en interro. Kimberley en très peu de temps, se demande déjà quand est-ce qu'elle ne pourra plus le supporter...
Test Rp ~:
J’avais très mal dormi. Comme si quelque chose, durant toute la nuit m’avait échappée. Comme si j’avais laissé passer un détail qui m’était fatal, quelque chose de terriblement important qui se moquait de moi, quelque chose dont je ne pouvais pas me souvenir. Pire que tout, j’avais un terrible mal de crâne juste avant mon premier cours, tandis que je gravissais avec peine les marches du pensionnant que je fréquentais depuis six mois. Je titubais dans les couloirs. J’avais dû absorber dans le peu de nourriture prise, quelque chose de mauvais, ce matin. Arrivée à mon casier, je manquais de faire tomber la totalité des livres récupérés dans le bazar sans nom qui constituait mon petit coin du couloir. « Salut, belle jeune fille ! » J’ignorais ce qu’il se passait. J’entendais une espèce de voix de pervers dans ma tête qui me parlait maintenant ! Je devais être bourrée. Non. Je détestais l’alcool. Et je n’allais jamais aux fêtes, même si j’y étais invitée. Ce qui avait toujours été rare, surtout au collège. Mais là de toute façon, je n’avais pas entendu parler d’une quelconque fête. Encore moins un mardi soir, et au pensionnant. Ou alors j’avais rêvé. J’étais tellement fatiguée. « Une fête ? À laquelle je ne suis pas convié ? Comment cela ? » Affirmatif. Je ne rêvais pas, quelque chose de collant à l’esprit me parlait. « ▬ Dégage de ma tête toi ! » Je devais avoir l’air tellement louche à parler toute seule dans ce couloir. Vite, les toilettes. Ces derniers, comme par hasard demeuraient bondés de nunuches se passant une ultime fois du noir sur les yeux, me réduisant à effectuer un demi-tour, courir en bousculant de braves élèves sans s’excuser, puis m’engouffrer dans la cage de l’escalier de secours, seul endroit où j’étais certaine que personne n’irait me trouver –à moins qu’il n’y ait un exercice d’incendie, ou qu’un imbécile ne fasse sauter le labo –. Je sentais de l’air frais m’arriver dans la figure, une bouche d’aération dans le mur de béton mal entretenu, tandis que je bloquais avec mon pied la porte de l’issue d’urgence, et la voix continuait à parler, d’étranges propos tels que « Dieu Freyr » « Ici chez moi » De plus en plus incompréhensible. « ▬ T’es toujours là toi ? Tu t’appelles Freyr c’est ça ? Bah tu me déranges. SORT ! » « Hohoho, ce n’est pas dans ma nature de vexer les jolies filles ! Veuillez me pardonnez de vous avoir importunée. » Je tentais de me concentrer pour faire sortir Ray ou je sais plus quoi, mais le signal du début des cours retentit. Je sursautai, reconnaissant soudainement l’environnement dans lequel je me trouvais. Mes livres s’étant étalés au sol, je me penchais dans un mouvement de désespoir pour les récupérer, laissant sans m’en rendre compte la porte se refermer derrière moi. Je vis cette dernière, cette fourbe de porte lentement retourner dans son embrasure, et moi, impuissante, entendre le claquement sonore. J’étais seule, coincée devant un escalier sans fin, au milieu de murs de béton insalubres, avec un dingue qui parlait dans ma tête. J’étais foutue.
Hexagone
*toussote* Bonjour jeunes gens. Joli forum. Je l’ai d’ailleurs connu par Coin Pub. Y a pas grand-chose à dire sur moi, si vous me plaisez je me laisserais découvrir, donc à vous de juger ♥ Sinon, je graphe, je lis, je dessine, je photographie, et je Rp’ depuis quatre ans. J’aime pas les tomates, sérieux, comment on peut bouffer cette chose rouge et superacide ? :c Pour le code euh... Il est validé par Jaime ~
Sujet: Re: Kimberley A. Fitzgerald { Le passé est suivi d'un avenir • FINIE Ven 3 Oct - 22:27
Oh, sacrebleu, quelqu'un qui n'aime pas les tomates. COMME MOI. Du coup, je t'aime déjà. Et je t'aime aussi parce que t'as pris un ass-gardien. MERCI. Et ta fiche. C'est un peu le fessier en culotte de cheval au niveau du code, mais j'adore. Je t'aime. *reprend son rôle d'admine sérieuse* Sois la bienvenue parmi nous Si tu as un souci quelconque, n'hésite pas à envoyer un MP aux admines ou même aux membres, nous nous ferons un plaisir de t'aider !
Deux petites remarques avant de continuer : n'oublie pas le code du règlement, et si tu as un souci pour mettre ton avatar aux bonnes dimensions, envoie-moi un MP avec l'adresse de l'image !
Sujet: Re: Kimberley A. Fitzgerald { Le passé est suivi d'un avenir • FINIE Sam 4 Oct - 13:37
Bienvenuuuuue !!! *Lui saute dessus et lui fais un câlin de bienvenue* Fesont circuler une pétition contre les tomates !!
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Sujet: Re: Kimberley A. Fitzgerald { Le passé est suivi d'un avenir • FINIE Sam 4 Oct - 18:33
Merci, je suis heureuse de savoir que des gens comprennent ma haine des tomates *émue * Bref me manque 3 icônes à placer et des fautes à revoir pour ma fiche, j'espère que ça sera bon. Merci de votre accueil, pour l'avatar je verrais quand j'accederais à mon ordinateur c:
EDIT : fiche finie
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Sujet: Re: Kimberley A. Fitzgerald { Le passé est suivi d'un avenir • FINIE Dim 5 Oct - 15:05
Pas grand chose à redire sur ta fiche, qui me donne très envie de voir ce que va donner Kim en RP
Tu es validée !
Te voilà maintenant validée ! Ton rang t'a été attribué en fonction du dieu qui te possède. Il te sera probablement plus facile de nouer des liens avec les autres membres de ton groupe, car vous devrez concourir contre les autres.
On commence par trois petites formalités : aller recenser ton Dieu et ton avatar, ainsi que ta fiche personnage, dans ton profil.
Tu peux donc, dès maintenant, commencer à jouer dans la partie RP. Pour trouver un partenaire, tu peux envoyer des MP aux membres qui t'intéressent ou faire une demande de RP. Lorsque tu auras fait plus ample connaissance avec les élèves, tu pourras aller faire ta fiche de liens, ainsi que créer ton répertoire de RP.
N'oublie pas de surveiller régulièrement le secrétariat d'Osiris, ou tu risquerais de passer à côté d'informations importantes. Pour tout renseignement supplémentaire, nous te conseillons de jeter un œil à Asgard, qui regroupe toutes les choses à savoir et à se souvenir. Et si tu as la moindre question, l'accueil de l'Olympe est là pour que tu puisses la poster. Mais si tu préfères l'envoyer en MP à un membre du staff, n'hésite pas, nous sommes là pour ça !
Toute l'équipe du Pensionnat Immortalia te souhaite un excellent jeu !